LES ABDUCTIONS EN 2005, CONFÉRENCE DE BUDD HOPKINS CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE 15
OCTOBRE 2005
Vidéo et traduction écrite sur cette page.
(Traduction de Jean-Luc Rivera)
BUDD HOPKINS – Je voudrais
d’abord préciser que je suis un citoyen des États-Unis d’Amérique, et comme des millions d’autres de
mes compatriotes je pense que Georges Bush a donné une mauvaise image de notre pays (applaudissements). Merci. Je vais
parler du phénomène des enlèvements par ovnis en l’année 2005 et ce que nous avons lentement appris sur ce phénomène.
Deux cas sur lesquels j’ai écrit dans mon livre qui s’appelle Sight and Seen démontreront ce que nous connaissons
à l’heure actuelle sur les différentes technologies « étrangères »… [JLR - Alors juste un petit point à part dans
la traduction, c’est que j’utiliserai pour traduire « alien » le mot « étranger », qui ne rend pas exactement
la nuance anglaise, mais qui est quand même plus proche du sens original que si j’employais par exemple le mot « extraterrestre
». Donc je parlerai par exemple là des différentes technologies « étrangères » qui sont impliquées dans les enlèvements d’ovnis]. Après
une conférence que j’ai faite à Brisbane en Australie en 1992, un couple d’âge moyen, assez nerveux, Sam et Jenny,
se sont approchés de moi pour me raconter des expériences dérangeantes que Sam avait eues depuis son enfance. Ce sont là les
sortes d’expériences que j’ai découvert être communes avec les gens qui ont été enlevés par des ovnis. Sam était
extrêmement mal à l’aise, nerveux, pour me parler ouvertement, mais à un moment sa femme, Jenny, m’a tendu des
photographies, et m’a demandé si j’avais jamais vu quoi que soit comme cela. Ces photos étaient imprimées uniquement
dans la partie rouge du spectre : la première montrait un terrain de jeux et des enfants [et donc voilà la photographie qui
a été montrée à Budd Hopkins] ; les deux photographies suivantes étaient des vues d’un paysage qui était plutôt vide,
et qui montrait de l’eau derrière. J’ai posé la question à Jenny à propos de cette couleur rouge dans les photos,
et celle-ci m’a expliqué que ces photos avaient été prises une après-midi de 1978, et c’était sur un terrain
de jeux tout à fait banal, en utilisant des pellicules couleur standard. Toutes les autres photos sur cette pellicule ont
été prises à des jours différents, et elles étaient de couleur normale. Donc elle indiquait qu’elle et son mari, Sam,
avaient emmenés leurs deux enfants jouer à cet endroit, qui était leur terrain de jeux favori, mais qu’ils avaient commencé
à se sentir très bizarres et qu’ils avaient voulu partir. Elle a déclaré qu’aucun de ses deux fils ne voulut
retourner à cet endroit par la suite. J’ai commencé à lui poser d’autres questions, mais à ce moment-là elle m’a
interrompu. « Le problème [the thing about] de ces photos, a-t-elle dit, c’est que nous sommes censés apparaître dessus
et que nous n’y sommes pas ». Voilà, ils étaient supposés apparaître sur ces photos. Ils n’apparaissaient sur
aucune des photos qui étaient censées les montrer. J’ai été très surpris, parce que j’en étais arrivé à penser
que lors d’un enlèvement par un ovni une sorte de couverture, comme une technologie rendant invisible, était utilisée
pour cacher les ovnis eux-mêmes, les aliens et les abductés. Cette sorte de couverture était le seul moyen d’expliquer
les enlèvements qui sont sans témoins sur lesquels j’avais mené une enquête et qui étaient survenus à Londres, New York,
Rome, Chicago, Paris et Tokyo, ainsi que dans des centaines d’autres enlèvements qui étaient survenus en plein jour. Ces
photos semblaient donc être une sorte de preuve physique cautionnant l’idée de l’invisibilité des aliens. Après
avoir procédé à des entrevues séparées avec Jenny et Sam, j’en ai découvert suffisamment pour demander à Jenny de se
soumettre à une hypnose plus tard dans l’après-midi, et voici ce qui en est ressorti. Donc Jenny et les garçons se
sont avancés vers le bord de l’eau, elle avançait avec ses enfants et Sam a pris l’appareil photo et soudainement
Jenny et ses enfants ont eu l’impression qu’ils décollaient à la verticale, entourés par un rayon de lumière extrêmement
fort et au-dessus d’elle, elle a aperçu une ouverture dans un vaisseau circulaire, et en regardant vers le bas elle
pouvait voir son mari, qui se tenait là, immobile, avec l’appareil photo devant ses yeux. A l’intérieur du
vaisseau, elle a été séparée, ses enfants ont été emmenés d’un côté et elle de l’autre. Elle était terrifiée
et elle s’est mise à pleurer parce qu’elle pensait qu’elle allait perdre ses enfants. Elle a été emmenée
dans une pièce où on lui a enlevé ses vêtements et où elle a été déposée sur une table. Les procédures auxquelles elle a été
soumise, qui étaient sur l’aspect reproductif, sont très communes par rapport à d’autres cas d’enlèvements.
Quelques temps plus tard, elle a été réunie avec ses enfants et ils ont été descendus du vaisseau. Un certain temps s’était
écoulé, mais elle pouvait toujours voir son mari, toujours en bas et tenant toujours son appareil photo, complètement immobile. Aussitôt
qu’ils se sont retrouvés au sol et donc tous réunis, ils ont complètement oublié ce qui s’était passé dans
le vaisseau, et à ce moment-là, ils ont décidé de rentrer chez eux. Après l’hypnose, Jenny n’a absolument pas
voulu croire que ce dont elle se souvenait pouvait être vrai. C’était un jour particulièrement ensoleillé, il y avait
beaucoup de monde dans le parc, et donc une telle chose n’avait pas pu arriver, surtout sans personne pour le voir.
Elle a accepté de ne rien dire à son mari de ce dont elle s’était souvenue avant que son mari lui-même ne soit soumis
à l’hypnose. Elle ne pouvait pas croire qu’il se souviendrait de quelque chose de différent. Quelques jours
plus tard, Sam a accepté lui aussi de se soumettre à l’hypnose : il s’est souvenu d’avoir pris la première
photo, et alors qu’il s’apprêtait à prendre la deuxième photo, qu’il prenait la pose, il s’est souvenu
d’avoir vu une petite boule de couleur argent qui flottait près de lui (flotting near him), et en fait il a été terrifié
parce qu’il s’est souvenu à ce moment-là qu’il avait déjà vu le même genre de boule lors d’autres
expériences d’enlèvements. Et il a chuchoté « ils sont en train de me surveiller », comme s’ils allaient l’entendre.
Il a décrit sa femme et ses enfants s’envolant soudainement. Les boules les enlèvent et ils ne paraissent même pas surpris,
a-t-il chuchoté. Il a pu voir l’ovni alors qu’ils s’en approchaient. Je lui ai demandé s’il avait
appelé à l’aide, et il m’a répondu qu’il ne pouvait pas bouger. Apparemment, personne ne s’est approché
de lui dans le parc pendant que sa femme était dans les airs. La boule m’a caché, a-t-il dit. Elle m’a caché,
et c’est ce qui arrive à chaque fois, a-t-il ajouté. Il y a donc beaucoup plus de choses à propos de ce cas, mais je
l’ai cité ici parce qu’il fournit un témoignage assez dramatique sur ce qui semble être la technologie d’invisibilité
des aliens. Le second cas récent sur lequel j’ai écrit dans Sight and seen, Terry, une jeune femme mère de deux enfants,
m’a écrit en réponse à un article que j’avais écrit dans Ovnis Magazine et qui était accompagné d’un questionnaire.
Elle a décrit une série d’épisodes de temps manquant et d’observations d’ovnis, qui suggéraient fortement
un enlèvement par ovni. Nous avons commencé à les explorer en profondeur – je raconte tout cela dans mon livre. Mais
un jour elle a mentionné un détail étrange qui lui était arrivé lorsqu’elle était jeune. Elle avait seize ans à l’époque,
assise avec des amis dans une pizzeria, un homme d’âge moyen s’est approché d’elle et lui a demandé si elle
était intéressée par un job d’été. L’homme lui a expliqué qu’il passerait la prendre le lendemain à une
heure de l’après-midi pour lui faire passer un entretien de travail. Terry l’a décrit comme un homme d’une
cinquantaine ou d’une soixantaine d’années, avec des cheveux gris, mais sinon d’apparence tout à fait normal.
Elle a parlé à sa mère de ce rendez-vous, et sa mère qui était ordinairement très protectrice, et sa mère en fait lui a simplement
souhaité bonne chance et n’a émis aucune réserve. Ni Terry ni sa mère ne connaissaient le nom de cet homme, ou quelle
sorte de travail il allait lui offrir, ou même où est-ce qu’il allait l’emmener. Nous avons recherché sous
hypnose à propos de cet entretien de travail bizarre : l’homme est arrivé avec sa voiture, et lorsque Terry est entrée
dedans, les choses sont devenues immédiatement extrêmement étranges. Je me sens minuscule, a-t-elle dit, cela n’a aucun
sens, je me sens de la taille de la pointe d’une épingle, mais mon corps est énorme. Pendant qu’il conduisait,
l’homme a commencé à parler à Terry de son enfance, des choses très intime qu’il ne pouvait absolument pas connaître,
comme les noms de ses parents et un incident d’abus sexuel dont elle n’avait parlé à absolument personne. Il lui
a même parlé avec des détails extrêmement choquants de l’aventure qu’elle avait eu avec son petit ami, et qui
avait eu lieu le jour précédent. Ils sont arrivés près d’un vieil immeuble de bureaux, et ils sont sortis, elle l’a
suivi en haut des escaliers, dans un bureau qui contenait donc un bureau, une chaise et une carte sur le mur ; il n’y
avait aucune indication du nom d’une compagnie, aucun indication du travail qui pouvait être fait là. Il lui a dit qu’il
aimerait qu’elle travaille là pour faire comme de la distribution, et tout ce qu’elle avait à faire pour obtenir
le travail c’était de faire avec lui ce qu’elle avait fait avec son petit ami. Elle a refusé en lui disant : Je
ne peux pas faire cela, c’est incorrect (wrong purpose) de votre part. Il n’a fait aucune tentative pour la séduire
ou pour la flatter, rien du tout. Je me sentais nerveuse tout d’abord, a-t-elle dit, puis il m’a dit que tout
allait très bien. Même dans cet immeuble, je n’ai pas eu peur, alors que j’aurais dû avoir peur. Je n’avais
pas peur, j’étais juste très affirmative : je lui ai dit non. C’était comme si je savais qu’il ne me ferait
pas de mal, mais je ne pouvais pas le savoir. Finalement, elle lui a déclaré : Je ne veux pas de ce travail, je dois partir.
De manière très surprenante, il l’a remmenée à la voiture, et elle est partie avec lui. Elle n’a pas essayé d’appeler
sa mère ou d’appeler à l’aide. Une fois de plus, elle était simplement obéissante, en dépit de tout ce qu’il
avait dit, et elle avait confiance qu’il allait la ramener à la maison. Mais il ne l’a pas fait immédiatement,
il l’a emmenée vers une zone plus campagnarde, et à nouveau elle a eu peur. Ils sont allés dans un champ où elle a vu,
entre guillemets, une petite maison ronde et lisse ; l’homme est sorti de la voiture et est rentré à l’intérieur
de cette maison étrange, pendant qu’elle restait assise dans la voiture sans faire aucun effort soit pour s’échapper,
soit pour même pour fermer les portes. Quand l’homme est ressorti, il était accompagné d’un groupe de groupes
de petits aliens gris. Cette étrange maison ronde lui a semblé alors être un ovni. Finalement, ils ont sorti Terry de la voiture
et apparemment il y a eu un enlèvement après cela. C’est ensuite que l’homme l’a ramenée chez elle et
que la partie « alien » de cette expérience a disparu de sa mémoire. Je réduis ce cas extrêmement complexe à quelques points
pour démontrer comment il se relie à d’autres rapports avec des individus d’apparence normale mais qui possèdent
apparemment des pouvoirs inhabituels, et qui semblent travailler avec les Gris. J’ai deux autres cas de ces faux
entretiens de travail, extrêmement semblables à celui-ci. Par manque d’un meilleur mot, on a appelé ces êtres des
« hybrides », parce qu’ils semblent combiner une apparence humaine avec des capacités alien. Donc je vous ai présenté
là deux aspects récemment reconnus qui sont vraiment à la pointe du phénomène des enlèvements et qui nous emmènent à des années-lumière
des premiers rapports d’enlèvements d’il y a près de 60 ans. C’est donc d’une manière très simple
que nous en sommes arrivés là. La recherche sérieuse en matière d’enlèvements a commencé en 1961 avec le cas de Betty
et Barney Hill. Beaucoup de chercheurs à l’époque avaient refusé d’admettre la validité de ce cas, tout en acceptant
que les ovnis eux-mêmes fussent réels. Il est important de comprendre que même les chercheurs les plus sérieux étaient extrêmement
conservateurs. On pouvait accepter qu’ils soient là et qu’ils puissent être vus, mais comme David Jacobs l’a
dit, ça a pris 30 ans à la communauté ufologique pour accepter l’idée qu’il pouvait y avoir un « intérieur » dans
les ovnis. Quelques autres cas d’enlèvements sont venus à la surface ensuite lors de ces premières années. Cela nous
aide de nous souvenir de la manière dont, historiquement, les événements se sont déroulés, de 1961 jusqu’à aujourd’hui.
Le cas de Betty et Barney Hill contenait déjà un certain nombre des points principaux des cas qui sont survenus ensuite. Tout
d’abord, l’épisode du temps manquant. Une minute, Betty était assise dans la voiture, la minute suivante, ils
étaient en train de conduire pour rentrer chez eux. Ensuite le cas des Hill est la première fois qu’on a utilisé
l’hypnose pour aider les témoins traumatisés à se souvenir de la période de temps manquant. Il est bon d’ailleurs
de se souvenir que les présupposés de l’hypnotiseur n’influencent pas ce qui ressort du cas. Le quatrième point
qui est venu à la lumière, avec le cas des Hill, c’est l’intérêt des aliens pour tout ce qui est processus de
reproduction humaine. Apparemment, des ovules ont été pris à Betty et il y a eu un échantillon de sperme qui a été prélevé
sur Barney. Cela se passait en 1961, et depuis nous avons eu des milliers de répétitions de ces procédés. Le second cas
d’enlèvement, qui a eu lieu en 1973, implique Calvin Parker et Charles Hickson. Avec ce cas, nous avons appris que
en fait les enlevés pouvaient être « flottés » à l’intérieur de l’ovni, on ne les faisait pas simplement marcher,
ils ont été décrits comme avec un scanner à l’intérieur qui est passé sur tout leur corps. Ils ont aussi décrit une
sorte de télépathie mentale qui n’était pas très claire dans le cas des Hill. Dans le cas de Travis Walton en 1975,
qui a duré 5 jours, nous avons appris un nouvel aspect extrêmement important : la présence d’êtres d’apparence
humaine normale qui travaillaient avec les autres. Un autre élément nouveau est le fait qu’à partir d’un petit
ovni il a été transporté dans un vaisseau-mère de plus grande taille. Et finalement, il a aussi démontré qu’un enlèvement,
au lieu de durer deux heures, pouvait durer plusieurs jours. Avec le livre de Raymond Fowler, The Andreasson Affair, ont
été introduits trois nouveaux modèles extrêmement importants dans les enlèvements. Betty Andreasson a déclaré qu’elle
avait été soumise à un implant nasal extrêmement douloureux. Ceci (radio) vient du cas de Linda Cortile. Vous pouvez voir
l’objet dans la cavité nasale sur cette radio. Ça avait été introduit dans son nez comme un objet fermé et qui ensuite
s’est évidemment ouvert une fois à l’intérieur. Une fois que ça a été découvert grâce aux rayons X., avant qu’on
ne puisse le récupérer, elle a été enlevée à nouveau et l’objet a été retiré. Elle s’est réveillée avec du sang
qui avait coulé du nez et une cicatrice à l’intérieur du nez. Ceci est une radio d’une fillette, qui est prise
à partir du sommet du crâne en allant vers le bas. Il s’agissait d’une petite Américaine qui visitait l’Italie
et qui a eu un accident, et donc on lui a fait passer une radio pour voir si elle avait une fracture du crâne. Donc le radiologue
italien a trouvé au sommet de son crâne, du côté gauche, un petit objet. Et dans cette radio-ci que l’on voit, qui est
prise par le côté, vous pouvez voir à quelle profondeur se trouve cet objet. Quand elle est rentrée aux États-Unis et qu’elle
a vu un médecin là-bas, et donc on lui a fait repasser une radio, l’objet avait disparu et nous ne savons pas comment
cela est arrivé. Dans le cas de Betty Andreasson, elle a aussi décrit comment elle avait été « flottée » à travers une
porte fermée. Et finalement, et ça c’est très important, elle a été emmenée dans une pièce où se trouvait sa famille,
mais apparemment ils avaient été comme « éteint », ils étaient immobiles, mais leur yeux étaient ouverts. C’est comme
si les aliens pouvaient mettre, pouvaient placer une personne dans une sorte de coma afin qu’ils ne soient pas témoins. Une
fois de plus, je veux préciser qu’il ne s’agit pas là de points qui sont tous comme s’il s’agissait
de quelque chose de nouveau. Ils étaient seulement nouveaux pour nous en termes de ce que nous apprenions au fur et à mesure
que nous progressions. J’ai commencé ma recherche en 1975, dans mon livre Missing time, j’ai découvert un autre
groupe de scénarios. Sans doute ce qui est le plus important, c’est que j’ai découvert qu’il était possible
que des enlèvements se produisent ans qu’il y ait quasiment aucun souvenir conscient, ce qui signifiait que le phénomène,
en fait, pouvait être beaucoup plus largement répandu que ce que nous avions pensé auparavant. Ensuite, ce que j’ai
appris, c’est que les enlèvements peuvent commencer dès l’enfance et se poursuivre la vie durant. Troisièmement,
j’ai aussi découvert qu’il était possible que les enlèvements se produisent dans les familles. Ensuite, j’ai
aussi découvert ce qu’on appelle aujourd'hui les mémoires écrans, les souvenirs-écrans, où les aliens peuvent implanter
dans l’esprit une image pour cacher ce qu’ils sont entrain de faire. Dans un cas, des abductés ont vu ce qu’ils
pensaient être un groupe de six automobiles accidentées. En fait, il n’y avait pas du tout d’accident, mais
sous hypnose on a découvert qu’il s’agissait en fait d’un ovni qui avait atterri – et un enlèvement
a eu lieu ensuite. Cinquièmement, j’ai aussi découvert qu’il y avait très souvent des traces physiques après
une abduction. Principalement, il s’agit de ce qu’on appelle, donc, les scoop marks (marque en forme de cupule)
où une toute petite zone de chair est enlevée. Dans les deux photos que vous voyez, dans le cas du haut il s’agit d’un
enlèvement qui s’est passé en Grèce, et dans le cas du bas, il s’agit d’un cas en Australie. Dans ce
cas, il s’agit d’une femme, et cette cicatrice est là depuis 40 ans… Un autre cas similaire… Voici
un cas dans lequel apparemment la cicatrisation ne s’est pas bien passée. Voilà une vue plus rapprochée de ce à quoi
cela ressemble. Une autre vue rapprochée. Dans chaque cas il s’agit d’une personne différente. On a aussi
des coupures qui sont très droites. Celle-ci, au centre de la marque, il s’agit d’une coupure… Il
y a une histoire assez compliquée derrière chacune de ces photographies. Il s’agit là d’un cas australien dans
lequel il y avait cette scoop mark, et en sortait donc ce que vous voyez, une cicatrice en ligne droite. Donc il s’agit
là du cas qui est arrivé à un homme, et donc cela s’est passé lorsqu’il avait dix ans, 40 ans avant que cette
photo ne soit prise. Maintenant nous allons poursuivre. Dans mon deuxième livre, Intruders, j’ai découvert la production
ce qu’on appelle des hybrides aliens. Maintenant nous pensons que, en fait, le processus impliqué n’est pas vraiment
celui d’un hybride. Par exemple, nous savons qu’on peut prendre l’ovule d’une jument et le sperme
d’un âne, ils produiront un petit [un mulet, stérile], mais ce n’est pas le même genre de processus que celui
qui se passe ici. Il s’agit plutôt, nous pensons, d’un processus de découpe des gènes. Ils prennent une partie
d’un gène d’un alien et une partie d’un gène humain et ils les mélangent. Nous pensons qu’il s’agit
en fait là d’un mélange où il y a des caractéristiques à la fois humaines et alien, et donc dans ce cas-là, l’enlevée
tenait le bébé, qui était minuscule, dans sa main. Voilà un autre cas avec le même genre de situation, et nous avons de
nombreux cas de ce type. Quelquefois, il s’agit de tous petits enfants qui ont une tête extrêmement laide et bizarrement conformée. Un
autre cas… Nous allons passer en revue très vite. Là, il s’agit d’une petite maquette qui a été faite par
un abducté. Parfois les yeux sont noirs, parfois ils sont blancs, mais ils sont toujours de très grande taille. Le processus
de base, c’est qu’une femme est enlevée, quelque chose lui est introduit dans le vagin, un instrument, elle se
retrouve enceinte, subitement sa grossesse disparaît – apparemment lors d’un autre enlèvement. Il s’agit
là de traces au sol qui apparaissent très souvent. Mais pour en revenir, donc, aux enlèvements, la femme, une fois que
le bébé a disparu, cette femme est enlevée à nouveau et on lui montre soit un tout petit bébé ou un tout petit enfant et on
l’amène à penser qu’elle est la mère de cet enfant, et on la fait tenir ce bébé ou cet enfant pour qu’il
y ait un lien qui se crée entre eux. C’est comme s’il y avait une croyance de la part des aliens dans ce qui est
le contact humain (human touch), le toucher humain. Maintenant, il y a bien sûr beaucoup d’autres choses que je pourrais
vous dire à propos de cette sorte d’hybridation, de mélange entre les aliens et les humains. Mais je me rends compte
que le temps maintenant m’est compté, donc je voudrais remercier tout le monde… Five minutes ? OK Donc il s’agit
là de traces au sol qui ont été prises au même endroit mais lors d’années différentes. Le sol avait été cuit, il
était devenu de la dureté d’une roche. Voilà. Donc là, il s’agit de ce qu’on peut appeler des hybrides
adultes. Et nous avons des nombreuses descriptions de ce type. Les personnes enlevées pensent que ces femmes, en fait,
portent des perruques, comme si elles essayaient de se faire passer pour des humains comme nous, mais sans vraiment y réussir
! Voilà. Un autre exemple tiré d’un autre cas et donc dessiné par un autre témoin… Celui-ci vient du cas
de Linda Cortile… Les femmes trouvent que ces perruques sont extrêmement démodées aujourd’hui ! Il s’agit
d’un cas australien. Il s’agit là d’un cas dans lequel deux abductés différents, dans deux cas différents,
ont vu le même hybride de sexe masculin adulte. La jeune femme qui a fait ce dessin avait vu cet être toute sa vie ; elle
a déclaré qu’il avait des lunettes très particulières et des pommettes (cheekbones) étranges. Il avait été sexuellement
agressif avec elle alors qu’elle était enfant, mais il était aussi de temps en temps amical, et lors d’un enlèvement
où l’autre abductée était aussi présente, il s’est montré, il est passé à travers le mur avec d’autres aliens,
des Gris, et ils ont enlevé les deux femmes ensemble. L’autre femme, à ma demande, parce que c’est une artiste,
a fait un dessin de ce même hybride. Et voilà le résultat. Les étranges pommettes, les cheveux bouclés et les lunettes. Finalement,
nous ne savons pas du tout ce que sur le long terme cela signifie, mais cela ressemble à ce qui pourrait être une tentative
d’infiltrer notre société. Cela pourrait être dangereux ou cela pourrait être quelque chose de différent. La culture
la plus puissante pourrait prendre le pas sur la plus faible. D’un autre côté, ils pourraient peut-être finalement se
montrer très… nous aider à la fin. Peut-être même partager leur technologie avec nous. Nous ne pouvons pas vraiment
savoir, il se peut qu’ils prennent simplement ce dont ils sont envie et qu’ensuite ils s’en aillent. Dans
le même temps, nous pouvons seulement continuer à faire ce que nous avons déjà fait : collecter et analyser les faits et être
optimiste (hoping for the best). Merci beaucoup. (Applaudissements)
JEAN-LUC RIVERA – Merci. Et merci
d’avoir supporté la traduction !
Transcription : Gérard Le Nerrant Sources: http://private952.free.fr/documents/Chalons-BuddHopkins-151005.pdf
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Deuxième conférence de Budd
Hopkins avec Jean-Luc Rivera Thème : Les Abductés (les enlevés)
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