Faites-vous votre opinion !
Merci de votre civisme.
I
Etudes et Présentations des cas OVNI SOLIDES
ET REELS
II
D'où proviennent ces cas OVNI SOLIDES ET REELS
?
Note importante:
Nous resterons très objectifs pour ne pas
vous influencer d'une manière ou d'une autre.
I
Etudes et Présentations des cas OVNI SOLIDES
ET REELS
A.
Les travaux du GEPAN/SEPRA montrent qu'il
y a toute une catégorie de phénomènes physiques rares à occurrence
variable qui ne peuvent être assimilés à des phénomènes naturels ou
artificiels connus. Voyez dans le paragraphe "B." , la méthode très sérieuse et professionnelle développée par le GEPAN/SEPRA
pour étudier chaque cas.
Depuis plusieurs dizaines d'années, la collecte
systématique et l'étude scientifique des phénomènes atmosphériques
inhabituels ont permis quelques avancées majeures. Bien entendu, une bonne proportion des observations se sont, à l'analyse, révélées tout à fait explicables : rentrées de satellites, ballons-sondes, etc. Cela a d'ailleurs permis de tester
la précision des observateurs, la véracité et la concordance
des témoignages. Les cas de supercherie sont en définitive fort rares et assez faciles à détecter. La plupart des observateurs font des comptes rendus fidèles, même s'il faut tenir compte des difficultés des diverses appréciations.
Le grand nombre des observations de toutes sortes
a aussi permis de classer à part les observations crédibles
et bien documentées dites PAN D (Phénomènes aérospatiaux non identifiés de catégorie D), pour lesquelles aucune explication n'a pu être trouvée. Pourtant ces phénomènes sont souvent attestés par des témoignages concordants allant jusqu'à des observations
visuelles jumelées avec des observations radar. Certes,
s'il n'y avait qu'une dizaine de PAN D, on pourrait se
contenter de classer "sans suite" ce dossier ambigu, mais nous n'en sommes plus là et de très loin. Nous sommes donc bien obligés de rechercher des explications plausibles.
Ces phénomènes, PAN D, mis en évidence, tant dans le domaine aéronautique (cas aéronautiques civils et militaires),
que près du sol (cas de rencontres rapprochées), recoupent d'autres
cas d'observation bien documentés et vérifiés par des autorités officielles
dans le monde.
Voyez pour cela les cas solides que nous vous exposons dans
notre dossier DES CAS SOLIDES POUR LES SEPTIQUES ET LES AUTRES http://www.ovni007.com/id110.html .
PAN D: phénomène non identifiable malgré l'abondance
et la qualité des données.
La classification détaillée des PAN se trouve au paragraphe
"C.".
Les PAN D représentent 4 à 5 % des
cas. Ils englobent des observations de phénomènes dont certains près
du sol à quelques mètres des témoins. Les cas les plus étranges et
les plus mystérieux de cette catégorie sont généralement intitulés RR3 (rencontres rapprochées du troisième type), selon la classification proposée par le professeur A. Hynek, astronome et conseiller de l'USAF, dans le cadre du projet Blue Book.
Il est intéressant de noter que, dès novembre
1947, après de ce qui deviendra plus tard l'affaire de Roswell et au tout
début de la toute première vague d'observations modernes d'OVNI, aux Etats-Unis, le général Twining, responsable de l’Air Material Command, a rédigé un rapport
(rapport dont l'existence n'a été révélé que vingt-deux ans plus tard) sur les 'disques volants', dont les conclusions sont très explicites :
1. Le phénomène rapporté est quelque chose de réel, il ne s'agit pas de visions ou d'imagination.
2. Il existe des objets ayant la forme d'un disque et dont la dimension est comparable à celle de nos avions.
3. Il est possible que certaines observations
correspondent à des phénomènes naturels.
4. Les vitesses ascensionnelles très
élevées observées, la manœuvrabilité et les manœuvres de fuite, lorsque les disques sont détectés, laissent supposer quels sont pilotés ou télécommandés.
5. La plupart des témoins décrivent
des objets à surface métallique, de forme circulaire ou elliptique, avec la partie supérieure en forme de dôme, volant sans bruit en formation de trois
a neuf objets...
Les Etats-Unis ont pratiqué, depuis cette époque,
une politique de secret croissant
(classification au-dessus d'ultra-secret de certains dossiers d'Ovni, selon le général Barry Goldwater) et de désinformation continue. Les conclusions étranges
du rapport Condon n'en sont qu'un épisode. Pourquoi et
comment un secret d'une telle importance aurait-il pu, malgré tout, être préservé jusqu'à aujourd'hui ? La réponse la plus simple serait que les Etats-Unis veulent conserver à tout prix une supériorité technologique militaire sur les pays concurrents,
et, peut-être, un contact privilégié.
B.
Le GEPAN a développé une méthode originale d'étude
des phénomènes rares à occurrence aléatoire. Les météorites
font partie de ces phénomènes. Les scientifiques ont longtemps refusé de prendre en compte les observations de pierres tombées du ciel rapportées généralement par des paysans. Fort heureusement, le physicien Jean-Baptiste Biot a effectué en 1 803
une enquête approfondie au village de Laigle, dans l'Orne,
environ trois semaines après qu’on y ait rapporté des chutes de pierres d'origine céleste. Biot a examiné de nombreuses pierres et certaines traces (branches brisées, toits perforés, incendies) et interrogé de nombreux témoins
indépendants. Il a produit un rapport convaincant qui
a donné aux météorites une existence scientifique.
La méthode mise au point par le GEPAN a été approuvée
par son conseil scientifique. Elle consiste essentiellement
à cerner les phénomènes initialement inconnus en effectuant l'analyse conjointe de quatre types de données concernant :
- les témoins : physiologie, psychologie, etc.,
- les témoignages : récits, réactions aux questions,
comportement général, etc.,
- l'environnement physique : météorologie, trafic
aérien, photographies, données radar, traces sur l'environnement,
etc.,
- l'environnement psychosociologique : lectures
et croyances des témoins, influence éventuelle des médias
et de groupes divers sur ces témoins, etc.
Les rapports de gendarmerie contiennent souvent
des données suffisantes pour que l'on puisse identifier
le phénomène observé. Dans bien des cas, celui-ci s'avère être un avion, une planète, un satellite, etc. Dans d'autres cas, une enquête complémentaire, plus ou moins importante, est effectuée par le GEPAN/SEPRA. Une étude approfondie peut durer jusqu'à
deux ans. L’analyse des traces sur l'environnement
peut conduire à faire appel à des laboratoires spécialisés (voir les cas de Trans-en-Provence et de "l'Amarante").
Enfin des recherches ont été effectuées en liaison
avec les universités pour perfectionner la méthode d'enquête.
Le CNES, par souci de rigueur scientifique, a adopté le terme "PAN" au lieu et place du terme d'OVNI, plus connu mais plus restrictif Le GEPAN est le groupe d'étude des PAN.
C.
Classification des PAN (Phénomènes aérospatiaux non identifiés)
Après étude, chaque cas est classé par le
GEPAN/SEPRA dans l'une des quatre catégories suivantes, en fonction
de son degré d'identification :
- catégorie A: phénomène parfaitement identifié,
- catégorie B : phénomène probablement identifiable,
mais qui ne peut être identifié de façon certaine par manque d'éléments,
- catégorie C phénomène non identifiable par manque
de données,
- catégorie D phénomène non identifiable malgré
l'abondance et la qualité des données.
II
D'où proviennent ces cas OVNI SOLIDES ET
REELS ?
A. 1ère hypothèse : Les phénomènes seraient naturels
et inconnus
Cette hypothèse ne peut pas être totalement écartée
et doit donc être citée, elle est cependant difficile
à soutenir dans les cas où l'OVNI observé a un comportement apparemment intelligent(manœuvres d'approche, de poursuite, d'évitement, de fuite...).
B. Les hypothèses ascientifiques
"Sans nous en rendre compte vraiment
nous sommes manipulés" (par un groupe très secret d'hommes très puissants et très savants, par des êtres étranges et inconnus, voire extraterrestres, par
des esprits, par le diable, par nos fantasmes psychologiques,
etc.). On ne peut évidemment pas dire a priori
que de telles hypothèses soient vraies ou fausses, elles sont indémontrables ; leur inconvénient principal est qu'elles ne peuvent pas nous servir à grand-chose.
Il faut ranger dans cette catégorie les phénomènes
parapsychologiques et les hallucinations collectives.
Il en est de même de l'idée parfois émise que les engins futuristes observés sont effectivement des produits de l'activité future de l'humanité. Nos lointains descendants, ayant trouvé le moyen de remonter le temps, viendraient nous observer...
C.
3ème hypothèse: Les engins volant secrèts viendraient d'une grande puissance humaine
Les PAN D seraient alors des véhicules d'origine humaines
pilotés ou télécommandés. Il ne manque pas d'observateurs pour estimer que l'objet aux performances fantastiques qu'ils ont
vu évoluer dans le ciel serait le dernier cri du progrès militaire,
ce qui expliquerait le secret dont il est entouré. Certes, des études, comme celles de l'avion furtif ou de la magnétohydrodynamique, conduisent effectivement à des progrès impressionnants.
Cependant, outre qu'il serait bien imprudent d'exposer ainsi aux regards profanes et à ceux d'experts étrangers
ce qu'il y a tant d'intérêt à cacher, on peut aujourd'hui ajouter que,
depuis toutes les décennies durant lesquelles se sont produits ces phénomènes,
le secret aurait été fatalement éventé ; surtout si l'on tient compte des bouleversements politiques de ces dernières années.
Nous savons par des informateurs sur ce sujet que les Américains
possèdent secrètement actuellement des engins furtifs à mhd couplé à anti-gravité en forme triangulaire avoisinant
les 100 mètres de côté (gros triangle appelé TR3A et TR3B). Cependant les informateurs disent que ces engins ne volent
secrètement que depusi 1965 ou 1966. Voyez notre dossier PLEIN LA TRONCHE TRES GROS SECRET, les révélations de Jean Marc Roeder
http://www.ovni007.com/id99.html .
A notre connaissance, nous ne connaissons actuellement aucun
autre engin volant d'une telle taille ou supérieure d'origine humaine.
D.
Hypothèse de tentatives de désinformation
Dans cette catégorie entrent les trucages, les
montages généralement accompagnes d’une forte médiatisation.
Certains chercheurs estiment que, sans pour autant prêter à la fabrication d'armes ultramodernes, les performances des engins de pointe peuvent servir à intoxiquer l'opinion au même titre que les autres techniques de propagande. Bien entendu ce
point de vue est une conséquence directe du temps de
la guerre froide. Tous les moyens étaient alors bons pour déstabiliser
l'autre camp, y compris la peur de l'invasion par des extraterrestres ou l'instillation du doute envers des dirigeants 'qui nous cachent quelque chose de manifestement
très grave'.
Ce type d’hypothèse est encore moins satisfaisant
que les précédents car il se heurte aux objections de
chacun d'eux.
E. Hypothèse : les cas serait des images holographiques
A la charnière des tentatives de désinformation et des
hypothèses extraterrestres se situe le thème des images holographiques,
que celles-ci soient le fait d'une grande puissance humaine ou d'équipages extraterrestres. A vrai dire ce thème est d'un emploi difficile. Il exige une préparation importante car l'air est très transparent et ne diffuse que très difficilement la lumière.
Il faut donc, soit disposer d'un appareillage important couvrant
le champ optique utilisé, soit au moins y projeter un écran
approprié, par exemple un film d'eau.
La première méthode correspond aux images holographiques
théoriques, la seconde est plus simple et fréquemment utilisée
pour ses effets spectaculaires, mais elle laisse évidemment des traces...
On peut aussi envisager d'utiliser les nuages ou un rideau de pluie, mais cela présente bien sûr de multiples aléas. Pour autant que nous puissions en juger aujourd'hui la méthode des
images holographiques et les méthodes associées ne sont susceptibles
que d'utilisations très limitées.
F . Hypothèse que des cas proviendraient d'Extraterrestres
Comment expliquer les cas survenus avent 1960,
ou les observations d'OVNI de très grande taille comme celles signalées pour la vague du 5 novembre 1990 ?
Des engins de 300 mètres à plus de 2 kilomètres
de long pour certains ont été vus, plus de 500 témoignages ont été reccueilli et les observations couvraient 74 départements
de la France, le nombre de ces engins a été estimé à au 400 ce jour-là. Toute cette enquête est consignée dans le livre OVNI CONTACT édité par la Banque internationale de données ufologiques
et les coupures de presse sont visibles sur http://perso.numericable.fr/%7Ewolf424/univers.ovni/archives/articles_presse/phenomenes_etendus/rentree_05_11_90.html
Peut-on raisonnablement penser qu'une puissance
humaine ai des engins de cette taille ? Et aussi même si les engins avaient été plus petits pourquoi se montreraient-ils ainsi
? Cela n'aurait aucun sens. De plus l'hypotèse des hologrammes pour les engins imposants de cette journée exceptionnelle
est à exclure.
De même, le 13 mars 1997, à Phoenix en Arizona
aux Etats-Unis, des milliers de personnes observèrent un objet lumineux énorme, en forme de triangle de taille estimée à 1,5
kolomètre de côté, volant lentement et en silence, s'attardant parfois au-dessus de zones très peuplées, sans qu'on puisse
apercevoir quelque chose qui ressemblait à des ailes. . Jusqu'à aujourd'hui, les habitants de l'Arizona, ne savent toujours
pas ce qui avait pénétré l'espace aérien des Etats-Unis cette nuit Là. Des vidéos et photos existent, et ce cas a évidemment
fait la une des journaux locaux. L'hypotèse de hologramme pour cet engin imposant est même à exclure.
Ainsi, un grand nombre de gens sont aujourd'hui
convaincus que les OVNI sont pilotés par des êtres intelligents venus de très loin dans l'Univers et chargés de nous surveiller
et même d'entrer en contact avec nous.
Des individus prétendent d'ailleurs avoir été
contactés, dans un but d'études ou en vue de l'établissement de relations d'intelligence à intelligence. Peut-on imaginer
des contacts directs et continus, au plus haut niveau d'un ou de plusieurs Etats, en particulier les Etats-Unis ? Il est vrai
que l'attitude de ce pays est des plus étranges depuis la vague de juin 1947, suivie de l'affaire de Roswell en juillet 1947.
Si les Américains ont pu recueillir à cette occasion ou à d'autres, au minimum, des débris ou des épaves entières de vaisseaux
extraterrestres, en plus ou moins bon état, et même des cadavres d'humanoïdes, un certain type de contact aurait bien été
établi.
Le colonel Corso, officier de renseignement
de l'armée américaine prétend que Roswell en 1947 était un crash d'origine extraterrestre, et il affirme que le ou vers le 6 juillet 1947, en poste à Fort Riley, au Kansas, il a personnellement vu une créature
non humaine de 1m20 ayant des mains à l'apparence bizarre avec quatre doigts, des jambes et des pieds fins, ainsi qu'une tête
surdimensionnée incandescente en forme d'ampoule. Les cavités oculaires était surdimensionnée, en forme d'amande et dirigées
vers le minuscule nez . Le crâne de la créature était développé au point que toutes les caractéristiques faciales se trouvaient
sur le crâne, n'occupant qu'un petit cercle sur la partie inférieure de la tête. Il n'y avait ni sourcil ni signes d'une pilosité
faciale. La créature n'avait qu'une mince fente place pour bouche et celle-ci était complètement fermée, ressemblant plus
à un pli ou une entaille entre le nez et le bas du menton qu'à un orifice fonctionnant bien.
Lors d'un déjeuner en octobre 1973 en Ohio pendant
la grande vague d'OVNI sur la côte-est des Etats-Unis, Allen Hynek, président honoraire et ancien professeur du département
d'astronomie de la Northwestern University aux Etats-Unis, chuchote dans l'oreille de Jennie Zeidman que des corps d'Extraterrestres
ont été retrouvés en 1962 et il précise que les corps ont été tranférés à Holloman au Nouveau Mexique. Il disait tenir cette
information de l'US Air Force. Jennie Zeidmann était la secrétaire de Hynek et son assistante pour les recherches dans les
débuts du projet Blue Book.
Phil Schneider, ancien
ingénieur affirme dans ces conférences de 1995 avoir travaillé pour des projets gouvernementaux des Etats-Unis, on ne peut
plus secret, dans la base militaire de Dulce au Nouveau-Mexique, il prétend avoir été confrontés en 1979 à un grand
nombre d'entités extraterrestres au cœur d'une immense caverne, des extraterrestres connus sous l'appellation de Grands
Gris, ces gens seraient même peut-être des Intraterrestres.
Les révélations du
colonel Hollanda Lima de l'armée brésilienne sont tout aussi étonnantes.
En 1985, 8 ans après
l'Operação Prato, le magazine Ufologia Nacional & Internacional (magazine prédécesseur de UFO) recevait de la part d'un
indicateur inconnu de l'armée de l'air brésilienne (la FAB) une série de photos prises dans la région amazonienne. Il sagissait
de photos secrètes prises par des militaires et agents secrets lors de l'Operação Prato. Le matériel a été publié au risque
d'entrainer de grâves conséquences pour le magazine.
Cet inconnu était le
colonel Hollanda Lima.
Les lecteurs de la
revue UFO apprirent ainsi qu'une mission officielle d'enquête sur les OVNIs avait été menée dans la région amazonienne dans
le plus grand secret par la FAB et que les militaires impliqués avaient vécus divers évènements qui prouvaient la réalité
du phénomène OVNI et de son origine extraterrestre. Cela ne dérangeait nullement Hollanda qu'on rapporte ces faits car il
pensait qu'il était important que tous soient au courant. A cette époque, Hollanda (à l'époque capitaine) suivait chaque fait
relaté par la revue UFO et était persuadé de son sérieux. En 1988, UFO contacta Hollanda qui travaillait pour le COMAR, celui-ci
reçu l'équipe de journalistes d'une manière formelle, mais ouverte. Il ne pouvait divulguer à l'époque, les informations souhaitées,
c'est pourquoi la revue tenta une nouvelle foisde le contacter en 1990, alors que l'officier se trouvait au seuil de la retraite.
Mais à part quelques échanges d'idées, il n'y eu pas d'informations concrètes.
En 1997, le colonel
Hollanda fut interviewé à Cabo Frio par Luiz Petry, le producteur de l'émission Fantástico et par Bia Cardoso, journaliste
de la Manchete, l'un des magazines brésiliens les plus connus.
En 1998, la revue ufologique
Magazin 2000plus (N°125 page 18 et n°126 page 16) publiait une entrevue extrêmement intéressante avec un certain colonel retraité
du nom de Hollanda Lima. Il y parlait d'un projet ufologique des militaires brésiliens qui a eu lieu en 1977, la mission Operação
Prato (traduit mot pour mot : "l'opération assiette").
C'est ainsi que le
public en appris beaucoup sur la mission Operação Prato. Ce que Hollanda déclara était sensationnel. Durant les 4 mois qu'ont
duré cette mission, il n'a pas seulement eu la possibilité d'en apprendre plus encore, il a également observé de près des
dizaines de fois de grands objets volants non identifiés. Hollanda se souvient d'instants de frayeur vécus dans la forêt vierge
lorsqu'un immense OVNI s'est approché à moins de 100 m de lui.
Le colonel Hollanda
devint conseiller de la revue UFO et promis de participer aux rencontres ufologiques mondiales à Brasilia, en décembre 1997.
Il n'en a malheureusement pas eu l'occasion, le 2 octobre 1997, le colonel Hollanda fut retrouvé mort dans sa maison. Bien
que la cause officielle du décès soit le suicide, tout laisse à penser qu'il sagit d'un meurtre. Deux membres de sa famille
ont depuis disparu sans laisser de traces, ainsi que de nombreux documents originaux que le colonel avait en sa possession.
Quelqu'un voulait-il empêcher le courageux officier d'en dévoiler encore plus? Une chose est certaine en tout
cas : l'Operação Prato est un fait et personne ne peut nier l'authenticité des documents et témoignages publiés. L'entrevue
avec le colonel Hollanda nous apporte l'une des plus spectaculaire révélation de ce siècle sur le phénomène OVNI.
Le Docteur Michael
Wolf de l'armée des Etats-unis, mort en 2000 d'un cancer, a lui affirmé avoir connu personnellemnt des Extraterrestres
et même travaillait avec eux, ses révélations sont immenses, vous pouvez lez retrouvées sur http://www.onnouscachetout.com/themes/extra/drwolf.php
Le docteur serait donc
possiblement la plus haute instance du gouvernement satellite à s'être avancée jusqu'ici pour nous offrir un aperçu extraordinaire
et stimulant du cover-up des ovnis et de la réalité des Extraterrestres.
Citons aussi les deux
plus grands contactés controversés par la presse Billy Edouard Albert Meier qui serait en contact avec des Pléadiens, et feu
George Adamski qui lui aurait été en contact avec des Vénusiens.
D'autres contactées
présumés mériteraient d'être cités mais nous ne pouvons énumérés tout le monde ufologique, les exemples que nous vous faisons
part sont déjà très fournis.
Faites-vous votre opinion !
Merci de votre civisme.
Le temps du rire est passé en tous cas !
|