Un cas à témoins multiples dans une base de missiles
russe (28-29 juillet 1989)
En tête des rapports d'OVNI déclassifiés
par le KGB en 1991, figure un dossier relatif à une base de missiles
de l'armée, près de Kapustin Yar, dans la région d'Astrakhan, dont il est fait état dans l'ouvrage de Marie Galbraith (cf. chapitre 9. 1). Le public anglophone en a eu connaissance par la revue moscovite AUR,4-Z de mars 1993. Des militaires, appartenant à deux centres de la base, ont fait des dépositions manuscrites sur leurs observations visuelles, réalisées dans
de bonnes conditions de visibilité. Le dossier, incomplet, ne traite
pas de détections radar éventuelles. Il débute par un bref résumé du
cas, dont l'auteur était un officier anonyme du KGB, suivi de la relation
de sept témoignages manuscrits :
- Cinq témoignages, provenant du premier
centre, sont le fait du lieutenant Mimenko, de deux caporaux et de
deux soldats. Dans la nuit du 28 au 29 juillet, ces militaires ont observé des OVNI, entre 22h15 et 23h55, à une distance de 3 à 5 km. jusqu'à trois objets ont été vus simultanément.
Un objet a exécuté, en silence, des déplacements
saccadés, avec des départs et des arrêts très brusques, et des périodes
d'immobilité. Tous les témoins ont vu un avion de chasse tenter de s'approcher
d'un OVNI, et celui-ci s'échapper à une vitesse fulgurante, 'donnant
l'impression que l'avion faisait du surplace' Seul le bruit de l'avion a été entendu, alors que l'OVNI devait avoir atteint une vitesse supersonique.
- Deux autres témoignages, émanant d'un
centre voisin du premier, concernent l'observation d'un OVNI, de 23h30
à 01h30, à une distance allant de quelques kilomètres à 300 m. Celui-ci a été décrit par le sous-lieutenant Volochine comme un disque de 4-5 m de diamètre, surmonté d'une coupole hémisphérique brillamment éclairée. Le sous-lieutenant a joint à sa déposition un croquis
de la soucoupe. Celle-ci se déplaçait parfois brusquement, mais sans
bruit, et parfois restait immobile à 20-60 m au-dessus du sol. En compagnie
du soldat Tichaev, Volochine l'a vue, émettant une lumière verte phosphorescente,
immobile à 300 m d'eux et à quelque 20 m au-dessus d'un dépôt de missiles
; elle a éclaire ce dépôt par un faisceau de lumière mobile pendant quelques secondes.
Dans un rapport, cohérent avec celui de
son supérieur, le soldat Tichaev insistait sur l'absence de bruit provoqué
par l'objet, même à courte distance, ce qui empêchait de le confondre avec un hélicoptère. Les deux témoins, rejoints après un temps par l'équipe de garde, avaient assisté, durant deux heures, aux évolutions de l'objet au-dessus du centre et de ses abords.
Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS DE LA DEFENSE
Quarouble, dans le nord de la France (10 septembre
1954)
Le 10 septembre 1954 Marius Dewilde est témoin de
l'atterrissage d'un vaisseau (et de ses occupants) posé sur la voie ferrée près de sa maison de garde-barrière. Son histoire
a défrayé la chronique à l'époque, et plus tard il a raconte son histoire dans un livre: "Ne résistez pas aux extra-terrestres".
Nous sommes vendredi dernier, M. Dewilde lit, dans
sa cuisine, son hebdomadaire illustré. Il est environ 22 h 30. Sa femme et ses deux fils 14 ans et 2 ans 1/2 dormaient au
premier étage - dans la chambre mansardée. Depuis quelques minutes déjà, M. Dewilde entend le chien aboyer dehors, mais il
n'y prête pas attention. Pourtant, excédé par ces aboiements il se lève finalement, prend sa lampe de poche et ouvrant la
porte de la cuisine qui donne sur un petit enclos contigu à la ligne de chemin de fer, il crie "Kiki, t'as pas bientôt fini?"
C'est alors que M. Dewilde entend du bruit dans le
petit chemin reliant les deux voies ferrées.
Instinctivement, il braque, dans la direction de
l'endroit d'où provient le bruit, la lampe de poche. Et dans le faisceau lumineux apparaît un homme - un petit homme qui court
en se dirigeant vers la "masse sombre."
C'est un enfant, pense-t-il, mais en regardant mieux,
il aperçoit un second homme, derrière l'autre, et il suppose alors que ce sont des fraudeurs, car il croit deviner sur leur
dos un lourd fardeau.
C'est alors que la lumière de la lampe éclaire la
tête d'un des individus et M. Dewilde s'aperçoit qu'elle est recouverte d'une sorte de scaphandre ou de casque en verre. Il
voit aussi que l'homme porte une combinaison très ample...
Et puis brutalement il est aveuglé par une lumière
qui le surprend. Quand ses yeux peuvent percer à nouveau l'obscurité, la machine - qu'il avait prise pour un chariot chargé
de foin - s'élève verticalement en se balançant sur elle-même, et s'éloigne rapidement au-dessus de la voie ferrée en dégageant
une petite flamme par l'arrière sans faire plus de bruit qu'un léger ronronnement.
Là où l'engin s'est posé, Il y a un creux,
une sorte de cuvette sur une longueur d'au moins six métres, il y a également des traces sur le travers du ballast et des
entailles sur les traverses des rails.
Ce sont des militaires revétus d'une combinaison
antiradiations qui s'imposent en tout premier lieu: le locataire, toute sa famille et lui-même ont été soumis
à la détection des compteurs Geiger, et cette détection a été effectué aussi sur les animaux et bien sûr
sur le terrain. Résultat de l'opération: "La radioactivite est supportable pour l'être humain et les animaux".
L'endroit où l'engin s'est posé est radioactif !
Plus tard on apprendra que Monsieur Dewilde
a été conduit dans un camp militaire qui était , en fait,
une ancienne prison civile pour y êtres interrogé de façon très musclée... En effet, il lui a été remis par ses visiteurs
nocturnes une boite noire.
En
ce jour du 17 octobre 2006, en exclusivité OVNI007 certainement, nous savons que cette boite était vraiment fascinante, métalique
et noire de format approximatif 25 cm*15cm*15cm, elle s'ouvrait et se fermait sans charnière, il suffisait de toucher
le dessus du couvercle (solidaire d'un seul tenant au reste de la boite) pour que la boite s'ouvre ou
se ferme doucement, et de plus à l'intérieur, on pouvait voir de multiples cadrans qui ne ressemblaient en rien de ce que
les hommes sont censsés fabriqués. Cette boite dégageait vraiment l'impression qu'elle n'était pas de ce monde. Nous tenons
cette information d'une personne très sérieuse qui a bien connue Monsieur Marius Dewilde et qui a vue cette boite et l'a décrite
à Monsieur Jérôme Gorriz lors d'une de leurs rencontres, cette personne préfère restait anonyme pour le moment pour des raisons
personnelles.
Cette
boite doit être restée certainement maintenant entre les mains des militaires qui l'ont interrogés, mais cela nous ne
pouvons pas l'affirmer.
Sources: Interwiew d'époque fait par GAUMONT CINEMA - Livre:"Ne résistez pas aux extra-terrestres" de Marius Dewilde - Contact personnel
du groupe OVNI007 connaissant personnellement Marius Dewilde et ayant vu lui-même cette boite.
Valensole, Alpes-de-Haute-Provence (1-, juillet 1965)
Enquête approfondie de la Gendarmerie nationale
Valensole, le 1er
juillet 1965, Maurice Masse, qui a quitté son domicile à 5h du matin, se dirige vers ses champs de lavande situés sur le plateau à proximité du village.
Avant de mettre en marche son tracteur vers 6 h, il allume
une cigarette et entend à ce moment-là un sifflement qui attire son attention. Emergeant de derrière un pierrier, il voit, à environ 90 m de lui, un objet posé dans son champ. Sa forme évoque celle d'une voiture "Dauphine" posée sur six pattes avec
un pivot central.
Il se rapproche avec précautions, à une distance
d'une dizaine de mètres, pensant peut-être surprendre
des gens en train de lui voler de la lavande. Il voit alors deux petits êtres, dont l'un, tourné dans sa direction, va pointer vers lui un tube pris dans une sorte de sacoche accrochée sur son flanc gauche. Maurice Masse précisera qu'il va être totalement
immobilisé sur place, engourdi et paralysé, mais parfaitement
conscient des événements qui vont se dérouler sous ses yeux. Les deux êtres vont alors remonter dans leur engin. il les observera, alors qu'ils seront derrière une sorte de dôme, et il entendra un bruit sourd au moment u l'objet s'élèvera du
sol. De même, il remarquera que le tube qui était sous
l'objet, au contact du sol, se mettra à tourner, ainsi que les six pattes, qui s'escamoteront sous l'appareil. L’objet montera ensuite à la verticale avant de s'incliner en oblique et de disparaître plus vite qu'un avion à réaction. Maurice
Masse restera ainsi immobilisé durant une quinzaine de
minutes avant de retrouver ses esprits, puis de reprendre son travail et d'aller raconter son histoire au village où les gendarmes, ayant eu connaissance de l'affaire, l'auditionneront dans la journée.
La brigade de gendarmerie de Valensole, puis la
brigade de recherche de Digne, enquêteront sur ce cas
durant plusieurs jours. Les investigations de la gendarmerie établirent l'existence, a l'endroit indiqué par Maurice Masse, d'une cuvette imprimée dans le sol, qui était détrempé
à cet endroit.
En son centre se trouvait un trou cylindrique
aux parois lisses de 18 cm de diamètre et de 40 cm de profondeur.
Au fond de celui-ci se trouvaient trois autres trous coudés de 6 cm de diamètre. Le long de l'axe de fuite de l'objet, sur une centaine de mètres, les plans de lavande étaient desséchés.
Ce phénomène dura plusieurs années, au cours desquelles
le témoin essaya vainement de replanter des plants dans
un rayon de quelques mètres autour de la trace.
Malgré quelques éléments contradictoires dans
le récit de Maurice Masse, les éléments recueillis par
les deux brigades de gendarmerie ont confirmé la plausibilité des faits, en particulier les effets sur l'environnement et sur le témoin lui-même, qui, durant plusieurs mois, dormit
douze à quinze heures par nuit, à la suite de la paralysie
dont il avait été victime. L’enquête de moralité sur le témoin ne révélera pas d'éléments particuliers permettant de soupçonner un comportement de mythomane ou le montage d'un canular.
Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS ET LA DEFENSE
Cussac, Cantal (29 août 1967)
Enquête du GEPAN / SEPRA
Parmi les cas d'OVNI, l'affaire de Cussac
occupe une place particulière puisqu'en 1978 une contre-enquête fut
menée, à titre d'exemple, à la demande du conseil scientifique du GEPAN. Le 29 août 1967, vers 10 h 30, par une belle matinée ensoleillée sur les hauts plateaux du centre de la France, deux jeunes enfants gardent le troupeau familial. Le chien qui les accompagne les avertit
qu'une vache s'apprête à franchir le muret de l'enclos. Le garçon,
âgé de treize ans à l'époque, se lève pour faire revenir la vache,
quand il aperçoit de l'autre côté de la route quatre enfants qu'il ne reconnaît
pas. Surpris par ce qu'il observe, il appelle sa sœur quand il aperçoit, en retrait des inconnus, une sphère extrêmement brillante. Ils se rendent alors compte qu'il ne s'agit pas d'enfants mais de petits êtres noirs, dont la taille ne doit pas dépasser 1,20 m.
Deux d'entre eux sont debout à côté de la sphère, un autre est agenouillé
devant elle et le quatrième, debout, tient dans la main une sorte de
miroir qui aveugle les enfants. Le garçon essaye de les interpeller, mais les petits êtres regagnent alors précipitamment la sphère. Les enfants les voient s'élever du sol et pénétrer dans la boule par le haut, en y plongeant la tête la première. La sphère décolle avec
un sifflement, puis s'élève dans le ciel en décrivant un mouvement
hélicoïdal continu à grande vitesse.
Le chien aboie, les vaches se mettent à meugler
et une très forte odeur soufrée emplit l'atmosphère.
La contre-enquête débutera en 1978 avec
une équipe d'enquêteurs du GEPAN et des membres conseillers extérieurs
qualifiés, dont un ancien juge d'instruction.
Les faits marquants de cette contre-enquête
ne concernèrent ni les faits, ni le récit, mais des éléments nouveaux,
tels que des témoins secondaires retrouvés sur les lieux, qui apportèrent des indices supplémentaires et renforcèrent la crédibilité du cas. En particulier, un gendarme, qui s'était rendu sur les lieux immédiatement après l'incident, avait trouvé des traces sur le sol
à l'endroit indiqué par les enfants et noté la très forte odeur de
soufre. De même, un autre témoin se manifesta, reconnaissant s'être
trouvé dans un grenier proche des lieux, et se souvenant parfaitement
du bruit de sifflement très différent de celui d'un hélicoptère de l'époque.
Les reconstitutions sur les lieux, en présence
des deux témoins principaux, confirmèrent tant les récits descriptifs
que les circonstances qui suivirent l'observation. Les enfants, à l'époque, évoquèrent une forte odeur de soufre, mais ils subirent surtout des troubles de nature physiologique, leurs yeux pleurèrent durant plusieurs jours ; ces faits furent constatés par le
médecin de famille et confirmés par leur père, alors maire du village.
Le magistrat, dans la conclusion de cette contre-enquête, donna son
avis sur les témoins et leur témoignage :
"Il n’existe dans ces divers éléments aucune faille, aucune discordance qui permette de douter de la sincérité
des témoignages, ni d’envisager raisonnablement une invention,
une supercherie, ou une hallucination. Dans ces conditions, malgré
Le jeune âge des témoins principaux, et aussi extraordinaires que paraissent
être les faits qu’ils ont relatés, je pense qu’ils les ont réellement observés. "
Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS DE LA DEFENSE
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Trans-en-Provence, Var (8 janvier 1981)
Enquête du GEPAN / SEPRA
Trans-en-Provence, le 8 janvier 1981 vers 17 h, un homme qui
construit un petit abri pour une pompe a eau, dans son jardin, va être
témoin de ce qui est peut-être l'un des cas les plus insolites jamais
observés et étudiés en France. Un reflet du soleil sur quelque chose évoluant dans le ciel va attirer son attention et lui permettre d'observer la descente, puis l'atterrissage brutal, sur un
terreplein situé en contrebas de sa maison, d'un objet métallique silencieux.
Celui-ci, de forme ovoïde, ne présentait aucune aspérité apparente,
aile, gouverne ou moteur, permettant de l'assimiler à un quelconque
aéronef Cet objet restera quelques brefs instants sur le terre-plein, en démettant toujours aucun bruit, puis il décollera et disparaîtra à une vitesse très élevée dans le ciel bleu azur.
Ce récit pourrait s arrêter à cette simple constatation visuelle,
s il y avait eu des traces et des empreintes mécaniques visibles en
forme de couronne qui feront basculer l'affaire dans le domaine de
l'inexpliqué.
La gendarmerie, puis le GEPAN, mèneront une enquête approfondie,
comportant de nombreux entretiens avec le témoin et son voisinage.
Les expertises sur le terrain - prélèvements d'échantillons de terre
et de végétaux, suivis d'analyses - montreront, sans équivoque, qu’il s'agissait bien d'un objet métallique pesant non identifié qui s'était réellement posé sur le terreplein.
L’analyse des végétaux prélevés sur le site indiquera
que l'on n'était pas en présence d'un quelconque aéronef, y compris
hélicoptère ou drone militaire, hypothèses qui avaient été envisagées
et analysées. La végétation sur le site d'atterrissage - une sorte de luzerne sauvage - a été profondément marquée et affectée par un agent extérieur, qui en a modifié en profondeur l'appareil photosynthétique. En effet, les chlorophylles, ainsi que certains acides aminés des
plantes, présentaient des variations importantes de concentration,
variations décroissant avec l'éloignement du centre de la trace mécanique.
Deux années après, ces mêmes effets disparurent complètement, révélant
ainsi un type spécifique et particulier de traumatisme. Selon le professeur Michel Bounias, du laboratoire d’écologie et de toxicologie végétale de l’INRA, qui effectua les analyses, la cause des profondes perturbations enregistrées sur la végétation présente
dans cet écosystème, pourrait être vraisemblablement un puissant champ
électromagnétique pulsé dans la gamme des hautes fréquences (micro-ondes).
Les études et les recherches se poursuivent toujours sur cette affaire
où de nombreuses pistes ont été explorées. Aucune d'entre elles n'a pu satisfaire l'ensemble des conditions permettant d'identifier avec certitude l'objet qui s'est posé à Trans-en- Provence le 8 janvier 1981 et encore moins d’en déterminer l'origine.
Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS DE LA DEFENSE
Nancy, Meurthe-et-Moselle, affaire dite de "l'Amarante"
(21 octobre 1982)
Enquête du GEPAN / SEPRA
Le cas de "l'Amarante" concerne l'observation,
de jour, par un témoin, chercheur en biologie cellulaire,
d'un objet qui, durant 20 minutes, est resté en vol stationnaire au-dessus de son jardin.
Le témoignage enregistré par la gendarmerie, moins
de 5 heures après l'observation, se résume comme suit:
- Le 21 octobre 1982, après son travail, le témoin
se trouvait vers 12h35, dans son jardin, devant sa maison;
il vit venir du sud-est un engin volant qu’il prit tout d'abord pour un avion. Il vit un engin brillant. Il précisa qu'il n'y avait pas de nuages, qu'il avait pas le soleil
dans les yeux et que la visibilité était excellente.
La vitesse de descente de l'engin était pas très grande et il pensa que celui-ci allait passer au-dessus de sa maison. A un moment donné, il se rendit compte que la trajectoire de l'engin le conduisait vers lui, aussi recula-t-il de 3 à 4 m. Cet
engin, de forme ovale, s'arrêta à un mètre du sol environ
et resta en vol stationnaire à cette hauteur pendant 20 minutes environ.
- Le témoin précisa qu'ayant regardé sa montre,
il était absolument certain de la durée du vol stationnaire
de l'engin, qu'il décrivit comme suit: forme ovoïde, diamètre d'environ 1 M, épaisseur 80 cm, moitié inférieure d'aspect métallisé, genre béryllium poli, moitié supérieure de couleur bleu-vert lagon dans son remplissage interne. L’engin n'émettait
aucun son, ne dégageait ni chaleur, ni froid, ni rayonnement,
ni magnétisme, ni électromagnétisme semble-t-il. Au bout de 20 minutes, l'engin s'éleva brusquement à la verticale constante, trajectoire qu'il maintint jusqu'à perte de vue. Le départ de l'engin fut très rapide, comme sous l'effet d'une
forte aspiration. Le témoin précisa, enfin, qu'il y avait
aucune trace ou marque au sol, l'herbe n'était ni calcinée ni écrasée, mais il remarqua qu'au moment du départ, l'herbe s'était dressée droite pour reprendre ensuite sa position normale.
L’intérêt de cette observation, outre son
étrangeté, réside dans les traces visibles laissées sur la végétation
et notamment sur un arbuste d'amarante dont les extrémités des feuilles, devenues complètement déshydratées, donnent à penser qu'elles ont été soumises à des champs électriques intenses. Cependant, malgré des délais d'intervention courts, les
conditions de prélèvement, puis de conservation des échantillons,
n’ont pas permis de vérifier définitivement cette hypothèse. D'une étude préalable sur le comportement des végétaux soumis à des champs électriques il ressort que :
- le champ électrique, vraisemblablement à l'origine
du soulèvement des brins d'herbe, a d Au dépasser 30
kV/m,
- les effets observes sur l'amarante sont probablement
le fait d'un champ électrique qui, au niveau de la plante,
a dû largement dépasser les 200 kV/m.
Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS DE LA DEFENSE
France entière et Europe (5 novrembre 1990)
De multiples obsevations ont été faites le 5 novembre 1990
et quelques jours avant et après cette date, un peu plus de 500 témoignages répartis sur 74 département de la France ont été
recueillis pendant trois ans d'une enquête effectuée en grande partie par la Banque internationale de données ufologiques,
le tout consigné dans le livre OVNI CONTACT.
Il faut noter que les journaux de toutes la France en ont
parlé sur le moment.
Une banale rentrée atmosphérique du 3ème
étage d'une fusée proton russe de 10 mètre de long maximum et volant à une altitude d'environ 80 km a été annoncé
par le SEPRA pour expliquer officiellement toutes ces observations.
Pourtant, les trajectoires des transits
étaient très nombreuses et différentes, loin d'être tous dirigés dans le même sens et la même direction.
La vitesse en vol était donnée très différent
d'un témoin à l'autre,
certains observateurs ont dit même avoir vu
leur(s) ovni en stationnaire aussi !
Des points lumineux très divers, des engins
en forme triangulaire, en forme de booumerang, et en forme de saucisse, qui pour certains atteignaient des dimensions comprises
entre 100 mètres et au moins 2 kilomètres de long. Projecteurs très puissants vers le sol et vers le ciel pour
certains cas.
Un plan de vol très organisé, un engin tout
les 5 ou 10 centigrades en vol, 74 départements ont reçu des témoignages, environ 500 témoignages sur toutes la France, et
combien de témoins qui n’ont pas témoignés.
De quelques manière que
l’on prenne le problème, il est évident que des objets gigantesques ont survolé le territoire français : 20% des
témoins estiment les objets longs de 500 mètres à 1000 mètres ! 22% donnent une longueur comprise entre 50 cm à 1 mètre
mesuré à bout de bras.
Ces dimensions ne serait-ce qu’à 1 kilomètre du témoin, deviennent impossibles à concevoir
si l’objet est 2, 5, 10 ou 100 fois plus loin (fusée à proton environ 10 mètres de long !) Ainsi tout porte à croire
que les vols furent bien observés en très basse altitude !
Seuls 4% des témoins acceptent l’idée d’une
altitude supérieure à 5 km ! 75% des témoins affirment un éloignement inférieure à 1000 mètres !
La progression
de ces engins a été constatée sur des itinéraires parallèles distants de 5 à 25 km en moyenne, basse altitude, les directions
étant Ouest/Est avec inflection vers le Sud-Ouest/Nord-est, plus de 2 cas sont signalé Est/Ouest, nord/Sud ou Sud/Nord
La
localisation des observateurs ne semble pas résulter du hasard : Une grande majorité des sites d’observations repose
sur des longitudes et des latitudes à calculer en multiples de 5 centigrades (0, 5, 10, 15, 20…) 75% des observateurs
sont placés sur des alignements de 2 à 8 sites, tant en latitude qu’en longitude. Et il y a encore pleins
pleins observations irréfutables... tout cela vous pouvez le retrouver dans le livre OVNI CONTACT.
L'explication de la rentrée
atmosphérique du 3ème étage de la fusée proton russe semble bien peu convaincant à côté de toutes ces observations. Un
point invisible ou tout petit en sorte...
Plus de 400 engins vus
à travers toute la France le 5 novembre 1990 entre 18h50 et 19h10 surtout, mais une acivité anormale depuis aussi 3 jours
avant et jusqu'à 3 jours après ! Des engins pour certains entre 100m jusqu'à près de 2 kilomètres de long en forme triangulaire
ou en forme de saucisse !
Plus de 500 témoignages.
Ce n'est pas la banale
rentrée du 3ème étage d'une fusée à proton russe à 19h07 qui peut expliquer toutes ces observations !
Les évidences sont là
!
La Banque internationale de données ufologiques
ouvre ses dossiers! Nul ne doit plus ignorer cette extraordinaire réalité que les autorités scientifiques françaises ont voulu
cacher au monde!
L'opinion publique internationale a été manipulée!
Sources: OVNI CONTACT édité par la Banque internationale
de données ufologiques - les coupures de presse sont visibles sur http://perso.numericable.fr/%7Ewolf424/univers.ovni/archives/articles_presse/phenomenes_etendus/rentree_05_11_90.html
Voir aussi:
Un dossier important
est aussi dans notre site, voyez http://www.ovni007.com/id91.html
========= ========= =========
OVNI007 a été crée le 20 novembre 2005 avec la collaboration pour
la rédaction de
mm, le roi de la terre, de Jérôme Gorriz, et bien sûr des Gens
de Tous Nos Groupes.
Membres officiels que les renseignements généraux ou agences secrètes ou gens d'autres
Mondes peuvent consulter:
Monsieur Jérôme Gorriz
Monsieur Sébastien Tellerain
Des membres connaissant personnellement des gens d'autres Mondes préfèrent pour l'instant
rester dans l'anonymat, et l'identité de ces membres ne sera donc pas divulguée, tout comme nous ne dévoilerons pas nos sources
de nos "informations- scoop" sans l'accord de ces sources . Pas la peine d'essayer. Notre protection, c'est la Paix pour l'Humanité,
et vous devenez bien sûr qui aussi.
Plusieurs groupes et plusieurs milliers de personnes sont actuellement impliquées directement
ou indirectement à Notre Site, et ceux pour la plupart étant dits des "Extraterrestres".
ou
Le copyright de certains documents est quelques fois un
peu touché, mais LA BONNE NOUVELLE doit se savoir par tous les moyens pacifiques au nom de toute l'Humanité, et surtout au
nom de tous les Etres de l'Univers.
Un mot important: PARTAGEONS !
OVNI007: Le Site de tous les Etres.
Le Site de Tous Les Mondes.
La Fin du Secret.
La Fin du Complot.
Saint Thomas c'est fini !
"Extraterrestres" Officialisez-vous !
Les Industriels commercialisez dès maintenant les énergies propres !
Faites comme MINATO, le premier industriel Japonais au Monde à vendre un ventilateur
à énergie libre en supermarché !
Pensez aussi à la Machine Z.
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Groupe d'Etude & de Recherche Finistérien sur les O.V.N.I.



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"Alors que le phénomène ovni bat son plein
sur Terre depuis plus d'un demi siècle et que l'exploration spatiale officielle piétine depuis plus de trente ans, cette élite
mondiale a réussi à nous maintenir dans la croyance que nous sommes seuls dans le système solaire et avec bien peu de probabilité
de pouvoir un jour communiquer avec d'autres intelligences. Or ces "autres intelligences" sont là autour de nous et nous observe
vraisemblablement depuis des temps immémoriaux... certaines d'entre-elles se sont déjà manifestées discrètement et attendent
patiemment que certains feux verts s'allument dans nos consciences."
José Frendelvel

Vous voulez voir de nouveaux visages,
avoir la plus belle surprise de votre vie, alors soyez sages, et vivez dans la Paix !
"Aimer est plus fort que d'être aimé"
Daniel Balavoine (1952-1986)
Si tous les "Hommes" évoluent dans ce
sens, c'est gagner !
Vous êtes prévenus !
"Il n'y a rien qui soit trop merveilleux
pour être vrai"
Citation de
Michael Faraday (1791-1867)
En 1830, alors qu'il
travaillait au laboratoire de Sir Davy, l'Institut Royal, il découvrit l'électrolyse.
"Aimer est plus fort que d'être aimé"
Daniel Balavoine (1952 -1986)
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&
"Extraterrestres",
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Dites tout au monde entier !
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