Cette vague OVNI détaillée dans ce dossier
en photos, en audio et en 5 vidéos-documentaires, et aussi en de multiples articles que nous vous avons trouvés !
Le 29 novembre 1989, des évenements incroyables se produisent en Belgique : le pays est survolé par un
ou des énormes objets mystérieux, triangulaires, peut-être plus grand qu’un terrain de football ! Ces objets sont
de plus silencieux, font du sur place et diffusent des lumières.
Il y a eu des milliers de témoins, des gendarmes les ont aperçu également, des vidéos amateur et professionnelles ont
été tournées, les objets ont été suivis au radar, pourchassés par l’armée belge. Le phénomène OVNI le plus médiatisé
jamais observé.
Le 30 et 31 mars 1990, les observations reprennent de plus belles.
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Ci dessous, en
photo le fameux objet triangulaire vu par des milliers de témoins.

Source de la photo:
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Cet OVNI repéré radar aussi.
Echo radar enregistré par l'un des F-16 lors
de la nuit du 30/31 mars 1990.

Source de la photo:
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La vague belge en audio ! Racontée par
Marie-Thérèse De Brosse.
Source audio d'origine:
Extrait de l'émission de la radio "Ici et
Maintenant" du mardi 19 novembre 2002 avec Marie-Thérèse de Brosses ("Abductions : Les enlèvements extraterrestres")
200mns.mp3
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La vague belge en audio ! Racontée par
Jean-Pierre Petit.
Source audio d'origine:
Extrait de l'émission de la radio "Ici
et Maintenant" du mardi 17 juin 2003: "Composite 1" sur les Ovnis, avec des
pilotes de ligne, MT de Brosses, JP Petit, G. Bourdais, Allen Hynek, Carl Jung, Disclosure Project, Kenneth Arnold... (270mns).mp3.
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L'engin le plus gros en Belgique
faisait la taille d'un terrain de football.
Il ne sera pas facile de
dire si cet engin était américain ou extraterrestre.
Pourquoi ?
Tout simplement parce que
les Américains ont des engins volants triangulaires depuis 1965-1966. Le TR3-A et le TRA3-B, et le plus gros fait 92 mètres
de côté.
Ecoutez cela ci-dessous:
Maintenant, quoi
que disent certaines personnes, difficile de croire que les Américains se soient amusés à tester leurs engins au dessus de
la Belgique, sachant de plus que la base 51 grand comme la Suisse est déjà un terrain d'essai bien plus tranquile !
Tout porte à croire
aussi qu'une continuité a eu lieu en Europe juste après ces évènements, mais en bien plus gros que la vague belge...
Ces observations belges
ont été faites juste avant le 5 novembre 1990 en France, où là des engins de toutes forme ont été vus dont des engins triangulaires,
d'autres en forme de boumerang, d'autres en forme de cigare, de saucisse, et les témoins rapportent des tailles pour certains
objets de 300mètres à près de 3 kilomètres de long. Voyez le livre OVNI CONTACT où plus de 500 témoins ont observés cela et
ce n'était pas un étage d'une fusée proton russe Gorizon 21 ! (500 témoins répartis sur 74 départements et plus de 400 OVNI
le 5 novembre 1990 voir par exemple http://www.ovni007.com/id113.html
et http://www.ovni007.com/id91.html )
Croyez le ou non, l'opinion
publique a été manipulée en beauté du moins pour le 5 novembre 1990 !
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LE RAPPORT OFFICIEL BELGE - EXTRAITS
Depuis le début
de décembre 1989,des phénomènes curieux ont été régulièrement remarqués dans l'espace aérien belge. La force aérienne dispose
d'un certain nombre de témoins oculaires dont la plupart ont été renseignés par la gendarmerie. Les stations radars de la
Force aérienne ne purent en aucun cas confirmer, jusqu'au 30/31 mars 1990, ces observations visuelles, et la présence des
OVNI ne put jamais être établie par les avions de chasse envoyés à cette fin. L'état-major de la Force aérienne a pu présenter
un certain nombre d'hypothèses concernant l'origine de ces OVNI. La présence ou l'essai de B-2 ou de F-117 A (Stealth), RPV
(Remotely Piloted Vehicles), ULM (Ultra Light Motorised) et AWACS dans l'espace aérien belge au moment des faits peuvent être
exclus. Le cabinet MLV fut mis au courant de ces découvertes par les notes en références 1 et 2. Cette requête fut acceptée,
à la suite de quoi la Force aérienne a régulièrement apporté sa coopération à cette société.
Résumé dans l'ordre chronologique des
événements durant la nuit du 30 au 31 mars 1990.
Note: toutes les
heures sont en temps local.
30 mars:
23h00: Le contrôleur responsable (MC) du CRC Glons reçoit un appel téléphonique de M. A.
Renkin, MDL de la gendarmerie, qui certifie voir, à partir de son domicile à Ramillies, trois lumières inhabituelles en direction
de Thorembaies-Gembloux. Ces lumières sont nettement plus intenses que les étoiles et les planètes, elles ne bougent pas et
sont disposées en un triangle équilatéral. Leur couleur est changeante: rouge, verte et jaune.
23h05: La gendarmerie de Wavre est priée par le CRC Glons d'envoyer une patrouille sur
place pour confirmer cette observation.
23h15: Un nouvel appel de M. Renkin renseigne un nouveau phénomène: trois autres lumières
vont en direction du premier triangle. Une de ces lumières est beaucoup plus brillante que les autres. Le CRC Glons observe
entre-temps un contact non identifié sur radar à 5 km au nord de Beauvechain. Le contact se déplace à une vitesse d'environ
25 noeuds et en direction de l'ouest (voir carte). 23h28: Une patrouille de la gendarmerie avec, entre autres, le capitaine
Pinson, est sur place et confirme l'observation de M. Renkin. Le capitaine Pinson décrit le phénomène observé comme suit:
"les points lumineux ont la dimensions d'une grosse étoile; ils changent continuellement de couleur. Celle qui domine est
le rouge, elle se change alors en bleu, en vert, en jaune et en blanc, mais pas dans le même ordre à chaque fois." Les lumières
sont très claires comme s'il s'agissait de signaux: cela permet de les distinguer des étoiles.
23h30-23h45: Les trois nouvelles lumières se sont rapprochées entre-temps du premier triangle
observé. A leur tour, après avoir fait une série de mouvements désordonnés, elles se placent de la même manière en formation
triangulaire. Pendant ce temps le CRC Glons suit le phénomène sur le radar.
23h49-23h59: Le TCC/RP Semmerzake confirme à son tour avoir un contact radar clair à la même
position que celle signalée par le CRC Glons.
23h56: Après coordination préalable avec le SOC II et puisque toutes les conditions sont
remplies pour faire décoller les QRA (I), le CRC Glons donne l'ordre de décollage (scramble order) au 1 JW.
23h45-00h15: Les points lumineux continuent à être observés clairement à partir du sol. Toute
la formation semble se déplacer lentement par rapport aux étoiles. Les témoins oculaires au sol remarquent que les OVNI envoient
de temps en temps des signaux lumineux brefs et plus intenses. Entre-temps, deux points lumineux plus faibles sont remarqués
en direction d'Eghezée. Ceux-ci, comme les autres, font également des mouvements brefs et erratiques.
31 mars:
00h05: Deux F-16, QRA (I) de JW, AL 17 et AL 23, décollent. Entre 00h07 et 00h54, sous
le contrôle du CRC, au total neuf essais d'interception de ces OVNI ont été entrepris par les chasseurs. Les avions ont eu
plusieurs fois de brefs contacts radar sur les buts désignés par le CRC. Dans trois cas, les pilotes réussirent à verrouiller
(lock on) pendant quelques secondes sur l'objectif, ce qui, chaque fois, a amené un changement des OVNI. Dans aucun cas, les
pilotes n'ont eu un contact visuel avec les OVNI.
00h13: Premier lock sur l'objectif désigné par le CRC. Position: on the nose 6 NM, 9 000 pieds, cap: 250. La vitesse de l'objectif change en un minimum de temps de 150 à 970 noeuds, l'altitude passant de 9
000 à 5 000 pieds, ensuite retour à 11 000 pieds pour, par après, soudainement, redescendre au niveau du sol. Il en résulte
un break lock après quelques secondes, les pilotes perdant le contact radar. Le CRC Glons informe, au moment du break lock,
que les chasseurs survolent la position de l'objectif.
+/- 00h19-00h30: Aussi bien le TCC Semmerzake que le CRC Glons ont perdu le contact avec l'objectif.
De temps à autre un contact apparaît dans la région mais ils sont trop peu nombreux pour avoir une piste claire. Entre-temps,
les pilotes prennent contact avec la radio du trafic aérien civil sur VHF, afin de coordonner leurs mouvements dans le TMA
de Bruxelles. Le contact radio sur Uhf est maintenu avec le CRC Glons.
00h30: AL a un contact radar à 5 000 pieds, position 255, 20 NM de Beauchevin (Nivelles).
L'objectif se déplace à très grande vitesse (740 noeuds). Le verrouillage sur l'objectif dure 6 secondes et au moment du break
lock apparaît le signal d'un jamming (brouillage) sur l'écran.
+/- 00h30: Les témoins au sol voient trois fois les F-16 passer. Durant le troisième passage,
ils voient les avions tourner en cercle au centre de la grande formation vue initialement. Au même moment, ils constatent
la disparition du petit triangle tandis que le point le plus brillant et situé à l'ouest du grand triangle se déplace très
rapidement, probablement en hauteur. Ce point s'éclaire de signaux rouges intenses de manière répétitive durant la manoeuvre.
Les deux autres points clairs au-dessus d'Eghezée ne sont plus visibles non plus et seul le point lumineux à l'ouest du grand
triangle peut être observé.
00h32: Les radars de Glons et de Semmerzake ont un contact à 110, 6 NM de Beauvechain,
qui se dirige à 7 000 pieds et à grande vitesse en direction de Bierset. Les vitesses enregistrées vont de 478 à 690 noeuds.
Le contact est perdu au-dessus de Bierset. Le centre de contrôle radar de Maastricht n'a eu aucun contact avec cet OVNI.
00h39-00h41: Le CRC Glons mentionne un contact possible à 10 NM des avions, altitude de 10 000
pieds. Les pilotes ont un contact radar à partir de 7 NM. A nouveau une accélération de l'objectif de 100 à 600 noeuds est
notée. Le lock on ne dure que quelques secondes et aussi bien les avions que le CRC perdent le contact.
00h47: Le RAPCON de Beauvechain mentionne un contact sur son radar à une altitude de 6
500 pieds, position à partir de Beauvechain: 160/5 NM. Le CRC Glons a aussi un contact sur la même position. Celui-ci est
observé jusqu'à 00h56.
00h45-01h00: Quelques essais sont encore entrepris afin d'intercepter les OVNI. Les avions n'enregistrent
que quelques contacts radars très courts. Les témoins au sol voient le dernier OVNI resté en place disparaître dans la direction
de Louvain-la-Neuve (NNO). Vers 01h00, l'OVNI a complètement disparu de la vue.
01h02: AL 17 et AL 23 quittent la fréquence du CRC Glons et retournent à leur base.
01h06: La gendarmerie de Jodoigne mentionne au CRC Glons qu'on vient d'observer un phénomène
comme celui observé par M. Renkin à 23h15.
01h10: Atterrissage de AL 17.
01h16: Atterrissage de AL 23.
01h18: Le capitaine Pinson qui s'est rendu à la brigade de Jodoigne décrit son observation
comme suit: "quatre points lumineux blancs forment un carré avec comme point central Jodoigne." L'OVNI, vu dans la direction
de Orp-Jauche (au sud-est de Jodoigne) est plus brillant et a une couleur jaune-rouge. Les points lumineux se déplacent avec
des mouvements saccadés et courts.
+/- 01h30: Les quatre OVNI perdent de leur luminosité et semblent disparaître dans quatre directions
différentes.
INFORMATIONS GENERALES:
a. Météo. Les données mentionnées par le Wing Météo de
la Force aérienne pour la zone concernée et pendant la nuit du 30 mars au 31 mars 1990 sont les suivantes: Visibilité:
8 à 15 km avec ciel dégagé. Vent à 10 000 pieds: 050/60 noeuds. Une légère inversion de température au sol et une autre aussi
faible à 3 000 pieds. Ces données sont confirmées dans le rapport du capitaine Pinson. Il mentionne en outre que les étoiles
étaient bien visibles.
b. Par manque de matériel adéquat, les observateurs au sol n'ont pu faire aucune photo
ou film du phénomène.
c. Avec une lunette astronomique l'OVNI observé est décrit comme suit: une sorte de
sphère dont une partie est très lumineuse; on y distinguait aussi une forme triangulaire. (Pour l'observation plus détaillée:
voir rapport du capitaine Pinson en annexe H 1).
CONSTATATIONS:
a. En contradiction avec d'autres observations signalées d'OVNI, pour la première fois
a été observé positivement un contact radar en corrélation avec différents senseurs de la Force aérienne (CRC, TCC, RAPCON,
EBBE et radar F-16) et cela dans la même zone que les observations visuelles. Ceci est à expliquer par le fait que les OVNI
du 30/31 mars ont été noté à une altitude de +/- 10 000 pieds, alors que dans le cas précédents il était toujours question
de contacts visuels à très basse altitude.
b. Les témoignages à vue, sur lequel ce rapport se base partiellement, ont été faits
par des gendarmes en service et leur objectivité ne pourrait être mise en doute.
c. Les OVNI, aussitôt visualisés par le radar F-16 dans le mode Target Track (après
interception), ont changé drastiquement leurs paramètres. Les vitesses mesurés à ce moment-là et les changements d'altitude
excluent l'hypothèse que les OVNI observés pourraient être confondus avec des avions. Les mouvements lents pendant les autres
phases différent également de ceux des avions.
d. Les pilotes des avions de chasse n'ont jamais eu de contact visuel avec les OVNI.
Ceci peut être expliqué par les changements de l'intensité lumineuse et même de la disparition des OVNI au moment où les F-16
arrivaient dans les environs où ils étaient observés au sol.
e. L'hypothèse selon laquelle il s'agirait d'une illusion d'optique, d'une confusion
avec des planètes ou tout autre phénomène météorologique est contradictoire avec les observations sur radar, notamment l'altitude
aux environs de 10 000 pieds et les positions géométrique tend à prouver un plan-programme.
f. La première observation du déplacement lent des OVNI s'est faite à peu près dans
la même direction et la même vitesse que le vent. La direction diffère de 30 de celle du vent (260 au lieu de 230). L'hypothèse
qu'il s'agit ici de ballons-sondes est tout à fait improbable. L'altitude des OVNI reste dans cette phase à 10 000 pieds,
alors que les ballons-sondes continuent de s'élever jusqu'à l'éclatement vers 100 000 pieds. Les lumières brillantes et leur
changement de couleur peuvent être difficilement expliqués par de tel ballons. Il est tout à fait improbable que des ballons
restent à la même altitude pendant plus d'une heure, tout en conservant la même position entre eux. En Belgique, au moment
des observations radars, il n'y avait aucune inversion météorologique en cours. L'hypothèse qu'il pourrait s'agit d'autres
ballons est à écarter absolument.
g. Bien qu'on ait plusieurs fois mesuré des vitesses supérieures à celle du son, aucune
onde de choc n'a été signalée. Ici aussi, aucune explication ne peut être donnée.
h. Bien que les différents témoins au sol aient finalement signalé huit points dans
le ciel, les radars ont enregistré un seul contact au même moment. Les points ont été vus à distance suffisante les uns des
autres pour que les radars puissent les différencier aussi. Aucune explication plausible ne peut être avancée.
i. L'hypothèse de phénomènes aériens résultant de projections d'hologrammes est à exclure
également: les projecteurs lasers auraient dû être normalement observés par les pilotes en vol. De plus, les hologrammes ne
peuvent pas être détectés par radar et une projection laser ne peut se voir que s'il existe un écran comme des nuages par
exemple. Or ici, le ciel était dégagé et il n'y avait aucune inversion de température significative.
Source: http://membres.lycos.fr/ovnirama/belgique.htm
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Comment fonctionne la surveillance de l'espace aérien belge
?
La surveillance de l'espace aérien belge et des aéronefs
qui y pénètrent incombe principalement au Control and Reporting Center de Glons. Cette unité de la Force Aérienne est un des
maillons de la gigantesque trame tissée par les radars de l'OTAN. Placé sous le commandement direct de l'Alliance, le CRC
est relié par liaison de données aux autres CRC disposés à travers toute la zone OTAN qui s'étend de la Norvège à la Turquie
ainsi qu'aux radars de veille AWACS.
Le CRC a pour mission de fournir 24 heures sur 24 une image radar de l'espace
aérien belge - sa zone de responsabilité -, de détecter et d'identifier les appareils qui pénètrent dans cette zone, d'alerter
les unités de défense aérienne et de diriger les intercepteurs vers les intrus. En temps de paix, il entraîne les pilotes
de chasse aux procédures d'interception.
Sous son dôme, le CRC abrite un radar MPR (Medium Power Radar), développé
par Thomson. Ce radar est de type tridimensionnel : il fournit des informations en termes de distance, d'azimut et d'altitude.
Sa portée théorique, estimée à environ 450 kilomètres, est largement suffisante pour couvrir le territoire national. Pour
garantir une couverture maximale, il travaille en collaboration avec l'Air Trafic Control Center de Semmerzake ainsi qu'avec
les stations radar civiles de Saint-Hubert et Bertem.
Le CRC se compose d'une Escadrille de Contrôle et de Défense
aérienne scindée en deux branches principales :
*
la section de surveillance aérienne (Air Surveillance) génère
l'image aérienne et identifie les aéronefs qui survolent la zone de responsabilité. Elle est supervisée par un Track Production
Officer et composée d'officiers d'identification (Identification officers) ainsi que de spécialistes chargés de suivre les
appareils détectés (Trackers). *
la section d'interception aérienne (Air Intercept) contrôle les interceptions et
les vols d'entraînement au combat aérien. Elle comprend des contrôleurs (Fighter Controllers) dirigés par un Fighter Allocator.
Ces deux sections sont chapeautées par le Master Controller qui contrôle l'ensemble des opérations et assure la liaison
avec les échelons supérieurs.
Le CRC comprend également une Escadrille Maintenance qui procède à l'entretien et à des
améliorations techniques apportées aux matériels ainsi qu'une Escadrille Défense Support chargée de la protection des installations,
de la formation du personnel et de diverses tâches administratives." Le 30 Mars 1990 à 23:00 heures, le contrôleur principal
(MC) de la station de radar de défense aérien de Glons a reçu un appel téléphonique d'une personne qui a déclaré avoir observé
trois lumières indépendantes clignotant dans le ciel, de couleurs changeantes, avec une intensité beaucoup plus élevée que
les lumières des étoiles et qui étaient en formation triangulaire. Les conditions météo étaient un ciel clair, aucun nuage,
un vent léger et une inversion mineure de la température à 3000 pieds.
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La SOBEPS a réalisé un impressionnant travail
d'enquête concernant ce qu'on appelle "la vague belge" d'ovnis. Ce travail des ufologues belges couvre 4 années d'observations,
entre septembre 1989 et fin 1993, avec une pointe de 143 observations pour la seule journée
du 29 novembre 1989. En septembre 1990, elle fit faire une analyse informatique de la photo de P. M. par le professeur Marc Acheroy, de l'Ecole royale militaire
de Bruxelles. Celle-ci révélera la matérialité de l'objet.
Outre sa revue Inforespace, la SOBEPS
a notamment publié :


Pour commander ces deux livres:
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Extrait de http://www.ufocom.org/UfocomS/meheust990705.htm
Les années ont passé. Pendant deux ans, les témoignages ont
continué d'affluer dans l'Est de la Belgique, et la SOBEPS a continué de les accumuler et de les analyser. En 1991 et 1994,
elle a publié ses deux livres sur la vague, et j'ai été impressionné par le détail des faits. D'autant plus qu'avec le temps,
l'hypothèse américaine avait quelque peu perdu de sa force. On pouvait, à la rigueur, admettre que les Américains aient testé
des prototypes pendant quelques nuits à l'insu des autorités belges, mais la persistance de la vague posait problème, et les
spécialistes de l'aéronautique s'accordaient sur le point que les phénomènes vus en Belgique, si les témoignages étaient fiables,
dépassaient les technologies actuellement concevables. Mais les témoignages étaient-ils fiables ?Et s'ils l'étaient, jusqu'à
quel point ? Et s'ils ne l'étaient pas du tout, quels mécanismes psychiques, individuels et collectifs, fallait-il postuler
pour en rendre compte ? Je me suis mis à me passionner pour ce dossier, trop négligé, et parfois même, il faut bien le dire,
quelque peu snobé par les ufologues français. J'ai essayé de raisonner logiquement et d'examiner la question sous tous les
angles Et, sans parvenir à une conclusion définitive, je suis arrivé à la conviction qu'il y avait bien, dans cette vague
atypique, un noyau de phénomènes difficiles à réduire - quelle que soit la nature, par ailleurs, de ces phénomènes.
Dix ans s'étant écoulés, on commence à avoir une profondeur
historique suffisante pour jauger les thèses qui avaient été suggérées ( ou assenées ) au début de la vague : l'hypothèse
américaine, et celle des aérostats télécommandés d'origine privée. lncontestablement, ces thèses avaient subi l'usure du temps.
Quant à l'hypothèse socio-psychologique, s'il n'était évidemment pas possible de l'éliminer, elle devenait parfois fort coûteuse.
Il y a bien eu entre 1989 et 1992, dans l'Est de la Belgique, un ensemble de phénomènes qui, à mes yeux tout au moins, demeurent
encore inexpliqués.
Ce sont ces raisonnements que je vous livre, amis lecteurs,
dans un nouvel ouvrage, Ovnis: retour sur l' "anomalie belge ". Je ne prétends pas le moins du monde affirmer
une vérité définitive, mon désir est plutôt de vous faire état de ma perplexité devant cette question insaisissable, espérant
en retour susciter en vous des interrogations qui contribueront à nourrir un débat, et à faire mûrir la question.
Soucoupiquement vôtre,
Bertrand Méheust.

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Ci-dessous, une photo du F-117 pris en pleine
nuit, rien à voir avec le triangle vu en Belgique !

Source de la photo:
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En conclusion générale:
Pour OVNI007, la vague belge est pour notre
sentiment d'origine extraterrestre, l'hypothèse militaire américaine reste pour nous une affaire de désinformation pour cacher
la réalité extraterrestre au monde entier, mais nous ne contredisons pas pour autant l'existence du TR3-B américain.
Par curiosité, voyez notre dossier
sur le TR3-B
Voyez ci-dessous des sites incontournables
sur cette vague belge :
Pour commander les extraits de l'émission
radio de la vague belge:
Emission de la radio "Ici et Maintenant" du
mardi 19 novembre 2002 avec Marie-Thérèse de Brosses ("Abductions : Les enlèvements extraterrestres") 200mns.mp3
Emission de la radio "Ici et Maintenant"
du mardi 17 juin 2003: "Composite 1" sur les Ovnis, avec des pilotes
de ligne, MT de Brosses, JP Petit, G. Bourdais, Allen Hynek, Carl Jung, Disclosure Project, Kenneth Arnold... (270mns).mp3.
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