
H.A.A.R.P
Bouclier contre des ovnis.
Mais la nature n'est-elle pas mise en danger ?
Site à Gakona, en Alaska |

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Le programme H.A.A.R.P |
Le programme HAARP a déjà été utilisé dans
le monde, des forêts des Etats-Unis ont déjà été la proie des flammes vers la fin des années 90, La France a aussi déjà subi
deux effets directs de ce programme, lors de la super-tempête du 31 décembre 1999, et de celles de l'été 2003.
Nous pardonnons nos homologues américains
de leur bétises, leur intelligence nous aidera cette fois dans le bon sens au monde entier une prochaine fois sur des domaines
tout autre que HAARP , nous ne pouvons que l'espérer, la Terre n'est pas réservée qu'aux Etats-Unis, le programme HAARP
reste dangeureux à utiliser.
Nos groupes.
« Il faut absolument éviter de s’engager dans la voie de l’armement
de l’espace, les extraterrestres nous mettent pacifiquement en garde contre cela afin de préserver la paix de l’univers.
Nous partageons l’espace avec d’autres civilisations, ne leur soyons pas hostiles. Il est important que nous comprenions
que c’est la fin de l’enfance de l’humanité, nous entrons dans l’âge adulte, c’est le début
d’une civilisation cosmique. A cette fin, nous devons redevenir une humanité pacifique et unie. »"
Extrait d’un
article de la revue belge "Féli-Cité", cité dans "Celui qui vient – Les dossiers sur le gouvernement mondial" d’Anne
Givaudan avec la collaboration du Dr. Antoine Achram, éditions SOIS, Plazac, 1996, nouvelle édition (N.d.E.).
Sur un site appartenant
au département américain de la Défense (DoD) à Gakona, en Alaska, l'U.S. Air Force et l'U.S. Navy ont entrepris de faire construire,
depuis 1993, une station de recherche sur les propriétés de l'ionosphère d'une puissance jusqu'ici inégalée: c'est le programme
HAARP, High Frequency Active Auroral Research Program.
Résumons les centaines de pages publiées aux Etats-Unis sur
la question : Le programme H.A.A.R.P vise à pouvoir maintenir des communications radios invulnérables.
Or, qui est
apparemment capable d’interrompre aujourd’hui toutes fréquences classiques ? Les ovnis.
Le programme H.A.A.R.P
vise à pouvoir envoyer des émissions radios sûres à très longue distance même dans un environnement électromagnétique bouleversé.
Pour "négocier" avec qui, sinon les E.T. ? Le programme H.A.A.R.P vise à envoyer vers le ciel des HEMP (High power
Electromagnetic Pulse), en français VEHA (vagues électromagnétiques à haute énergie) capables d’arrêter le fontionnement
et d’abattre tout aéronef se propulsant selon un système électromagnétique et gravitationnel. Or quels sont ces aéronefs
?
Ce ne sont pas des avions, ni des missiles...Le programme H.A.A.R.P developpe les radiations ELF capables de détruire
les cerveaux à distance. Or, les E.T possèdent de toute évidence un cerveau, ce que la CIA, dans ses "X-Files" (dossiers secrets)
ne doit pas ignorer.
Bref, le Programme H.A.A.R.P est démesuré par rapport à un compétiteur terrestre hostile,surtout
depuis que la Russie n’est plus un adversaire sérieux. Pourquoi dépenser des milliards de dollards pour fabriquer des
armes nouvelles surdimensionnées par rapport aux menaces de guerres internationales ? Et surtout,ces "armes éléctromagnetiques",
font remarquer...,sont parfaitement inadaptées à des ennemis terriens !
Contre un missile ou un bombardier terrestre,
les antimissiles sont efficaces et les rayonements insuffisants. Pour les ovnis, c’est exactement l’inverse !
Si
le pentagone ne savait pas parfaitement que nous sommes confrontés à une inquiétante surveillance et intrusion d’un
ou de plusieurs peuples galactiques, ils ne dépenseraient de telles sommes, dans le plus grand secret, pour fabriquer des
armes éléctromagnétiques inutiles contre une technologie terrestre.
Haarp serait donc un bouclier contre de possibles
envahiseurs extra-terrestres.
Le programme H.A.A.R.P |

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Il y a cependant un gros problème et risque à utiliser le programme HAARP.
HAARP, une arme de destruction massive qui fait partie du programme militaire américain « Joint Vision 2020 » constitue une
menace pour les interactions subtiles entre les écosystèmes de la Terre et l'ionosphère. (6 juillet 2004)
L’ionosphère nous protège des radiations mortelles du Soleil et de l’espace. Et maintenant, avec des ondes radio
à hautes fréquences on perce des trous dans cette couverture protectrice, prenant le risque de déchirer accidentellement le
cocon fragile de l’évolution planétaire et humaine. Les conséquences pourraient être aussi dévastatrices que la panne
d’un stimulateur cardiaque individuel. Les forces du chaos pourraient se déchaîner, provoquant des dégâts irréversibles.
La Strategic Defense Initiative (SDI) place cette technologie de modification de l’environnement entre les mains du
commandement militaire, une perspective bien inquiétante. Comme ils bénéficient d’un mandat pour la sécurité nationale
nous ne savons pas exactement ce qu’ils en font et le pire est à craindre. Espérons que cela sera révélé avant qu’il
ne soit trop tard pour tout le monde.
Même si rien n'indique que cette technologie mortelle a déjà servi, les Nations Unies devraient assurément s'intéresser à
la question de la «guerre environnementale » en même temps que se poursuit le débat sur les résultats climatiques des gaz
à effet de serre…


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HAARP REVELATION
Successeur terrestre du projet Star Wars (Guerre des étoiles), le Haarp serait, par ses extraordinaires
puissances et polyvalence, "l'arme ultime" des Etats-Unis.
Les Américains sont-ils en train de mettre au point un vaste système d'armement capable de scanner
les entrailles de la terre à la recherche de bases secrètes, d'interrompre toute forme de communication hertzienne, d'influencer
les comportements humains, de modifier la météorologie, de griller les avions dans le ciel comme le ferait un vulgaire four
à micro-ondes de votre potage, de provoquer des tremblements de terre ou des explosions aussi puissantes qu'une bombe atomique.
Avec le "Haarp", l'armée américaine serait en train de rééditer, sous une forme plus économique et plus dangereuse
encore, son projet "Star Wars" ou Guerre des étoiles. A une différence près : il s'agit cette fois d'une installation
terrestre.
Plusieurs scientifiques et experts en armement ainsi que des députés du Parlement européen se montrent
préocupés, c'est un euphémisme, par le développement de ce projet. C'est pourquoi un expert en énergie, Gratan
Healy, conseiller auprès des parlementaires, rassemble pour l'instant les pièces accusatoires de ce projet de fin du monde.
Magda Haalvoet, une eurodéputée belge, chef de file du groupe des Verts au Parlement européen est en charge du dossier.
C'est elle qui doit donner une suite officielle aux demandes d'éclaircissement des membres de son groupe et qui fera en sorte
que le Parlement fasse pression, via l'Otan, pour que les Etats-Unis répondent à toutes questions utiles, Magda Haalvoet est
inquiète. Elle affirme même que ce type d'armement ("non lethal weaponery"), outre les conséquences écologiques désastreuses
qu'il implique, "peut mettre en danger les libertés individuelles et la démocratie". Rien de moins.
30 millions de dollars
Les initiales HAARP signifient en anglais "High-frequency Active Auroral Research" (recherches
dans le domaine des hautes fréquences appliquées aux aurores boréales.) De prime abord, derrière ces initiales
un peu ésotériques, se cache un projet de 30 millions de dollars de coût annuel que l'armée américaine présente comme d'innocente
recherches sur l'ionosphère. Les promoteurs du projet n'épargnent ni leur énergie, ni leurs dollars en campagnes de relations
publiques et en publicité pour rassurer l'opinion américaine. Néanmoins, il est difficile de croire qu'il ne s'agit
pas d'un projet à des fins militaires lorsque l'on sait que les vrais bailleurs de fond sont la Navy, l'Air Force et le Département
de la Défense.
A quoi ressemble Haarp sur le terrain ? Il s'agit d'une vaste installation qui s'étend sur plusieurs
hectares, à Gakona, une petite localité au nord-est d'Anchorage en Alaska. Le coin n'est pas si perdu que cela
puisque l'installation jouxte les immenses réserves gazières et pétrolières appartenant à la société Arco, par ailleurs propriétaire
des brevets technologiques composant Haarp et "financier-écran" de ces équipements. En outre, Haarp est relié à l'un des ordinateurs
les plus puissants de la planète à l'université d'Alaska dans le Butrovich building. Quant à son aspect physique, il s'agit
somme toute d'un vaste périmètre plat et déboisé, planté de 48 antennes de 20 mètres de haut, reliées chacune à un émetteur
d'un peu moins de 1 million de watts de puissance. A terme, le nombre d'antennes et la puissance des émetteurs sont appelés
à se multiplier pour atteindre la puissance phénoménale de 1 milliard de watts émis par un réseau de 360 antennes. Les émetteurs
sont alimentés en énergie par 6 turbines de 3.600 CV brûlant quelque 95 tonnes de diesel par jour. On notera ici que l'ensemble
de l'installation est assez nocive pour l'environnement proche puisqu'elle émet plus de 7 tonnes de matières polluantes par
jour.

A quoi ça sert ?
Officiellement, les scientifiques
qui travaillent sur cet émetteur radio mégalomaniaque veulent étudier l'ionosphère. Officieusement, Haarp va tirer parti de
l'ionosphère pour en faire une arme à énergie. L'ionosphére est cette couche située au-dessus de la stratosphère, constituée
de particules ionisées hautement chargées en énergie et qui démarre à une altitude moyenne de 48 km pour se terminer à 600
km de notre surface terrestre. Cette couche à haute densité énergétique est vitale pour notre planète car elle joue un rôle
fondamental de bouclier, au même titre que la couche d'ozone. Elle nous protège des dégagements nocifs du soleil. L'ionosphère
"capture" entre autres choses les particules chargées électriquement et nées des "vents et tempêtes" solaires et galactiques.
On sait par ailleurs que les recherches menées depuis un siècle par une serie de scientifiques ont mis en évidence le fait
que ce "manteau énergétique" protégeant la terre pouvait, avec une technologie appropriée, devenir une arme stratégique
de toute première importance.
Haarp se fonde sur les recherches
de Bernard Eastlund, qui s'est lui-même inspiré des travaux de Nikola Tesla, un scientifique croate, inventeur de génie du
début du siècle, à qui l'on doit le courant alternatif (combattu par Edison favorable au courant continu) et le courant triphasé...
Tesla mit notamment au point un procédé permettant de transférer de hautes quantités d'énergie électrique sans l'apport de
câble sur une distance de 42 km et il consacra une bonne partie de ses recherches à "l'énergie ionosphérique" et aux phénomènes
électromagnétiques. Ses travaux furent financés, canalisés, puis censurés pour des raisons financières par le banquier JP
Morgan et la société Westinghouse. (voir remarquable génie Nikola Tesla et comment mener une guerre biologique
et psychologique)
Un peu moins d'un siècle plus tard,
Bernard Eastlund n'a fait qu'adapter les premiers travaux de Tesla dans le domaine de l'énergie électromagnétique. Et c'est
ainsi que ce chercheur déposa douze brevets, entre 1987 et 1994, qui constituent l'ossature du projet "Haarp" et de ses technologies
dérivées en matière d'armements. Le vrai propriétaire et exploitant de ces brevets n'est plus Eastlund (qui a fini par être
éjecté du projet pour des raisons obscures) mais bien la société Apti-Arco, un consortium pétrolier derrière lequel se
profilent la Navy, l'Air Force et le Départment of Défense US. Depuis le dépôt des brevets Eastlund, toute la recherche
dans le domaine de l'énergie électromagnétique, par exemple à des fins médicales, est bloquée. C'est donc un vaste champ hautement
prometteur de la science et de la médecine qui a été ainsi monopolisé par des intérêts liés à l'armée américaine.
Comment cela fonctionne-il?
Toute la technologie contenue dans
le projet "Haarp" revient, grosso modo, à pointer vers l'ionosphère un faisceau d'ondes (comme le ferait un émetteur radio)
à hautes fréquences (HF) afin de voir ce qui s'y passe. Le bombardement d'une zone donnée de l'ionosphère avec
ces HF a pour effet de créer un énorme miroir virtuel qui agit comme une antenne. Cette "antenne" virtuelle réémettra
des fréquences extrêmement basses (ELF : extremely low frequency) vers la terre. pour employer une image, outre l'effet d'antenne
virtuelle ainsi déployée dans le ciel, on crée une sorte de four micro-ondes géant dans un territoire donné de l'ionosphère.
Malheur aux avions et aux missiles qui passeraient dans le ciel à ce moment-là. selon la puissance des émetteurs, on pourrait
tout aussi bien affoler les systèmes de guidages électroniques, radars et autres appareils radio de ces missiles et aéronefs
que de les griller.
Par ailleurs, grâce à l'antenne
virtuelle constituée d'ondes ELF, on peut véritablement scanner la croûte terrestre à des profondeurs extrêmes pour en faire
une sorte de radiographie. De la sorte, les militaires américains sont fiers d'affirmer que grâce à "Haarp", plus aucun pays
ne pourra leur cacher l'implantation de bases secrètes souterraines abritant des armes nucléaires... Selon des
études de spécialistes américains en armement, on pourra également communiquer avec les sous-marins en plongée profonde situés
dans des coins reculés des océans, détecter puis détruire tout missile ou avion, même furtif, s'engageant dans l'espace aérien
américain. Le but ultime étant de générer un bouclier protecteur global capable de faire le tri entre les cibles ennemies,
nucléaires ou conventionnelles, et de les "traiter" de la façon adéquate. Enfin "Haarp" a surtout pour but d'empêcher toutes
les communications radio et satellites ennemies dans une zone précise. En plus, avec l'aboutissement de ce projet, les Américains
pourront rendre leur propre système de communication quasiment inviolable. Voilà pour la version officielle.
Les buts occultes
Sur la base des travaux et brevets
d'Eastlund, d'autres scientifiques, chercheurs, journalistes et militants écologistes se sont engagés dans un véritable jeu
de détective avec l'armée américaine afin de déterminer d'autres aspects non avoués par l'Air Force et la Navy du projet "Haarp".
Parmi ceux-ci, le Dr Rosalie Bertell, une scientifique de haut niveau qui, naguère, avait été désignée comme expert par l'administration
Reagan pour étudier les effets du projet d'armement "Star Wars". Elle est aujourd'hui consultante pour le Parlement européen
sur "Haarp". Ou encore le Dr Nick Begich, un écologiste convaincu et Jeanne Manning, une journaliste indépendante qui s'est
spécialisée dans les recherches sur les énergies dites "non conventionnelles" qui sont coauteurs d'un livre "anti-Haarp" au
titre évocateur : "Angel dont' play this Haarp", qui a fait grand bruit outre-Atlantique et qui révêle, sur la base de données
sérieuses, les applications occultes du projet. Le fruit de leur enquête a été corroborée par d'autres scientifiques comme
le Pr Zielinski, un physicien allemand spécialisé dans l'électrodynamique quantique ou le chimiste américain Richard Williams.
La liste des détracteurs scientifiques de Haarp est innombrable.

Pensées contrôlées
Selon ces scientifiques, les militaires n'en sont qu'à la phase expérimentale de leurs travaux mais
les résultats déjà enregistrés sont très prometteurs. Ainsi, grâce à l'injection de fortes quantités d'énergie dans l'ionosphère,
on pourra influencer la météorologie pour provoquer des effets bénéfiques dans une région donnée... ou cauchemardesque dans
une autre. Comment? Tout simplement en modifiant la circulation des vents en haute atmosphère là où ils entrent en interaction
avec l'ionosphère. On pourra également provoquer la libération soudaine d'une énorme quantité d'énergie en imitant par exemple
le flash provoqué par une explosion nucléaire à haute altitude. Un type d'action militaire qui ne relève en rien de la science-fiction
puisqu'elle a déjà été utilisée sur le terrain en 1991 au cours de la guerre du Golfe et de l'opération "Desert
Storm". Selon le périodique militaire officiel Defence News (n°19 du 13 avril 1992), les Etats-Unis avaient déployé sur le
champ de bataille une arme à impulsion électromagnétique (EMP Weapon). Le but de cette arme est double: il permet,
comme le fait une explosion nucléaire, d'empêcher toute forme de communication radio chez l'ennemi et a un effet redoutable
en matière de guerre psychologique. On comprend mieux dans ce cas pourquoi des dizaines de milliers de soldats irakiens se
sont rendus sans combattre. Autre application de la technologie "Haarp" : transmettre sans l'apport d'un câble
électrique de fortes quantités d'énergie d'un point à l'autre. Utile, par exemple, pour ravitailler à distance les batteries
électriques d'un sous-marin.
Mais il reste un domaine d'application, encore plus effrayant dont les militaires américains pourraient
tirer parti grâce au projet "Haarp". Vu le passif de l'Air Force et surtout de la CIA en matière d'expérimentations chimiques
et bactériologiques, il est concevable que les militaires n'aient pu résister à la tentation de faire de Haarp une arme polyvalente.
On se souviendra en effet des terribles expériences secrètes réalisées sur de pauvres soldats conscrits qui consistaient
à leur injecter d'énormes quantités de drogues pour modifier leur comportement. Ou encore les expériences pour influencer
les activités cérébrales avec des ondes : dès 1952, le Dr Jose Delgado, professeur à Yale, avait découvert que l'on pouvait
affecter le comportement émotionnel et la façon de penser d'un individu par l'utilisation de certaines fréquences et certaines
ondes.
Le Dr Nick Begich, coauteur de l'ouvrage Angels dont' play this Haarp, n'hésite pas à affirmer qu'un
des buts du projet Haarp est de mettre sur pied une telle arme "il est douteux que les organisateurs du projet Haarp n'aient
jamais discuté de ce type de recherches. Selon mes sources, tous ceux qui sont impliqués dans le projet sont en fait aux première
étapes de développement de ce genre d'application". des scientifiques comme Delgado ou encore le Dr Robert Becker ont réussi
à démontrer que des ondes de types ELF identiques à celles utilisées par Haarp, couplées avec l'emploi de courant alternatif,
génèrent des fréquences "où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l'être humain peuvent être manipulées de l'éxtérieur
avec des résultats très tangibles". Certaines ondes peuvent en effet provoquer l'apparition dans le cerveau de
substances neurochimiques qui génèrent, nous explique le Dr Begich, "un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels
ou intellectuels tels que des sentiments de peur, de dépression, de désir, d'amour, etc."
Ce type de technologie ne rebute absolument pas les stratèges du Pentagone, loin s'en faut. Pour
preuve, on peut lire dans une revue à circulation interne (The revolution in military affairs - Stategic Studies Institute-US
Army War College) qui n'est pas censée tomber entre des mains civiles la conception suivante: "Nos valeurs changent et la
technologie s'ouvre sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant la guerre froide, les opérations psychologiques et l'armement
psychologique étaient encore primitifs. Alors que nous entrons de plain-pied dans l'ère de l'électronique et de la bioélectronique,
il devient nécessaire de réévaluer les barrières morales et éthiques que nous avons posées en interdisant (toute technologie)
pouvant manipuler l'esprit de nos ennemis tant à l'intérieur du pays qu'à un niveau international... Dès que cela sera possible,
nous encouragerons des entreprises privées ou semi-privées à développer une technologie appropriée... Nous pouvons
agir de même avec les nouveaux types d'armements comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psycho-technologiques
avancées..."
Bouclier global
L'utilisation des ondes et de leurs propriétés électromagnétiques est une arme terriblement efficace.
Le Dr Rosalye Bertell affirme que les Américains expérimentent à l'insu de tous et surtout au mépris des conventions internationales
ce genre d'armement depuis plus de quarante ans. Se sont succédé ainsi une serie de projets : "Argus" (1958), "Starfish"
(1962), "Solar Power Satellite" (1968 et 1978), "Space Shuttle Experiments" (1985), "Mighty Oaks" (1986) ou "Desert
Storm" (1991), qui avaient tous pour but de jouer avec l'ionosphère ou avec certaines ondes pour différentes raisons : rupture
des communications de l'ennemi, armes à plasma, etc.
"Haarp" est donc le dernier chapitre en date de ces projets. Les Américains auraient même l'intention
de développer un véritable réseau de stations similaires à travers le globe afin de créer de la sorte un bouclier
modulable total. Ainsi, il existe d'autres complexes de recherches sur l'ionosphère comme à Puerto Rico, en Norvège à Tromsoe,
au Pérou à Jicamarca, en Russie (près de Moscou) ou encore à Nizhny Novgorod, en Ukraine ou dans le Tadjikistan...
Source : Telemoustique novembre 1997, Alain Gossens
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Note: Nous ne dévoilerons pas notre source.
En guerre météorologique
Plusieurs contributions incroyables que Tesla fit au monde de la physique restent encore à révéler
au pubic... pour des raisons de sécurité. Si seulement il avait su à quelle utilisation horrible certaines de ses idées les
plus prometteuses allaient être dévolues, on se demande s'il les aurait seulement énoncées. Il est certain que la Russie et
les Etats-Unis se servent de certaines de ses idées comme instrument de guerre pour produire des phénomènes météorologiques
dirigés.
En 1976, au cours du mois d'octobre, un nouveau type de signal de brouillage radio et radar fit
son apparition. On établit par triangulation que le signal provenait de Riga. On blâma alors, à juste titre, les Russes qui
s'excusèrent abondamment pour quelques essais sur basses fréquences. Ces basses fréquences se situaient dans la plage des
143 Hz... (cela me rappelle quelque chose...). Presque à la même époque, selon un rapport d'Edward Campbell du
London Evening News en juin 1978, "les Russes avaient fait la chasse dans tout le pays à toute personne qui avait connu ou
rencontré Tesla."
Selon cette même source, "Au début de 1977, les météorologues signalèrent un effet bloquant extraordinaire
qui s'étendait le long de la côte ouest de l'Amérique ainsi qu'un rideau de fer semblable qui s'étendait sur la côte est,
de même que le long de la frontière soviético-polonaise jusqu'en Finlande. Ces blocages arrêtaient la circulation normale
du temps (au sens météorologique du terme).
Les savants tracassés, furent alarmés lorsqu'ils découvrirent que chacune de ces barrières
du climat mondial semblait être associée à d'immenses ondes stationnaires d'énergie électromagnétique... Entre-temps, la météo
mondiale fut sens dessus-dessous. La neige tomba à Miami, des inondations balayèrent l'Europe"... Et les systèmes
de surveillances des sous-marins nucléaires se détraqua après que ceux des satellites d'observation américains furent détruits
par un faisceau électronique.
En décembre 1974, Howard Benedict de l'Associated Press à Washington, avait écrit un rapport sur
le sujet de la guerre météorologique intitulé : The Weather, As a Secret Weapon? (Le temps, Une arme secrète?) L'article
de Benedict disait que, bien que les porte-parole américains et russes aient nié l'existence de telles armes météorologiques
à ce moment, la recherche était en cours. Que pouvaient-ils dire d'autre?... "Nous possédons des super armes météorologiques?"
On s'imagine facilement quelle aurait été la réaction de la masse... La moindre anormalité du temps aurait fait dire
"c'est la guerre!"
La position officielle revient essentiellement à ceci : l'on produit des armes en se basant sur
le développement probable de la même arme par les Russes. On se demande de quelle sorte d'arme ils parlaient? L'article de
Benedict signale :
Les recherches actuelles du Pentagone, au coût de 1,52 millions de dollars par an, se limitent à
fabriquer la pluie, à la supprimer et à disperser la grêle et le brouillard.
En octobre 1974, l'Union Soviétique présenta une résolution aux Nations Unies demandant la tenue
de la conférence de Genève sur le désarmement en vue de proscrire les recherches sur le climat pour des utilisations militaires.
L'ambassadeur soviétique, M. Jacobs Malik, déclara que les savants en étaient venus à la conclusion
qu'un arsenal météorologique de l'avenir pourrait comprendre la possibilité de créer des champs acoustiques à la surface de
la mer et de l'océan pour combattre des navires seuls ou une armada entière. Son article se poursuivait en disant
qu'en ensemençant les nuages d'une zone située à quelques milliers de km en amont d'unpays déterminé, on pourrait provoquer
dans ce pays de graves sécheresses pendant plusieurs années... Incroyable! On imagine les observations après un tel désastre...
Son rapport faisait aussi état de la modification possible de la couche d'ozone (qui se trouve à
environ 40 à 50 km d'altitude) par des moyens chimiques et physiques pour permettre le bombardement par un intense rayonnement
ultraviolet de certaines zones de la planète. L'une des possibilités les plus intéressantes dont traite son article, fut suggérée
par M. Gordon McDonald, géophysicien et astrophysicien de réputation internationale, du Dartmouth College :
"Le dégagement d'énergie thermique en Arctique ou en Antarctique (peut-être par des explosions nucléaires
provoquées à la base d'une couche de glace) pourrait déclencher le glissement vers l'extérieur de la plaque de glace, dont
l'effet immédiat serait de créer des tsunamis massifs (raz de marée) qui pourraient détruire complètement les régions côtières."
De plus, selon cette même source, M. McDonald exposa un concept dans lequel des oscillations électriques amplifiées
dans l'atmosphère terrestre pourraient servir à affaiblir le cerveau humain. Il dit que les recherches démontrent que de faibles
champs électriques oscillants peuvent influencer le cerveau en causant une petite, mais mesurable, réduction du rendement
d'une personne. Des recherches sur la foudre ont démontré qu'il serait possible de maîtriser cette dernière pour créer de
telles oscillations à basse fréquence dans l'ionosphère!" ( Voir sur ce site : le projet H.A.A.R.P.)
Le lecteur initié a certainement relevé plusieurs points importants dans ces pages :
1) l'utilisation de champs TBF à haute tension dans l'ionosphère, 2) l'échauffement de
la calotte glaciaire, 3) la production sélective de la foudre... Le premier point s'explique de lui-même, car il
a déjà été abordé dans le chapitre portant sur Tesla et sur le projet H.A.A.R.P. Le second point peut ne pas avoir
été aussi évident. nous allons donc l'expliciter.
Lorsqu'un champ TBF comme celui de Tesla est synthonisé sur une fréquence qui crée un cycle complet
à l'antipode de la tour d'émission, le thermodynamisme de l'échange d'énergie est uniforme aux deux pôles. Toutefois, lorsqu'une
fréquence utilisée complète un cycle au pôle émetteur, elle produit un immense refroidissement à ce pôle et un réchauffement
intense à l'antipode! Pourrait-on employer ce moyen pour faire fondre une calotte glaciaire en vue d'inonder les côtes russes
ou canadiennes? Est-ce pour cette raison que l'Amérique et la Russie ont installé des stations TBF au pôle Sud?... On
doit se poser la question...
Le troisième point est relié au premier. Un sous-produit de la production de ces champs résonnants
TBf à haute tension est que l'on peut diriger des coups de foudre sur des cibles déterminées de l'autre côté de la Terre!...
Le lecteur sera assurément impressionné de savoir que l'ébauche de traité présenté à la Conférence
de Genève d'août 1975 sur le désarmement international, par les délégués des Etats-Unis et de l'U.R.S.S., contenait l'interdiction
de 19 catastrophes climatiques artificielles. On y comptait plus particulièrement : le déclenchement d'avalanches et de glissements
de terrain; l'éveil des volcans; le déclenchement de tremblements de terre et de raz de marée; le contrôle de la foudre; le
guidage des ouragans ou des cyclones sur des cibles stratégiques (les Australiens devraient se demander si oui ou non le comportement
inhabituel du Cyclone Tracy à Darwin était lié de quelque manière à une bataille des Titans...); la fonte des calottes glaciaires
pour inonder les états côtiers avoisinants; le changement de direction des rivières; la production de brouillard, de grêle
et de pluie; et la destruction délibérée de parties de la couche d'ozone terrestre.
Quel est le véritable objet de l'Opération Arche de Noé du Président Carter... (Président
des Etats-Unis de 1977 à 1981.)
Source bienveillante.
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