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la pétition pour montrer votre soutien à Gary McKinnon.
Gary McKinnon, une Interview de première fait
sur BBC, le 5 mai 2006. Il ne mâche pas ses mots pour dénoncer des secrets mondialement cachés.
Vidéo à télécharger ici:
Nouvelles reçues 16 septembre 2006 envoyé par notre très dévoué CRUCRAS.
Garry McKinnon, alias Solo
Un article de Michael E. Salla, traduit par Jean-Marc Jacot, paru dans Nexus n°46, concernant Garry
McKinnon alias Solo, qui vendra peut-être des best-sellers un jour, je lui souhaite, mais qui est pour le moment plutôt sous
la menace d'un petit séjour à Guantanamo...
En juin 2005, le citoyen britannique Gary McKinnon est arrêté pour avoir commis « le plus grand piratage
militaire informatique de tous les temps. » Passionné d’ufologie, ce hacker de génie a piraté les ordinateurs du Pentagone,
de la Nasa, du Johnson Space Center et de la Navy. Aujourd’hui extradé vers les Etats-Unis, il risque jusqu’à
70 ans de prison et 1,75 millions de dollars d’amende. Né à Glasgow, en Écosse, en 1966, McKinnon a six ans lorsque
ses parents se séparent. Il grandit à Londres auprès de sa mère et son beau- père, amateur d’ovnis. «Il était de Falkirk,
et juste à côté de Falkirk, se trouve un lieu appelé Bonnybridge, capitale mondiale des ovnis. À l’époque où mon beau-père
vivait là-bas, il avait rêvé qu’il se promenait aux alentours de Bonnybridge, et qu’il y voyait d’énormes
vaisseaux, Il m’a raconté ce rêve qui a éveillé ma curiosité. C’était un grand amateur de science-fiction. Comme
il était mon deuxième père, moi aussi je me suis mis à lire cette littérature, et à l’imiter dans tout ce qu’il
faisait...»
À 15 ans, Gary s’inscrit à l’Association britannique de recherches sur les ovnis (BUFORA).
Deux ans plus tard, il voit au cinéma War Games, thriller racontant comment un jeune passionné d’informatique se branche
sur un ordinateur secret de l’armée américaine. «Je me suis demandé si c’était possible, et si ça pouvait être
aussi simple », raconte-t-il.
C’est ainsi qu’en 1995, il démarre ses activités de hacker. Il cherche et
trouve, à plusieurs reprises, des administrateurs de réseau haut placés au sein du gouvernement américain et dans les institutions
militaires qui n’ont pas pris la peine de protéger leurs systèmes par un mot de passe. Ça commence comme ça. Il s’entraîne
en pénétrant à l’intérieur du réseau de l’université d’Oxford, par exemple, et peu à peu, se prend au jeu.
Quand on lui demande s’il se considère brillant, il répond que non, qu’il n’est qu’un technicien
informatique, autodidacte, plutôt ordinaire, Il ajoute même qu’il est loin d’être seul dans son cas: «Une fois
que vous êtes sur le réseau, il vous suffit d’activer une commande appelée NetStat - Statut de réseau (Network Status)
- qui vous donne la liste des personnes connectées à cette machine. Il y avait des hackers du Danemark, d’Italie, d’Allemagne,
de Turquie et de Thaïlande. »
Et les extraterrestres dans tout ça, existent-ils ? Selon McKinnon, aucun doute : «J’ai
trouvé une liste de noms d’officiels sous la rubrique “Officiels non-terrestres”, explique-t-il. Cela ne
veut pas dire qu’il s’agisse pour autant de “petits hommes verts”. En fait, je crois qu’on a
affaire à des personnes “non basées sur Terre”. J’ai trouvé une liste de “transferts d’une flotte
à l’autre”, ainsi qu’une liste de noms de vaisseaux. J’ai fait une recherche sur ces noms. Ils n’appartenaient
pas à la marine américaine. Cela m’a plutôt fait penser à une sorte de vaisseau spatial, situé en dehors de notre planète.
Il y avait aussi un groupe appelé The Disclosure Project [Projet Révélation]. Ses membres ont publié un livre dans lequel
témoignent quatre cents experts — aiguilleurs du ciel civils, opérateurs de radars militaires, personnes responsables
de déclencher ou non le lancement de missiles nucléaires. Toutes ces personnes très crédibles et très fiables nous disent:
“Oui, il y a bien une technologie propre aux ovnis, une anti-gravité, l’énergie libre existe, tout cela est d’origine
extraterrestre, et nous avons capturé certains de leurs appareils à partir desquels nous avons fait du génie inverse. “
Un scientifique de la NASA aurait rap porté l’existence, dans le bâtiment 8 du Centre spatial Johnson, de services
chargés d’effacer les images d’ovnis, par retouche, sur les clichés haute résolution pris par satellite. D’où,
sur certains dossiers, la mention « filtrés », ou « non filtrés », « traités » ou «vierges »... «Un jour, raconte Gary, j’ai
sorti une photo d’un dossier, et, comme je me servais d’une connexion Internet de 56 k, donc très lente, j’ai
baissé le niveau de couleurs de l’image à quatre teintes, à l’aide d’un programme de contrôle à distance;
j’ai aussi baissé le niveau de résolution au maximum, et malgré ça, l’image tremblotait à l’écran. Mais
ce que j’ai vu à ce moment-là a récompensé tous mes efforts: c’était l’image d’un objet qui n’avait
clairement pas été fabriqué par main d’homme, Il était situé au-dessus de l’hémisphère terrestre, Il ressemblait
un peu à un satellite, mais semblait n’avoir été fabriqué par aucun moyen connu: il n’y avait aucun rivet, aucune
soudure. C’était comme un continuum de matière sans la moindre faille. Il était en forme de cigare et des dômes géodésiques
l’entouraient, au-dessus, en dessous, à gauche, à droite et aux deux extrémités, et bien que ce ne soit qu’une
image basse résolution, la photo avait été prise d’assez près. Au-dessus de la Terre, l’objet paraissait suspendu.»
Après les événements du 11 septembre 2001, Gary McKinnon s’intéresse à la thèse du complot: « Pourquoi l’édifice
s’est-il effondré comme s’il y avait eu une série d’explosions contrôlées ? j’ai horreur des théories
conspirationnistes, j’ai donc décidé de trouver la réponse par moi-même.» Par souris interposée, bien sûr. Mais le vent
tourne pour Gary le hacker. Un jour, par mégarde, il appuie sur le mauvais bouton. Résultat : des fichiers gouvernementaux
effacés et une mise en accusation du ministère de la justice. «Je commençais à être un peu brouillon, reconnaît Gary McKinnon,
et chose que je n’aurais jamais crue, j’ai fini par devenir mégalo... j’ai commencé à parler aux personnes
que je piratais, à leur écrire par messagerie des petites diatribes politiques... » Acte manqué fatal, McKinnon utilise sa
propre adresse email pour télécharger un programme administratif d’accès à distance...
« Dieu seul sait
pourquoi j’ai utilisé ma véritable adresse email. Je ne suis définitivement pas un hacker du genre cachottier, méticuleux,
qui vérifie chaque étape et ses procédures. » Pas cachottier, et même bavard, le hacker déchu laisse entendre qu’il
a encore beaucoup de choses à dire : «je ne peux pas en parler, ce n’est pas le moment. Le 10 mai 2006, le juge fédéral
britannique décide que McKinnon doit être extradé vers les États-Unis afin d’être jugé pour piratage de systèmes et
réseaux informatiques sensibles. Les amis et défenseurs de Gary McKinnon craignent qu’il ne bénéficie pas d’un
procès équitable aux États- Unis. Un blog est mis en place pour soutenir la campagne visant à obtenir que McKinnon soit jugé
au Royaume-Uni. Mais en juillet 2006, son extradition est officialisée. « Je suis triste, mon senti ment actuel est d’être
abandonné par mon propre gouvernement e, a-t-il déclaré à l’annonce de la décision. Affaire à suivre...
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Nouvelles
Pas de chance pour Gary McKinnon, 40 ans, connu pour avoir piraté en 2001 et 2002 des machines gouvernementales
américaines à la recherche d'informations sur les petits hommes verts.
Dans ses piratages, il a causé des dégâts estimés
à pas moins de 900.000$ à différentes compagnies privées dans 14 états différents. Arrêté en 2002, cet anglais a tout tenté
pour ne pas être extradé aux Etats-Unis.
La justice, au travers de la cour anglaise aura donc tranché une première
fois à sa défaveur, il sera extradé aux Etats-Unis où il risque un emprisonnement maximal de 5 ans et une amende de 250.000$.
Bonjour à Tous
! Le 16 mai 2006
Gary MacKinnon a voulu pirater pour trouver entre autres des informations
prouvant l'existence extraterrestre sur Terre et dans notre système solaire. Ne vous inquiétez pas il en a obligatoirement
trouvées, et il a dû caché tout çà à travers le net sur des serveurs secrets... Le jour de la révélation secrète est proche,avec
ou sans ses preuves. Des "Extraterrestres" soutiennent son action, et je le soutiens bien sûr aussi.
Des planètes
habitées dans l'univers, il y en a au moins des milliards, et des civilisations qui sont venues nous voir discrètement près
d'une centaine en 30 ans. Certains ressemblant aux "Hommes" sont déjà parmi nous, d'autres sous Terre dans des bases, et tout
ça c'est bien réel, aussi vrai que vous existez !
Je suis Jérôme Gorriz
Signez la pétition pour montrer votre soutien à Gary
McKinnon.
Un appel à nos Frères célestes:
Aidez le aussi, il le mérite bien, en faisant
ce qu'il a déjà effectué, il vous a beaucoup aidé indirectement, il vous a fait pas mal de publicité !
Je suis Jérôme Gorriz, médiateur
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