Notre dossier préféré !
Attention nous vous démontrons par A+B tout
ce que nous avançons ici dans ce dossier.
NOUS VOUS DEMANDONS DE VERIFIER ET D'ETUDIER, ET DE NOUS DONNER VOTRE
OPINION ARGUMENTE SI VOUS LE DESIREZ.
Des observations, des témoignages, des photos,
des explications, des comparaisons qui ne laissent aucune chance au hasard.
Lisez bien tout jusqu'en bas de cette page !
ATTENTION: Nous tenons à présicer comme vous
le voyez dans notre dossier, que le GEIPAN continue à se tromper sur la vérité de ce jour du 5 novembre 1990, et que
leur explication: " Observation par des milliers de personnes d'une rentrée atmospherique d'une ampleur exceptionnelle" (classe
A) est totalement fausse !
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Un conceil achetez le livre "OVNI CONTACT" à commander sur
Nous n'avons aucun intérêt financier dans
ce livre mais c'est le livre du siècle, une preuve extraterrestre en elle même. Une bombe pour mettre tout le monde d'accord
! OUI des "Extraterrestres" sont là et veulent le Vrai Contact avec les "Hommes" de la Terre.
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Ce dossier est publié dans OVNI007 depuis
le 30 juillet 2006 et sera complété au fil de nos recherches.
Vous
vous rendrez compte rapidement dans notre dossier que nous arrivons à la conclusion ci-dessous,
conclusion que NOUS VOUS DEMANDONS DE VERIFIER ET D'ETUDIER,
Il ne s'agit pas de ne nous croire sur parole,
mais que vous étudiez par vous même ce dossier brûlant et captivant et que vous fassiez votre propre opinion objectivement.
Voici la conclusion faite très sérieusement par
LA BANQUE INTERNATIONALE DE DONNEES UFOLOGIQUES,
à vous l'infirmer ou de la confirmer:
Un plan de vol très organisé, un engin tout
les 5 ou 10 centigrades en vol, 74 départements ont reçu des témoignages, environ 500 témoignages sur toutes la France, et
combien de témoins qui n’ont pas témoignés.
De quelques
manière que l’on prenne le problème, il est évident que des objets gigantesques ont survolé le territoire français : 20%
des témoins estiment les objets longs de 500 mètres à 1000 mètres ! 22% donnent une longueur comprise entre 50 cm à 1 mètre
mesuré à bout de bras.
Ces dimensions ne serait-ce qu’à 1 kilomètre du témoin, deviennent impossibles à concevoir
si l’objet est 2, 5, 10 ou 100 fois plus loin (fusée à proton environ 10 mètres de long !) Ainsi tout porte à croire
que les vols furent bien observés en très basse altitude !
Seuls 4% des témoins acceptent l’idée d’une
altitude supérieure à 5 km ! 75% des témoins affirment un éloignement inférieure à 1000 mètres !
La progression
de ces engins a été constatée sur des itinéraires parallèles distants de 5 à 25 km en moyenne, basse altitude, les directions
étant Ouest/Est avec inflection vers le Sud-Ouest/Nord-est, plus de 2 cas sont signalé Est/Ouest, nord/Sud ou Sud/Nord
La
localisation des observateurs ne semble pas résulter du hasard : Une grande majorité des sites d’observations repose
sur des longitudes et des latitudes à calculer en multiples de 5 centigrades (0, 5, 10, 15, 20…) 75% des observateurs
sont placés sur des alignements de 2 à 8 sites, tant en latitude qu’en longitude. Et il y a encore pleins
pleins observations irréfutables... tout cela vous pouvez le retrouver dans le livre: OVNI CONTACT
Des engins triangulaires, en forme de saucisse,
qui pour certains atteignaient au moins 2 kilomètres de long. Projecteurs très puissants vers le sol et vers le ciel.
Rien
à voir avec la fusée proton russe de 10 ou 20 mètres de long et volant à une altitude d'environ 80 ou 100 km ! Un point
invisible en sorte que l'opinion publique à avaler quasiment sans broncher quand le SEPRA a donné ces explications mafieuses
!
Voici une partie de la conclusion de LA
BANQUE INTERNATIONALE DES DONNEES UFOLOGIQUES:
Le 5 novembre 1990, une puissante armada d'engins
extraterrestres s'est présentée aux regards des "Hommes", à 19 heures précises, en survol de l'Europe occidentale et surtout
de la France !
Une puissance extraterrestre est venue se faire reconnaître
de la collectivité humaine !
Il s'agit bien ici d'une très réelle phase de
" pré-contact " !...
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Des conclusions partielles que nous tirons
simplement du livre OVNI CONTACT.
Ce
jour là, plus de 400 OVNI ont survolé la France. Ces objets pour certains de forme triangulaire ou d'autres allongés
comme des cigares, étaient longs de 500 mètres et plus pour certains, pourvus de projecteurs et de réacteurs de forme
triangulaire plus petits, ils ont évolué selon un plan organisé qui a été mis en évidence par une enquête de 36 mois.
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Plus de 400 engins vus
à travers toute la France le 5 novembre 1990 entre 18h50 et 19h10 surtout, mais une acivité anormale depuis aussi 3 jours
avant et jusqu'à 3 jours après ! Des engins pour certains entre 100m jusqu'à près de 2 kilomètres de long en forme triangulaire
ou en forme de saucisse ! Plus de 500 témoignages Ce n'est pas la rentrée d'un 3ème étage d'une fusée à proton russe
de 19h07 !
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Témoignage d'un ancien militaire Laurent effectué en 1992
sur "Sky Rock" en présence du présentateur Malère et de l'Ufologue Jimmy Guieu.
Ecoutez cela vaut vraiment le coup.
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Il semble aussi que cette affaire ait causé
beaucoup de remous au sein de la Défense nationale ! Nous tenons cela de plusieurs informateurs, et Jean Sider (Article
de Jean Sider dans Inforespace n°96 en mai 1998) a remarqué que 9 jours seulement après la rentrée du 5 novembre,
un décret du Ministère de la défense (n°90-1013 du 14/11/90) fixait les attributions du SIRPA (Service d'information et de
relations publique des armées).
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Article du Journal de Dax dans le sud-ouest
La vérité nous l'avons et nous vous la donnons
ici sur cette page de notre site OVNI007.
Nous tenons à confirmer la réalité
d'engins extraterrestres volant le 5 novembre 1990 en France. Claude, contacte
de notre groupe OVNI007 a lui même vu de ses propres yeux avec plusieurs témoins qui se tenaient à côté de lui en région parisienne
à Bobigny à 19h00.
"Cela ressemblait à une plate-forme, à une
sorte de boyau avançant à 10 ou 15 kimomètres heures maximum, il volait à 200 ou 300 mètres d'altitude maximum, il ne
faisait aucun bruit.
Cet engin d'environ 100 mètres de long
avait des projecteurs ou faisceaux étonnants, très puissants et dirigés vers le ciel en sens inverse de la marche.
Cet engin était vraiment très
impressionnant."
Claude.
"Un ami que j'ai rencontré
récement dans la Drôme m'a confié que sa femme lui avait dit avoir observé à cette époque un engin qu'elle apparentait à LA
TAILLE D'UNE VILLE au dessus du Vercors. Elle n'a pas témoigné officiellement."
Claude
(message fourni
le 01/09/2006)
Voici ci-dessous la vidéo qui ressemble le
plus à ce que Claude a vu lui-même, et qu'il nous a conceillé de vous montrer...
Le cas de l'ovni de Guillermo Osorio en 1995:
Ce n'était pas un morceau d'une fusée russe
!
Quelle bandes de rigolos ces désinformateurs
!
Nous nous excusons d'avoir diffusé un témoignage
approximatif de Claude avant aujourd'hui mardi 26 septembre 2006, c'est cela avoir la mémoire courte ! Désolé cher
Claude !
Cette vague d'OVNI est à notre sens une des
meilleures preuves extraterrestres.
Dessin de l'observation de Blandine Mariotte |
|
=====
La seule photo que nous ayons pour le moment.
Philippe Ughetto, photographe de l'agence
Magnum, et son assitant fixent sur la pellicules (photo ci-dessous) depuis les toits des immeubles de Gennevilliers.
Ce phénomène lumineux sera vu simultanément
par des centaines de témoins à travers tout le pays, en direction du sud-ouest vers le nord-est.
Oh ! Quel beau cigare !
Manuel Jimenez dans son livre la Psychologie de la perception (Flammarion, 1997) a analysé
un échantillon de mille deux cent vingt-cinq témoignages d'ovi [objets volants identifiés], constitué de cas de témoignages
multiples consignés dans le fichier de la gendarmerie nationale. Il s'agit de dix-huit rentrées atmosphériques qui se sont
produites entre 1974 et 1990. [p. 96]
Voici ces conclusions:
"Les rentrées de météores, de débris de satellites, de fusées se déroulent dans les
hautes couches de l'atmosphère [...] Vues de la terre, ces rentrées atmosphériques se présentent comme des taches lumineuses,
rondes ou allongées, d'une taille comparable à la pleine lune. Les couleurs sont en général multiples, et la durée très courte,
en général quelques secondes à peine. Ils constituent donc, pour un psychologue expérimentaliste, des stimuli fugaces
et vagues."
La plupart des observations du 5 novembre 1990 ne correspondent en rien à ces descriptions faites par Manuel Jimenez,
la rentrée d'un 3ème étage d'une fusée proton russe ne pourrait pas expliquer tous les témoignages et loin de là, et encore
faut-il qu'il ai été présent ce morceau de fusée, car au vue des Russes ont peu fortement en douter par dessus ce constat
!
LA TERRE ENTIERE A ETE ABUSEE.
L'OPINION PUBLIQUE A ETE MANIPULE.
POUR OVNI007, IL NE FAIT AUCUN DOUTE, DES EXTRATERRESTRES SE SONT MONTRES EN FRANCE ET EN EUROPE LE 5
NOVEMBRE 1990.
C'est une certitude absolue.
=====
Un témoignage:
La taille est qualifiée de « gigantesque »: la longueur est estimée à 300
ou 350 m, l'altitude à environ 200 m. Le diamètre du « sous-marin » correspond... à la hauteur d'une tour de 20 étages ! A
l'arrière, trois faisceaux lumineux d'un blanc argenté éclairent en sens inverse du mouvement. Ils sont au moins aussi longs
que le « sous-marin ». Ce ne sont pas des faisceaux tronqués, comme à Brétigny, à Gretz-Armainvilliers ou dans le sud de la
Dordogne: ils se terminent « comme des projecteurs normaux ». Au fur et à mesure que l'énorme chose se déplace vers l'est,
parallèlement à son axe, la direction d'observation évolue vers le sud, et l'avant de l'objet se rapproche du plan de la façade
de l'immeuble. Comprenant qu'ils vont alors perdre de vue l'objet, les témoins bondissent dans la cuisine, dont la fenêtre
donne vers l'est. Et là, ils voient (mais cette fois, de derrière) la monstrueuse chose qui paraît survoler le centre de Melun,
et s'éloigne vers l'est. A l'arrière, on distingue comme une ouverture béante, mais les trois faisceaux, bien que non éblouissants,
empêchent de distinguer les contours de la « masse noire », La vitesse est qualifiée de « très lente », et l'observation dure
« nettement plus d'une minute ». Lorsqu'elle a été vue au plus près (juste avant ou juste après que les témoins soient passés
d'un côté de l'appartement à l'autre), la masse noire seule (sans compter les trois faisceaux) était visible sous un angle
de 30 à 40°. C'est 60 ou 80 fois le diamètre de la pleine lune, et cela couvre une bonne partie de la largeur du champ visuel.
La hauteur angulaire maximale a été estimée à une trentaine de degrés.
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Nous vous donnons la version officielle
qui a été malheureusement présentée après aux médias pour désinformer la population française et à forciori mondiale.
LES
PHENOMENES LUMINEUX observés dans la soirée du 5 novembre en France ont été identifiés. Ils ont été provoqués par la rentrée
dans l’atmosphère et la combustion « du 3ème étage d’un lanceur soviétique ayant servi le 3 octobre 1990
à la mise sur orbite géostationnaire d’un satellite d’un satellite de télécommunication de type Gorizont 21 »,
a affirmé le Service d’expertise des phénomènes de rentrée atmosphérique (SEPRA) du Centre national d’études spatiales
(CNES). L’objet « dans sa phase finale de désintégration, a traversé la France sur une orbite Pau-Strasbourg. Les
conditions météorologiques exceptionnelles ont favorisé l’observation de ce phénomène de rentrée atmosphérique.
Sources
Les phénomènes lumineux observés la soirée du
5 novembre en France et dans plusieurs pays voisins, sont élucidés. Il s'agit de morceaux d'une fusée soviétique lors de sa
rentrée dans l'atmosphère, a affirmé le Service d'expertise des phénomènes de rentrée atmosphérique (SEPRA), du Centre national
d'études spatiales (CNES).
Le CNES indique qu'à partir des données fournies par le US Space Com américain qui suit
tous les objets flottant dans l'espace, il ne peut s'agir que des morceaux d'une fusée qui avait lancé un satellite de télécommunications
soviétique le 3 octobre. Ces morceaux sont rentrés dans les couches denses de l'atmosphère à 19h, heure française, selon une
trajectoire allant de Pau à Strasbourg.
Source: Est Républicain, 10 novembre 1990
=====
Trajectoire Pau-Strasbourg de l'élément de la fusée
Remarquez que la trajectoire est plutôt Bordeaux-Strasbourg !
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Observations des ovnis le 5 novembre 1990
Maintenant comparez où les observations d'ovnis
ont été faites à travers la France et où ils ont été vus, et celle de la prétendue trajectoire de la fusée.
PAS GRAND CHOSE A VOIR ENTRE LES DEUX CARTES
N'EST CE PAS !!!!!!!!!!!
Avec ces deux cartes il est très facile de
se rendre compte que peu d'observations peuvent être liées à la chute du 3ème étage de la fusée.
Nous avons superposée les deux cartes pour
vous montrer encore mieux le résultat !
(en rouge la trajectoire de l'élément
de la fusée)
L'EVIDENCE DU MENSONGE EST SOUS VOS YEUX
ET SANS AUCUNE AMBIGUITE.
Un Engin d'à peine 10 mètres de long voir
20 mètres et volant à environ entre 80 à 100 mètres d'altitudes est un point au mieux dans le ciel !
Relisez même un peu plus haut des conclusions faites par
Manuel Jimenez.
Les trajectoires des transits étaient
très nombreuses et différentes, loin d'être tous dirigés dans le même sens et la même direction.
La vitesse en vol était donnée très différent
d'un témoin à l'autre,
certains observateurs ont dit même avoir vu
leur(s) ovni en stationnaire aussi !
Voilà qui ne ressemble vraiment pas à la rentrée
atmosphérique d'une fusée.
Et pourtant... L'heure correspond à la minute
près à celle du passage au plus près de ce phénomène; le cap suivi, la direction du passage au plus près, la hauteur par rapport
à l'horizon correspondent très exactement à sa trajectoire; les dimensions angulaires estimées sont celles que d'autres témoignages
précis attribuent à ce qui était certainement la rentrée atmosphérique; les impressions de descente du ciel et de virages
s'expliquent raisonnablement par des effets de perspective...
Une drôle de fusée ! Des sacrés rigolos ces
désinformateurs !
Vous voulez faire avaler la pilule à qui là
?
De vrais charlots ces désinformateurs !
Attention ne confondez pas une flèche à un
avion c'est le même ordre d'idée !
Vous prenez vraiment les "Hommes" pour des
abrutis !
=====
Quelques cas étudiés:
Sur ces 52 cas en France, 41 indiquent une direction de déplacement de l’ovni dont :
1 venant de l’ouest, 3 vers l’est, 8 d’ouest en est, 5 vers le NE, 12 SO vers NE
et 4 OSO vers ENE. Soit 33 cas sur 41 (80,5%) d’ouest en est à SO vers NE, ce qui correspond à la direction
supposée de la rentrée du 3ème étage de la fusée Proton, alors que les descriptions des témoins ne correspondent
en rien à celle d’une rentrée atmosphérique.
Les témoins furent dans l’ensemble impressionnés favorablement, sans doute du fait que les apparitions
étaient brèves et sans interaction avec eux. L’aspect esthétique de ces apparitions ne transparaît pas dans notre commentaire
succinct qui est par nécessité bien plus pauvre que les descriptions des témoins, mais nous reproduisons ci-dessous quelques-uns
des ovnis observés à titre d’illustration.
5 novembre 1990 vers 19h |
|
Une "armada" d'au moins 70 triangles fut observé en France. Ces engins semblaient tomber du ciel
pour reprendre, une fois parvenus à 300 m du sol, une trajectoire horizontale. (Jan Hertoghs : Humo du 24.9.1996) A
la même heure "400 ovni survolent 74 départements français au même instant". 500 témoignages notamment de militaires, de gendarmes,
ont été recueillis. Qu'ont-ils vus? des masses noires, longues parfois de 1 km, des engins triangulaires de 100 m de côté.
75% des témoins affirment que ces objets volants ont évolué sans bruit à moins de 500 m du sol. Tous ces témoignages ont
été consignés dans l'enquête "Ovni Contact" publiée par Franck Marie. (Jean-Francis CROLARD: "L'énigme des E.T." - éd. Guy
Trédaniel 1995, p. 74.
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Est républicain du 6 novembre 1990
"C'était cinquante fois plus gros qu'un appareil de ligne"
Engin Triangulaire avec projecteurs |
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Vus par de nombreux témoins |
Engin en forme de saucisse avec projecteurs |
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Vus par de nombreux témoins - Engin faisant jusqu'à au moins 2 kilomètres de long parfois |
Engin vu aussi ce jour là |
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FRANCE, Neuilly sur Marne
Commençons par le cas de M. Jean Pierre Sandoux: entre 18 h 55 et 19 h 02 M. Jean-Pierre Sandoux,
se trouvait au 11e étage d'un immeuble, et il est aussitôt sorti sur le balcon pour observer le phénomène. 1ère phase: ensemble
de trois gros points verts visible en direction du sud-sud-est, les deux points inférieurs se trouvant sous la ligne d'horizon.
Le témoin estime alors la distance à 50 ou 100 mètres, et l'altitude du phénomène par rapport au sol à une trentaine de mètres.
Cette première phase dure environ 5 secondes. L'ensemble des trois lumières vertes se met à pivoter autour de son centre.
Le témoin se lève alors, tire le rideau, ouvre la porte-fenêtre, et se précipite sur le balcon. 2ème phase: cette phase va
durer entre 3 minutes et demie et 4 minutes. Arrivant sur le balcon, le témoin découvre l'ensemble de 4 lumières (trois rouges
et une, plus grosse, orange) . L'ensemble est absolument immobile; aucune vibration, aucun bruit. Si une structure relie les
lumières, le témoin ne la distingue pas dans l'obscurité. Pourtant, il lui semble que le phénomène ne se trouve qu'à une trentaine
de mètres de lui, à peu près à l'autre extrémité de l'immeuble. Pour voir les deux points rouges situés dans le coin inférieur
gauche du triangle , il doit se pencher légèrement sur la barre d'appui du balcon : ces deux points se situent à peu près
dans le prolongement de la façade de l'immeuble, à peine au-dessus du niveau des yeux du témoin. Chaque côté du triangle est
visible sous un angle de 25 à 30º. Le témoin a le temps d'observer l'extrémité du "faisceau" tronqué qui sort de la "tuyère"
orange, vers le bas et vers la droite. Son extrémité a la forme d'une ligne de créneaux dont les minima et les maxima alternent
comme l'indiquent les flèches sur le dessin, comme Si le faisceau était une juxtaposition de tubes glissant les uns sur les
autres, animés d'un mouvement sinusoïdal. 3ème phase: l'ensemble s'éloigne lentement vers l'est, c'est-à-dire parallèlement
à la façade de l'immeuble, en ligne droite et à altitude constante. Au bout d'une trentaine de secondes, il disparaît au loin,
dans la brume. (Joël Mesnard :LDLN 303-305-306-309-310-313-318)
Base Aérienne 123, Orléans-Bricy (Loiret)
19 heures. La BA 123 se trouve au nord-ouest d'Orléans. C'est avec Evreux l'une des deux principales
bases du CoTAM (Commandement du Transport Aérien Militaire). Les avions qui y sont basés sont des Transall et, depuis peu,
des C-130. Nous devons cette enquête à M. Joël Sauvette. Il était 19 h lorsque l'équipe de permanence technique, occupée à
refermer les portes d'un hangar orienté est-ouest, eut son attention attirée par un étrange phénomène, que tous considérèrent
avec ébahissement. En effet, une masse énorme, dont les contours purent être déterminés
par la présence de lumières à sa périphérie, les survolait de sud-ouest en nord-est, sans émettre aucun bruit. La forme particulière,
liée à l'implantation de ces lumières, a fait croire à bon nombre des observateurs qu'il s'agissait d'un vol en formation
d'avions de transport rentrant à leur base. Seule l'absence totale du bruit caractéristique des turbopropulseurs les a amenés
à changer d'avis. L'observation ayant duré une minute environ, les témoins ont pu détailler le phénomène: outre les lumières
périphériques, délimitant à l'avant comme un chevron, et à l'arrière un quartier de lune, l'intérieur de la silhouette était
empli de petites lumières à la luminosité plus faible, tant dans la partie avant que dans la partie arrière. En ce qui concerne
la partie centrale, les témoins sont imprécis, et ne peuvent dire avec certitude s'il s'agissait de la luminosité d'autres
petites lumières, ou de celle des étoiles qui s'allumaient dans le ciel. Au niveau de la partie avant et à la base de celle-ci
apparaissaient deux faisceaux lumineux. L'un d'eux (1 sur le schéma) rappelait un peu celui d'un projecteur d'hélicoptère,
comme on en voit souvent dans les feuilletons télévisés américains, et l'autre (2) était un peu plus gros qu'un phare de moto.
Si le plus puissant des deux faisceaux était dirigé parallèlement à l'objet, l'autre, légèrement plus bas et formant avec
le premier un angle d'environ 30º, était dirigé vers le sol, qu'il semblait vouloir éclairer très en arrière de sa position.
Il est à noter qu'aucun spot lumineux n'est apparu sur le radar d'approche du Contrôle Local d'Aérodrome. Seules les conversations
téléphoniques inter-bases ont permis à la vigie d'observer le phénomène. Les deux faisceaux lumineux ressemblent étrangement
à ceux qu'ont dessinés d'autres témoins, notamment à Brétigny-sur-Orge , où les deux dames de la rue de l'Orge ont précisé
que la chose venait d'Orléans! En revanche, il n'existe pas de ressemblance très frappante entre la description faite sur
la BA 123 et la suivante, pourtant très proche. (Joël Mesnard :LDLN 303-305-306-309-310-313-318)
Boismorand (Loiret)
Vers 19 h 05. Le dessin des témoins d'Olivet présente une symétrie axiale remarquable. On retrouve
ce caractère dans la description fournie par M. Jean Jacques Prévault : "C'était extrêmement net, parfaitement symétrique.
Comme ça ne faisait aucun bruit, j'ai imaginé un planeur qui aurait été décoré avec des guirlandes de Noël! Mais cela avait
une forme triangulaire, cela ressemblait au Concorde. Je n'ai vu cette chose que pendant une dizaine de secondes, car j'habite
en forêt, et très vite, ça a été caché par les arbres . Je ne sais même plus si toutes ces lumières étaient fixes ou clignotantes.
Il pouvait y en avoir une vingtaine ou une trentaine . Quant aux couleurs, je suis sûr d'avoir vu du jaune et du blanc, mais
il y avait peut-être aussi du rouge et du vert. En tout cas, Si ça n'était pas un engin avec des lumières un peu partout,
c'était drôlement bien imité!" La direction du mouvement était "sud-nord, ou sud-ouest-nord-est". La trajectoire passait à
l'est de la position du témoin. (Joël Mesnard :LDLN 303-305-306-309-310-313-318)
Nanterre
Vers 19 heures un couple de retraités a vu un énorme phénomène céleste : un triangle
genre aile delta. L'objet supposé passa entre les témoins et le Mont Valérien en arrière plan. Cette masse, qui faisait 40
cm entre les mains, bras tendus, à occulté le mont Valérien à un moment donné. Lorsque le mari appela son épouse, le triangle
se trouvait entre le mont Valérien et les tours de la Défense (Paris) et il ne faisait plus que 13 cm à bout de bras. Cela
correspond à un engin d'environ 500 mètres d'envergure ! Or, ces témoins semblent avoir été les seuls à voir ce phénomène
aérien, bien que Nanterre soit la proche banlieue de Paris avec ne densité de population très élevée. . (Jean SIDER :
« Ovni, les envahisseurs démasqués » - éd. Ramuel 1999, p 151)
Chézy-sur-Marne (Aisne)
Vers 19 heures 05. Mme Carmen Bosserelle a rédigé, pour les lecteurs de LDLN,
le récit de l'observation qu'elle a faite en compagnie de ses enfants: "J'allais rentrer ma voiture dans le sous-sol, vers
19 h ou 19 h 10, lorsque mon fils aîné (14 ans) m'appela: "Maman! Maman! Regarde! Ou 'est-ce que c'est?" Je levai les yeux.
A ce moment, il me sembla entendre comme un vrombissement sourd, mais je ne peux l'affirmer. Quelle stupéfaction! Un énorme
"engin" (de toute évidence plus grand que la maison) était là, juste au-dessus de la cime des acacias. Il "glissait", à allure
très modérée, du sud-ouest vers le nord-est. Il avait la forme d'un triangle équilatéral parfait, avec à chaque sommet une
lumière fixe entourée elle-même d'autres petites boules lumineuses clignotantes de couleurs claires (blanc et jaunâtre), sauf
la lumière du sommet supérieur, qui était rouge, c'est certain. Il volait avec l'un des sommets en avant, et du côté arrière
sortaient trois ou quatre faisceaux lumineux blancs, distincts et fixes. Ils ne bougeaient pas, ils ne clignotaient pas. On
aurait dit la queue d'une comète. L'intérieur du "triangle vide", on n'y voyait rien. Un de mes enfants a affirmé avoir
vu les côtés du "triangle", comme bordés d'un halo blanc. Moi, je n'ai pas vu les côtés. Ils étaient invisibles. Le fait de
penser à un "triangle" venait uniquement de la position des lumières. Nous l'avons suivi des yeux pendant environ une minute
trente ou deux minutes, peut-être plus. Le temps nous a paru relativement long, car il n'en finissait pas de passer... quelle
lenteur! On aurait dit qu'il voulait qu'on l'observe bien, et sous toutes les coutures... Il était magnifique, avec toutes
ces lumières, et Si impressionnant! Il avançait à l'allure d'un piéton, puis soudain, arrivé à la hauteur de buissons, il
a tout éteint! Fini! Plus rien! Le noir complet... Mes enfants disent qu'il ne faisait aucun bruit. Effectivement, s'il était
accompagné de bruit quelconque, c'était un bruit très sourd... Je n'ose l'affirmer. J'étais éblouie par cette beauté et cette
symphonie de couleurs... Je ne tire aucune conclusion quant aux impressions que nous avons ressenties au passage de cette
chose. L'un des enfants était terrorisé et inquiet, les deux autres, émerveillés. Quant à moi, j'étais dans un état de surexcitation
incroyable. Je n'ai pas dormi de la nuit... "(Joël Mesnard :LDLN 303-305-306-309-310-313-318)
Entre Bereac et Cahors (Dordogne)
Vers 19 h. Voici maintenant, un peu plus au sud un double témoignage, qui est assez extraordinaire.
C'est M. Pierre Bosc qui a réalisé l'enquête. Les témoins, qui souhaitent rester anonymes, et que nous appellerons MM. A et
B. se trouvaient dans une localité du département de la Dordogne. située a une vingtaine de kilomètres de Villefranche-de-Périgord.
Le ciel était clair, les étoiles visibles. Il n'y avait pas de vent, mais il faisait froid. Témoignage de M. A. : "Je conversais
avec M. B., devant son habitation, assis dans ma voiture dont le moteur tournait. Soudain, M. B. attire mon attention sur
une formation lumineuse en provenance de la direction 266º Ouest. C'est d'abord une ligne de lumières blanches. Quelques
unes jaunes, dont l'intensité lumineuse fluctue. Cette formation progresse en silence, à basse altitude, semble-t-il, sans
qu'il me soit possible d'apporter plus de précisions. L'apparence de cette formation prend, au fur et à mesure qu'elle avance,
la forme d'un triangle aux angles arrondis, dont les côtés portent des lumières blanches et jaunes. d'intensité variable les
unes par rapport aux autres. L'intérieur de ce triangle est opaque, puisqu'il cache les étoiles, qui restent cependant visibles
tout autour de la formation lumineuse. Voulant m'assurer d'un bruit éventuel, je coupe le contact de ma voiture: silence!
La chose évolue à si basse altitude que, persuadé qu'elle va s'écraser non loin de là, en direction 80º Est, je reprends le
volant, non sans avoir remarqué, à l'arrière de l'engin, un rayon lumineux situé légèrement à droite du milieu du côté. Ce
rayon lumineux présente le caractère remarquable suivant: sa lumière ne diffuse pas sur les côtés. Elle est nette, comme coupée
à son extrémité, où elle a le même diamètre qu'à sa source. (…)L'évolution de "la chose" était accompagnée d'un
bruit comparable à celui d'un vol de palombes: un froufroutement, un déplacement d'air léger. (Joël Mesnard :LDLN 303-305-306-309-310-313-318)
J'ai observé avec mon père l'ovni du 5 novembre 1990, ma voisine aussi ,ainsi que ma soeur à 50 km
de chez moi. Nous avons vu 3 points blanc en triangle sans distingué de contour de forme. La pointe en avant et une trainée
de feu au milieu des 2 points arrière. L'objet a traversé le ciel d'ouest en est à l'horizon sud en 2 a 3 minutes sans
aucun bruit.. Depuis je m'interesse au sujet sur internet sans trouver d'explications claires et. j'aurais une question assez
simple ,quel peut etre la taille et l'altitude d'un objet traversant la France de Bordeaux à Strasbourg (trajectoire établie
grâce au nombre très important de témoignages) et visible nettement de l'Angleterre à l'Espagne ? J'ai souvenir d'un témoignage
d'un pilote de ligne parlant de taille en kilomètre.......!!
Alain
Dans son édition du mercredi 7 novembre, le journal La Liberté
consacra un article d'une page presqu'entière aux événements du 5 novembre. Cet article signale notamment plusieurs observations
très intéressantes dans le Morbihan, la Loire-Atlantique et la Vendée. Dominique Madrignac a approfondi, en 1993, l'une de
ces observations. Le témoin est un patron-pêcheur, M. José Bal, qui l'a reçu une première fois le 14 septembre 93, à bord
de son chalutier, l'Elvis, dans le port Sainte-Catherine, à Locmiquelic, puis de nouveau le 13 janvier 1994, au même
endroit. C'est sur ce bateau que M. José Bal avait fait l'observation, le 5 novembre 90, vers 19 heures.
Voici le récit que M. Bal a fait à Dominique Madrignac:
« C'était le 5 novembre 90, vers les 19 h, dans le suroit de l'île de Groix, à peu près à 18 milles
au sud-sud-ouest de l'île. Il faisait nuit, la mer était calme, le ciel clair et dégagé. J'étais sur la passerelle. Le reste
de l'équipage dormait. D'un coup, il y a eu comme une explosion, une lumière rouge intense, rouge pâle si on veut, comme un
éclair rouge-orange, qui paraissait bas sur l'horizon. Ça n'était pas très gros, mais tout de même assez important... comme
une explosion. C'était assez loin... difficile de préciser la distance. Je me suis dit que c'était peut-étre un avion ou un
hélico qui avait explosé, et puis non, vu la façon dont c'est venu ensuite. C'est comme si c'était rentré dans l'atmosphère,
et aussitôt après, une lumière rouge: deux feux rouges qui avançaient. Il me semble que c'est celui de gauche qui était le
plus haut. Ça avançait droit dans l'axe du bateau, avec un cap au nord-est. On a pu estimer (que ça venait d') entre le 200°
et le 220°, à la vitesse d'un avion à hélice, une vitesse régulière, comme un avion qui va atterrir, mais ça ne paraissait
pas haut, presqu'à l'horizontale, sur l'horizon. Et puis c'est arrivé à la verticale du bateau, et d'un seul coup, des lumières
se sont allumées: beaucoup de lumières blanches. Quand ces feux blancs se sont allumés, on ne voyait plus les feux rouges.
les lumières blanches sont passées au-dessus du toit de la passerelle: je ne les voyais plus, alors je suis sorti sur l'arrière
du bateau, ce qui m'a demandé quinze secondes. Bon, je les ai vues de l'arrière, et j'ai constaté qu'elles étaient disposées
en losange. Je me suis dit: « de l'avant, je verrais mieux », donc je suis passé à l'avant, et là, on le voyait très bien,
ce fameux losange.
C'était vraiment au-dessus de nous. Il ne bougeait pas, malgré le sens inverse du bateau en marche,
donc il devait reculer un peu, en fait. Un losange complet, bien délimité par des lumières blanches tout autour, comme des
guirlandes. Superbe ! C'était assez important, ça paraissait vraiment énorme, même bien 200 à 300 m de côté, beaucoup plus
que mon bateau, au moins quatre à cinq fois comme le bateau, comme si on avait eu un plafond au-dessus de nous, qui déborde
de chaque côté. On n'avait pas l'impression que c'était haut, parce qu'avec tous ces feux qui étaient vraiment énormes...
mais est-ce que ça paraissait grand parce que c'était bas ? Ça n'avait pas l'air d'être haut, vu comme c'est arrivé bas sur
l'horizon, peut-être 900 m de haut, par comparaison aux câbles qu'on allonge pour la pêche. On avait l'impression de matière,
mais dans le centre, est-ce que c'était une masse ? On ne voyait rien au travers. Ça n'était pas transparent, sinon on aurait
vu un petit nuage, une étoile. On ne voyait que du noir, mais plus noir que le ciel. Même dans la nuit, on fait la différence;
je ne me souviens pas d'avoir vu des étoiles, mais le ciel était clair, vraiment clair, mer calme, le bateau ne bougeait pas,
mais le moteur couvrait tous les autres bruits. C'est resté stable bien cinq minutes au-dessus de nous, à faire du sur-place,
comme s'« ils » voulaient nous voir, nous photographier... Je suis resté longtemps à regarder, puis ça a avancé un petit peu,
en dépassant le bateau pour arriver au travers de l'arrière, et là, il y a eu les réacteurs (je pense que c'étaient des réacteurs)
qui se sont mis en route. Ça s'est allumé en deux fois, mais au début, c'était juste minime, tout doucement, comme un brûleur
à gaz avec des flammes blanches, pas (violentes), et progressivement, au fur et à mesure qu' « ils » mettaient la sauce, on
voyait les genres de réacteurs qui forçaient.
C'est devenu assez vif comme une traînée de lumière blanche, et d'un seul coup, c'est parti, d'un
mouvement terrible, cap nord-est, à une vitesse incroyable. J'ai regardé, mais je n'ai plus rien vu. L'équipage dormait. Je
n'ai pas pris le temps de prévenir (les autres). Voilà ce que j'ai vu, moi, mais le patron du Guillemot, qui était à un ou
deux milles de nous, lui, il a vu les lumières blanches, mais il n'a pas fait attention. Moi, ça m'intéressait, alors j'ai
continué à regarder. Je suis rentré. Le lendemain, j'ai appelé le journaliste de La Liberté que je connais, à Port-Louis.
Il est venu me voir, le matin du lendemain ou du surlendemain, et a fait l'article. J'en ai parlé à ma famille et aux collègues
de travail, mais ils m'ont dit: « Tu vois des rats bleus !». Pour moi c'était un événement, de voir un truc comme ça. Et après,
j'ai su qu'il y avait eu tous les événements au-dessus de la France, en Loire-Atlantique, en Alsace, vers la même heure. Ce
n'était pas un avion ! un avion, on voit les clignotants. Je ne peux pas expliquer. Je n'avais jamais vu ça avant... »
(Ce
récit est la transcription, presque mot-pour-mot, du récit de M. José Bal. Il n'en diffère que par quelques retouches destinées
à le rendre plus compréhensible). A Dominique Madrignac, M. Bal a dit que l'observation avait duré, au total, entre 10 et
quinze minutes, dont 5 minutes entre l'explosion initiale et l'arrivée des lumières blanches au-dessus de l'Elvis, et 5 autres
de stationnement du losange au-dessus du bateau. Dans l'article du journal, cette durée (stationnement du losange) n'était
que de « 3 à 4 minutes ». A trente-quatre mois d'intervalle, cette légère distorsion n'a rien de choquant, et ne change rien
au problème. L'apparition du phénomène (explosion initiale) a été située par le témoin (en septembre 93) à l'azimut 220° (celui
du sud-ouest étant 225°), et seulement 2 ou 3 degrés au-dessus de l'horizon. Plus intéressant: le témoin a indiqué, comme
azimut de la disparition du phénomène: « 25 à 30° ». Cet azimut n'est pas celui de Bitche (près de 80°), mais plutôt celui
de Southampton.
Source: http://reguite.free.fr/Extraterrestres/5novembre1990.html
Landes 5 Novembre 1990 : un
témoin parle !
Michel L est un homme tout à fait charmant
que je connais depuis de nombreuses années.
Un jour une personne proche de moi
sachant que je m’intéressai aux O.V.N.I me fait part de l’histoire peu banale de ce commerçant de Villenave d’Ornon
(33).
Aussitôt je rencontre cette personne
et lui demande de me raconter son histoire.
Mr L. est un de ces chasseur nés
qui passe des journées entière à pister la palombe. Et ce jour-là, après une journée ensoleillée il décide de rester jusqu’à
la tombé de la nuit. En bon chasseur qui se respecte, son expérience lui a appri que les palombes ne passent que par temps
clair. Alors qu’il revenait de nuit des Landes, d’une chasse à la palombe, Michel profita de l’abscence
de circulation pour embaler les chevaux de sa voiture.
Arrivés aux environs de Laboueyre (cf
carte) Mr L. et son fils assis à ses côtés apperçurent ce qu’ils prirent pour un avion en difficulté. Il est 19
h 30 la nuit est tombée depuis une heure. Bien vite, Michel comprend que "l’engin" comme il l’appelle ne peut
être un avion. Aprés avoir dépassé une parcelle de pins, ils longèrent un grand champ afin de poursuivre l’objet qui
se déplacait sans aucun bruit. La chose les survola à quelques mètres du sol. A ce moment précis ils pûrent voir des phares
blancs sous la structure de l’engin qui balayaient le sol. Ils remarquèrent aussi des couleurs proches de celles d’un
arc en ciel. Michel L. ne put déterminer la forme de l’objet, mais grâce à son témoignage il ne fait aucun doute qu’il
s’agissait d’une forme triangulaire (NDLR). Ils furent très impressionné par la taille de l’objet ;
plus de 100 mètres de diamètres selon Mr L. Il faut noter que Michel, ancien d’Algérie en connaît un rayon sur
l’aviation militaire, et n’exclu pas que cet appareil soit à nous. Il s’agirait d’après lui d’une
sorte de prototype ultra-top-secret que l’on testerait de nuit. Cette hypothèse souffre d’un inconvénient majeur ;
si tel était le cas, pourquoi prendre le risque de faire survoler le modèle au-dessus d’une zone habitée ? Voilà
un comportement bien étrange de la part de militaires qui s’entourent d’habitude de beaucoup plus de discrétion.
Revenons à notre histoire. Michel L. essaya de comprendre le phénomène. Tout d’abord aucun bruit, ce qui signifiait ;
soit l’engin était très haut dans le ciel, soit très bas mais qu’il n’émettait aucun signal sonore. Plus
ils roulaient, plus ils ressentaient la présence de l’objet qui filait direction Nord-Nord/Est. Le soir ils écoutèrent
le journal de LA 5 qui rapportait les dires du responsable du P.C d’Orly confirmant qu’il avait bien vu un objet
mais qu’aucune signature radar n’avait était enregistrée. Plus tard une personne assura qu’il s’agissait
d’une retombée d’un satellite. Michel me fit à ce sujet une remarque que je qualifierai de pertinente, je le cite :
"Alors pourquoi personne n’est allé voir le spoutnik qui est tombé ?". Peut-être parce qu’il n’y avait
pas de retombée, comme il n’y avait pas de sattelite défectueux à Laboueyre (1). Notez que je ne rejette pas la thèse
du sattelite, un débris est probablement rentré dans l’atmosphère. Mais ce que Mr L. et son fils m’ont raconté,
ne ressemblait en rien à quelque appareil connus.
Alors pour conclure, sur ce cas particulièrement
dense et riche d’enseignements, Michel L. et son fils ne sont pas prèt d’oublier ce 5 novembre 1990, car en tout
état de cause cette apparition n’a toujours pas livrée son secret.
Source: http://www.ovni.info/article.php3?id_article=193
En novembre 1990, je sortais a la cave chercher du fuel pour le poele et dans le ciel, direction
ouest-est, un nuage dense avec des reflets incandescents mais dont les volutes ne se mouvaient pas, altiutude probable:20
ou 30 m.Je rentre et les infos de dire qu'un satellite russe s'est desintegre, le probleme c'est que je n'habitait pas dans
la zone ou cela se voyait. Je fut probablement le seul a observer cela!
Mitokomon
Message du mardi 22 juin 2004
Source:
L'aspect de "mon" ovni est celui d'un classique OVNI triangulaire de la vague belge à la différence
qu'il portait une espèce de "phare d'atterissage" blanc à faisceau cylindrique et partant approximativement de la position
de la lumière blanche centrale .
l a mis une quinzaine de secondes pour parcourir 80° entre une position proche du zénith (ou je l'ai
remarqué ) et le moment de sa disparition , vers l'Est derrière un bosquet .
Je l'ai instinctivement immédiatement
identifié à un OVNI , bien qu'à l'époque j'étais survolé quotidiennement par des avions en phase d'atterrissage vers l'aéroport
de Bâle-Mulhouse , à cause d'un caractère d'étrangeté que je n'ai pas identifié immédiatement mais qui m'est apparu par la
suite: l'absence de bruit pour un engin passant si bas ( 60cm à 80cm très grossièrement à bout de bras , ce qui donne un diamètre
apparent de l'ordre de 60 à 90° ) .
Dans la semaine qui a suivi l'évènement , les journaux , confrontés à une vague
de témoignages ( des centaines ) couvant quasiment la France entière ont publié essentiellement deux explications .
1)
C'etait une météorite ... L'explication ne tenait pas .Objet trop lent et depuis des endroit trop éloignés les uns des autres
pour pouvoir expliquer toutes les observations par un même objet .
2) L'explication du NORAD : étage de fusée russe
Proton se consumant dans l'atmosphère à 80km d'altitude ...
Devant la multiplicité des formes décrites par les différents
témoins , qui allaient du triangle à la véritable "ville avec toutes ses lumière traversant le ciel " (un groupe de 7 ou 8
témoins qui étaient ensemble) , j'ai décidé de faire ma petite enquête à Mulhouse .
J'ai retrouvé plusieurs témoins
mais ceux qui m'ont le plus interessé ont vu l'objet alors qu'il les survolait d'ouest en est en passant à la verticale de
leur position ...
Il se trouve qu'en vérifiant sur une carte je me suis aperçu qu'ils étaient à 1700 m de ma position
exactement dans la direction de la cheminée d'un incinérateur que je vois bien depuis la fenêtre par laquelle j'ai aperçu
l'OVNI .
Vu depuis ma position , cette nuit là , l'OVNI paraissait à 60° (très approximativement ) au-dessus de l'horizon
quand il passa au-dessus de la cheminée .
Conclusion : faites votre calcul , encore une fois très approximatif .
L'ovni
survole les deux autres témoin (angle 90° /horizon) quand il me parait être à 60° au-dessus de l'horizon alors que je suis
seulement à 1700m des autres témoins ... On aboutit à tan60°=hauteur/1700 d'où hauteur= 1700tan60° soit 3000 m .... On
est loin des 80km ...
Même en admettant que je me trompe de +/-20° dans l'évaluation de la direction de l'objet par
rapport à l'horizontale au moment de son passage au dessus de la cheminée de l'incinérateur , on aboutit à une altitude variant
de 1500 à 9000m ...
Quant aux dimensions .... 60cm à bout de bras , pour un objet approximativement à 3000m , ça fait
des dimensions de l'ordre plusieurs centaines de mètres , voire plusieurs milliers ..
Conclusion : soit on admet l'hypothèse
que ce soir là , il y avait un OVNI ayant des centaines de m de longueur soit on se rabat sur l'explication la plus logique
: il y a eu deux objets ce soir là . La fusée proton qui a donné lieu à un feu d'artifice couvrant une bonne partie du
ciel et un engin triangulaire qui a profité de cette opportunité pour violer l'espace aérien européen . Ce qui rend mes calculs
faux car je ne sais pas si j'ai observé le même objet que les autres témoins , mais discrédite l'explication du NORAD . Quant
à l'origine réelle de l'engin , le fait que le NORAD se soit senti obligé de donner une explication dès le lendemain suggère
que cet organisme américain avait interêt à ce qu'on oublie rapidement cette affaire .
...
Je signale que 5° ça correspond à peu près à 7cm à bout de bras( je prends 80cm pour la distance
oeil/extrémité-du-bras-tendu . soit 8,7 cm à 1m ) .... On sous-évalue souvent les petits angles ...N'est ce pas ?
Daman
Citation de Daman:
« Maintenant, il n’y a plus d’aveugles ou de naïfs mais des complices. » Albert Camus,
l’Étranger
Source:
Message du 13 juillet 2004
Témoignage du 6 novembre 1990 (journal non cité)
"Il aurai fallu au moins trente appareils pour composer un ensemble aussi imposant"
Le Soir du 6 novembre 1990
Jimmy Guieu en était certain ceux sont
des "Extraterrestres", mais nous tenons à rassurer nos lecteurs et à tempérer les propos de notre cher regrété Jimmy (1926-2000),
que si ces gens avaient été hostiles cela se serait déjà, donc pas de quoi paniquer !
Le groupe OVNI007
=====
Voici 30 observations parmi les plus significatives
(Observations vues sur carte de la France en 2 morceaux ci-dessous)
Le nombre d'observations a chuté depuis
les années 1980. Les ufologues s'accrochent aux derniers épisodes comme ces "300 à 400 ovnis" observés au-dessus de
la France, le 5 novembre 1990. Les autorités françaises sont certaines qu'il s'agissait de la rentrée dans l'atmosphère d'un
étage d'une fusée soviétique Proton. Pas les ufologues. "C'était une vague d'ovnis, un événement considérable, mais il y a
eu un black-out", croit savoir Jacques Garnier, 48 ans, agent à France Télécom, tombé dans l'ufologie il y a trente-trois
ans.
La nostalgie n'empêche pas un travail acharné. Les amateurs d'ovnis se sont emparés d'Internet, multipliant les
sites. Des "enquêteurs" à Châlons, ils étaient reconnaissables à leur appareil photo ou leur Caméscope collectent
toujours des témoignages. Sur place, ils font des relevés et de patientes reconstitutions. "Je pourrais vous parler pendant
des heures du 5 novembre 1990 et de tous les témoignages", affirme ainsi Joël Mesnard, le seul ufologue professionnel en France,
qui vit de la diffusion de Lumières dans la nuit .
Luc Bronner (Le Monde) Extrait d'article
paru dans l'édition du 19.10.05
Les évidences sont là !
CE N'EST PLUS DE LA FICTION !
La Banque internationale de données ufologiques
ouvre ses dossiers! Nul ne doit plus ignorer cette extraordinaire réalité que les autorités scientifiques françaises ont voulu
cacher au monde!
L'opinion publique internationale a été manipulée!
Une puissance extra-terrestre est bien venue
se faire reconnaître de la collectivité humaine! Il est à présent très évident que les événements du 5 novembre 1990 placent
notre humanité en phase de "pré-contact" !
Cette situation engage l'humanité vers une ère
nouvelle de son histoire.
Une COMMISSION D'ENQUÊTE PARLEMENTAIRE doit
être nommée d'urgence pour étudier tous les éléments de ce dossier explosif et évaluer ses conséquences multiples !
Chacun de nous est concerné ! Aux autorités
politiques d'agir ! Des temps sont venus, peut-être !
NOTRE ENQUETE SE POURSUIT ! ENVOYEZ VOS TEMOIGNAGES
!
Courrier de l'Ouest - 6 novembre 1990
=====
Colmar :
Sur un film vidéo, les côtés d'un triangle apparaissent soudain.
Voici une
photo tirée de ce film, un des rares enregistrements physiques du phénomène du 5 novembre. Le film complet a été diffusé
lors de l'émission récente que la chaîne Arte a consacrée aux ovnis [pardon pour la mauvaise qualité de reproduction; le
triangle liant les trois points de tête apparaît nettement à la visualisation du film, mais très fugitivement].
Source de la photo et commentaires:
=====
Ouest France du 6 novembre 1990
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Charente libre du 6 novembre 1990
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Dauphiné libéré du 6 novembre 1990
=====
France Soir du 6 novembre 1990
=====
Sources divers
sur ce dossier TOP SECRET:
Et un grand merci à tous les observateurs
qui ont bien voulu témoigner, un grand merci tout particulier au journal "Lumières Dans La Nuit" qui a réalisé un travail
de titan en aval, journal ufologique indispensable à commander par internet sur http://www.ldln.net ,et bien sûr un très grand merci à notre très cher Frère Claude qui a su nous aiguiller pour que nous puissions
enfin réaliser ce dossier.
Un grand merci à LA BANQUE INTERNATIONALE
DES DONNEES UFOLOGIQUES (BANQUE OVNI) , à Monsieur Franck Marie directeur de cette association et à son ami Thierry Garnier.
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