1.La Base 51
2. Pine Gap, Australie
3. Base en Inde & Activités OVNI là-bas
4. SECRETS
1.La Base 51
Base secrète pour projets de défense ou site de rencontres
?
La sécurité de la Zone 51
Bref rappel de la zone 51. À environ 190 kilomètres au Nord-Ouest de Las Vegas, dans le désert du Nevada,
la carte officielle devient soudainement muette. Rien de ce qui ne se trouve dans cette zone n'y est mentionné: pourtant,
il y a des montagnes et des ravins impressionnants, des bâtiments de bonne taille ainsi qu'une immense piste d'envol longue
de 9,5Km. Mais rien de tout cela ne figure sur la carte. Sur un territoire de la taille de la Suisse, il semblerait que toute
activité humaine ait été volontairement occultée. La Zone 51 fut établie en 1954 pour servir de base secrète à la Lockheed
Aircraft Corporation, société d'aéronautique qui mettait alors au point des avions-espions pour le compte de la CIA et du
Pentagone. Ce site d'essais servait encore récemment aux projets de défense les plus avancés mis en œuvre par les Etats-Unis.
Le bombardier furtif Stealth fut testé sur cette base, comme d'autres engins de conception futuriste. Compte tenu de ces activités,
la base a toujours été entourée du plus grand secret - l'US Aire Force (USAF) n'en a reconnu l'existence qu'en 1994 - car
c'est là que se trouve le fer de lance de la technologie militaire américaine. Or, d'après certains éléments d'information
récents, la technologie du site aussi bien que ses employés ne serait pas uniquement d'origine américaine.
La sécurité
du site. L'accès à cette zone est interdit. Des panneaux placés à ses limites indiquent que « l'utilisation de la
force armée est autorisée à l'encontre des intrus ». En outre, l'espace aérien surplombant l'endroit est le plus inviolable
des Etats-Unis. Nous sommes sur le territoire de la Nellis Air Force Range et du site nucléaire du Nevada, plus communément
appelé Zone 51 (Area 51), suivant l'ancienne désignation officielle du lieu. Son enceinte est tout entière hérissée de
détecteurs électroniques, des équipages de sécurité à bord d'hélicoptères ultra-sophistiqués répondent vivement à toute intrusion.
C'est le territoire le plus protégé au monde, aucune loi n'y a cours. La question de la nature des activités de la zone 51
reste posé du fait de l'impossibilité d'y pénétrer, si vous le faite vous êtes passible d'être abattu à vue. Pénétrer
dans ce périmètre a valu à certaines personnes de se retrouver menottes aux poignets et d'être fouillées de façon très approfondie.
Les peines encourues peuvent aller jusqu'à des amendes de 6000 $ et un an de prison. Des témoins affirment avoir reçu des
menaces de mort. Depuis des années, cette zone fascine et des milliers de personnes, qui chaque année, s'y intéressent
davantage, au point de s'en approcher jusqu'aux limites autorisées et de faire des photographies et films vidéo. (Pourtant,
des films vidéo sont souvent rapportés aux ufologues, sur lesquels on voit assez clairement des objets bizarres ayant toutes
les caractéristiques visuelles des OVNIs. Lumières très intenses, ressemblant à de l'ionisation, déplacements ultra rapides,
d'un point à un autre, disparition instantanée de l'objet) Armés de caméscopes, de téléobjectifs puissants et de télescopes,
les ufologues se sont même organisé pour surveiller « Dreamland » vingt quatre sur vingt quatre au sommet du « Tikeboo peek
» seul endroit accessible légalement ou le puisse apercevoir les installations.
Le périmètre interdit autour de la
Zone 51 est de 40 kilomètres. Difficile d'aller dans ce territoire interdit, car vous seriez immédiatement arrêté ou stoppé
par des équipes de surveillances présentes 24h/24h, avec des Jeeps, des hélicoptères et même des avions de combat de type
F-16. Dans de telles conditions, il est difficile de capturer des images et d'en apprendre un peu plus sur cette base militaire
ultra secrète. Les rumeurs présentes sur place font état de l'agrandissement de la zone de manœuvre A-51. En effet, depuis
un an maintenant, cette petite et, malgré tout, calme entité villageoise qu'est Rachel, est constamment dérangée par des passages
continus de camions de génie civil. Ils viennent et retournent tous vers la zone militaire. Gravats, engins de chantiers...
font penser que de nouveaux aménagements plus proches des limites civiles cette fois, sont en cours. (Voir photos) Une petite
incursion sur une route poussiéreuse et on tombe nez à nez avec les Cammos Dudes. L'activité aérienne est quasi incessante.
Vrombissements annonciateurs de passage rapides, on lève la tête et, 9 fois sur 10, on voit les célèbres F-15 tournoyer en
vrille et effectuer des missions qui, selon les autorités du coin, sont des missions tactiques. Les Cammos Dudes (1),
qui ne sont plus seulement des Jeeps Cherokee, mais aussi de plus en plus des Ford F-150. Pour ce qui est des Black Helicopters,
on ne peut pas vraiment les rater. En fait, lorsque vous franchissez de deux ou trois km le point de la Black Mail Box, vous
êtes "pris en charge" non seulement par les Cammos Dudes, mais plus vous avancez et approchez des fameux panneaux « Use of
Deadly Force Authorized », là, les hélicos surgissent d'on ne sait où, puisqu'ils sont très silencieux. Un, puis deux, rarement
trois se positionnent en vol stationnaire à bonne distance, et selon moi, c'est assez dissuasif que pour faire demi-tour.
Mais ce qui est frappant, c'est la manière dont les gardes (Cammos) refusent tout contact. Ils sont là, au plus, à
20 mètres de vous, et si vous faites mine de vouloir les approcher, ils reculent de quelques mètres. Ces gars ne parlent pas,
ce qui ne veut pas dire que se sont des rigolos, au contraire, Don Emery (2) a eu connaissance de nombreux cas de passage
à tabac et connaît au moins deux personnes qui, après avoir franchi les limites Matérielles de la zone, ont "disparu" pendant
une bonne semaine. A leur retour, tant l'un que l'autre, n'avaient plus la moindre envie de simplement ouvrir une revue où
on parlait de l'A51.
Notes. (1) Les véhicules des Cammos. (2) Don Emery est le responsable de
Area 51 Research Center.
Les Cammos. Les Cammos sont les membres d'une sécurité privée (EG&G Services
Techniques, Inc.,) qui sont chargé de garder le périmètre externe de la zone. La plupart d’entre eux sont en tenue de
camouflage (d'où le nom), ils patrouillent le long du périmètre dans des Jeeps blanche Cherokee ou champagne Ford F-150s.
Ils peuvent être vus habituellement au repos sur une colline près de « Groom Lake Road », surveiller la circulation sur la
route à travers jumelles de haute puissance. Le soir ils peuvent être souvent vus en patrouille sur la route 375 entre
« Groom Lake Road » et Rachel, plusieurs fois et à toutes les heures de la nuit. Ils entrent et sortent de la base par
la route de« Groom Lake Road » , « Mailbox Road » ou « North Gate » (Rachel Back Gate). Quelquefois ils éteignent leurs phares
et utilisent leurs matériels de vision de nuit quand ils conduisent sur les chemins de terre.
Les Cammos n'ont pas
d’autorité légale à l'extérieur de la zone restreinte, en faite ils ont ordres d'éviter tout contact avec les civils.
Cependant, si vous traversez le périmètre pour une raison quelconque, ils vous intercepteront immédiatement et appelleront
le « Lincoln County Shérif » pour vous mettre en état d’arrestation avec une amende obligatoire de 1000 $ qui sera le
commencement de vos problèmes. Légalement, ils ont le droit d’ouvrir le feu sur des intrus, mais cela n'a jamais été
mis en vigueur.
Les Cammos sont assez paranos et on peur d’être reconnu dans la région (Ils peuvent être votre
voisin), et ferons tous genres de choses pour vous empêcher de voir leur visage, ils baissent le par soleil de leur Jeep,
couvrent la partie de leurs visages avec leur main. La rumeur indique que si une photo est prise ou l’on reconnaît le
visage d'un Cammo, et que si elle est publiée, il perdra son travail.
En dépit de leurs apparences sévères, les cammos
sont seulement présent pour la sécurité externe et autour de la zone principale. Leur autorité est limitée même à l'intérieur
de la zone restreinte. La sécurité intérieure est réservée à « l’Air Force Military Police » Récemment deux nouveaux
types de véhicules de Cammos ont été introduits: Ford camionnette F-150 Golden champagne pickup et Chevy 2500 4x4 camionnette.
The Guard Shack on Groom Lake Road. La limite de passage vers la zone restreinte par la route de Groom
Lake est marquée seulement par des signes sur les deux côtés de la route, et par des poteaux orange. Il n'y a aucune barrière
ou guérite de garde, donc on entre avec une certaine facilité par cette longue ligne droite. La guérite des gardes est cachée
au détour d'une courbe, approximativement 0.85 milles en bas de la route et hors de vue à la limite du marquage précédent.
Il y a deux bâtiments. Le premier est un assez grand bâtiment à un étage approximativement de 30 à 40 pieds, elle est complétée
par une barrière noire et blanche qui bloque la route. Cette barrière est éclairée par des lumières rouges la nuit.
Les
Caméras de surveillance. La route de Groom Lake et la plupart des autres routes sont sous surveillances de caméras,
ils sont généralement placés sur la hauteur d'une colline, avec une vue très étendue sur la route et le terrain environnant.
Sur la route de Groom Lake, il y a 2 caméras sur la colline qui sont placées sur le côté gauche de la route. Il y a aussi
un grand appareil-photo de la surveillance télécommandé sur le sommet de Montagne de « Bald Mountain » qui peut couvrir la
plupart de la vallée de « Tikaboo »
Les appareils-photos paraissent être stationnaires, monté sur un trépied. Un panneau
solaire sur une des jambes du trépied alimente un module électronique qui se trouve dans une boîte grise, et il y a deux antennes.
L'antenne de l'UHF est souvent dirigée à sur point à l'intérieur de la zone restreinte qui est proche, tandis que la plate
(comme antenne ronde) pointe habituellement sur l'installation radar de « Bald Mountain » Le poste « Bald Mountain » qui
est dans l’alignement de la vallée de « Tikaboo » paraît opérer comme un poste du relais pour le signal de la vidéo
des appareils-photos et des caméras. L'antenne de l'UHF pourrait être utilisée pour recevoir le signale télécommandé comme
un canal de secours, au cas d’échecs du poste au sommet du « Tikeboo peek »
Nous avons remarqué récemment que
le panneau solaire qui peut être vu (voir la photo au-dessus) nous amène à croire que ces appareils ne sont plus en usage,
et qu’ils ont été remplacés par un autre système différent et probablement beaucoup plus efficace. Tout ces appareillages,
comme les sondes on étaient laissés en place dans le but de détourner l’attention. Les deux appareils de surveillance
se trouvent sur une colline à l'intérieur de la limite de zone. Le deuxième est une version transportable de caméra, son trépied
paraît avoir une tête manuelle pour positionnement fin qui indiquerait un fort grossissement. Les trois Sondes infrarouges
passives contre l'Intrusion sur la droite font partie des Systèmes de la MIDS par la société Qual-Tron, Inc. Les Nouvelles
Sondes de Route autour de la zone 51 font aussi partie de ce système BTW, la base n'emploie pas shrinkheads.
Le
Poste du Radar de « Bald Mountain » Avec ses 9380 pieds, « bald Mountain » est le plus grand sommet de la « Mountain
range » qui est la chaîne de montagnes juste Nord de la zone 51, au sud de Rachel. Du haut de son sommet, on à une vue sur
la plupart de la « Tikaboo Valley » et de « Sand Spring Valley » C'était sur terre public jusqu'en 1984, quand la zone de
sécurité a été étendue pour inclure la partie du Nord de « Groom Lake » et presque la totalité de «Groom Range »
En
octobre de 1995, même chose pour les « when White Sides » et « Freedom Ridge were taken » qui ont été prises dans la zone,
un poste de radar de « bald Mountain » a été complété. Ses dômes du radar blancs peuvent être vus facilement de la plupart
des emplacements dans les deux vallées. En octobre 2000 une nouvelle implantation de radar avec un dôme plus petit à été
effectué a ½ milles au Nord-Est du site original, sur un sommet légèrement inférieur. Approximativement dans le même temps,
une autre structure plus basse, une possible plate-forme de l'hélicoptère, a été construit entre les deux sommets, et des
lumières rouges, facilement visible à l’œil nu le soir, ont été montées sur les deux dômes du radar principaux.
Le poste semble être inhabité et est complètement éloigné du contrôle, parfois un hélicoptère Sikorsky MH-60G Black
Hawk peut être aperçu à voler très bas, un équipage est peut-être de service là-bas. Il y a aussi un grand nombre d’appareils
de surveillance (Caméras) pour un contrôle éloigné et monté sur une des tours. Ils sont pointés dans des directions différentes,
et peuvent couvrir la vallée entière. Ils sont d’un type plus grand (optiques plus puissantes) que ceux que l’on
trouve dans la vallée située sur les points de contrôle. Le fait que le troisième dôme soit construit loin des deux autres
indiqueraient qu'il pourrait en opération perturber les autres radars, ou vice versa.
Des rumeurs circulent aussi,
sur la capacité de l’installation radar qui inclurait des matériels de pointe comme les microphones laser qui seraient
capable d’écoutés les conversations dans les véhicules circulant sur la route Hwy 375. cette technologie existe, mais
sont utilisation sur le site n’est pas prouvée. Les coordonnées GPS du grand dôme radar sont : N 37° 26.967 ' et
W 115° 44.023 '.
Sondes et Sensors d’intrusion de route. En 2003, apparaît un nouveau type de sensor,
semblable au anciennes sondes par principe, mais plus compactes. Elles sont actuellement en service, le transmetteur et la
sonde sont enterrées dans le sable près de la route, seul l’antenne dépasse à la surface. Elles font partie du systeme
MIDS de la société Qual-Tron, Inc. Chaques sondes est alimentées par une batterie de 9 V. Il existe aussi de nouvelles sondes
passives contre l’intrusion à infrarouge. Un autre type de sonde utilisé dans la zone il y a quelques années, était
utilisé pour la détection des véhicules. Les sondes sont camouflées dans les buissons, près des chemins de terre qui mènent
dans le périmètre restreint. Cependant elles se trouvaient sur le domaine public et leurs usages par la sécurité de « Groom
Lace » était devenu illégale. Elles étaient aussi devenues vulnérables aux visiteurs du site qui s’amusèrent à les dégradées
ou à changer les codes des fréquences, créant la confusion permît les cammos. La plupart des sondes ont été enlevées, et certainement
remplacées par d’autres plus efficaces et moins vulnérables. Il reste encore d’anciennes sondes sur le domaine
public, mais elles semblent inactives.
Cette sonde à été trouvé le long d’un chemin de terre sur l’inclinaison
au nord de « Groom Range » à moins de dix milles de Rachel. Ce petit cylindre noir et blanc est la sonde réelle qui détecte
l’approche des véhicules par le champ magnétique. Au sommet de la sonde se trouve le transmetteur avec son antenne courte,
au pied de celle-ci on peut apercevoir la batterie de 12V/28Ah rechargeable pur une autonomie de 4 mois. La sonde est reliée
à un connecteur qui apparemment à été conçu pour un fonctionnement avec trois sondes, la troisième entrée du connecteur n’est
pas utilisée. La fréquence utilisée est 496.25 MHz ou 497.75 MHz. Les deux fréquences peuvent être ajustées indépendamment.
L'adresse est mise dans BCD code, et la gamme de l'adresse va de 0 à 1999. En d'autres termes, un total de 2000 transmetteurs
peuvent être utilisé par fréquence. Cette unité est mise à l’adresse 1078. L'autocollant dit que le transmetteur
a été testé sur 19 juin1986, à l’époque ou les sondes ont été mises en service. Depuis qu’elle n’est plus
entretenue, cette sonde semble voué à disparaître.
Autres Appareils de Surveillance et Marqueurs. Il y
a plusieurs autres types d'appareils de la surveillance, comme les sondes de détection de mouvement. Il existe aussi des rumeurs
concernant des sondes « odorante » capable de faire la différence entre humain et animaux. Contrairement à d’autres
rumeurs, les sphères argentées (voir photo ci-contre) fixées sur des poteaux de couleur orange, ne sont pas des appareils
de détection. Après examen, les sphères sont creuses, elles sont sans doute utilisées pour le calibrage des radars. Quelques-unes
unes sont utilisées comme « marquage » afin de mieux délimités la zone restreinte. Cette photo a été prise juste Nord
de la Colline dCammos et de « Groom Lake », faisant face vers Montagne au Nord de « Bald Mountain ». Vous pouvez voir en arrière
plan deux autres poteauorange.
Il doit exister d’autres moyens de surveillance et ddétection plus perfectionnée
à l’intérieure de la zone restreinte que ceux se trouvant dans le périphérique proche du public.
On trouve aussi
beaucoup de grands barils blancs (voir photo) qui se trouvent proche des routes et des intersections. Ils sont utilisées comme
marqueurs par les habitants de la région pour savoir et identifié dans quel secteur ils se trouvent.
Les Black
Hawk Helicopter. Une flotte de trois hélicoptères stationnés à la base, fournissent la sécurité aérienne autour de
la zone du site. Ce sont des Sikorsky MH-60G Black Hawk, une nouvelle version du « Faucon Noir ». Le premier UH-60A de l’armée
américaine a volé en 1974, le MH-60G a volé en 1982. Il a été modifié pour l'armée de l'air américaine avec réservoirs de
carburant supplémentaires et une perche de ravitaillement en vol escamotable permet d’augmenter son autonomie de 600
à 900 km. Plusieurs fois et quotidiennement l'Hélicoptère Black Hawk peut être vu en train de faire des survoles a basse altitude
et tourné en ronds hors de la base à travers la Vallée du « Tikeboo peek ». Il y a quelques années, il était utilisé fréquemment
pour faire fuir les visiteurs de la région, alors qu’ils étaient sur un terrain public. Aujourd'hui évidemment la procédure
est illégale et a été limitée aux cas extrêmes.
Poste de contrôle Nord. (The Guard Shack) En octobre 2000,
le Poste de contrôle Nord aussi connu sous le nom de « Rachel Back Gate » a été amélioré au niveau de la sécurité et l’ancien
poste semble abandonné.Un nouveau grillage a été installé, la barrière a été améliorée, et une autre a été rajoutée. Elles
sont maintenant en noir et blanc avec une signalétique lumineuse rouge pour la nuit. Des caméras et des projecteurs sont montées
sur des pylones, un paratonnerre ALS-1000, un TSS-440 (système d’écoute) Les trois batiments principaux sont numérotés
en chiffre noir : 997, 998 et 989. On peut apercevoir des des toilettes portatives, ce qui indique que le poste n’est
pas équipé de sanitaire. D’autres batiments dans le voisinage, comme celui qui se trouve près du radar porte le no 980.
Les Emplacements des radars d'approche de « North Gate ». Il y a plusieurs radar mobile d’acquisition
en place et plusieurs autres bâtiments au nord-ouest du corps de garde de « North Gate », approximativement a 1-2 milles à
l'intérieur du périmètre. Il paraît qu'ils sont installés là en permanence, presque en ligne avec les pistes d'envol du «
Groom runways » situées plus au nord. La majorité de ses radars sont d’origine russe, et il s’agit très probablement
de tester en opération la capacité furtive des appareils aériens. Quelquefois le soir on peut apercevoir les lumières clignotantes
rouges et bleues des emplacements de ses radars, ils sont visibles de « Vicinity of Cedar Gate » au nord et de ses environs.
Cela indique habituellement qu'ils sont actifs, et qu'une épreuve va commencer ou est en cours. Ils viennent habituellement
approximativement une ou deux heures avant l'épreuve réelle, ils opèrent dans la « E -Band » (2.7-2.9 GHz). Un radar, semblable
à celui de « « Vicinity of Cedar Gate » a été conçu pour un usage avec le S-200 SA-5 GAMMON russe qui est système de missile
sol-air à haute altitude. Il est aussi utilisé avec le SAM SA-2/3. Il a une portée de 28 kms, pour une altitude maximum de
32 kms. Il y aussi un radar d’acquisition russe « PRV-11 SIDE NET » qui opère dans la Bande VHF 150 MHz avec une
portée de 275 Kms, pour une altitude de 32 Kms. Un autre système du radar soviétique: « THIN SKIN » un radar d’acquisition
long-courrier avec une portée de plus de 300 kms, jusqu'à altitude de 30 kms. Il opère dans la « E-Band » (2.7-2.9 GHz)
Le
poste de Garde de « Nord Gate ». Approximativement situé à 1.5 milles sud-est de Rachel Ranch, l’accès se fait
par un chemin en terre qui coupe l'Autoroute approximativement à l'ouest. Il est connu sous le nom de « Rachel Back Gate »,
ici se trouve un vrais poste de garde avec une barrière, un marquage et un périmètre grillagé contrairement au poste de garde
de « Groom Lake » Quand vous approchez ce poste, le gardien abandonnera ses hamburgers sur le gril à côté du bâtiment
et disparaît dans son poste, où il reste habituellement jusqu'à ce que vous partiez (même si ses hamburgers brûlent à charbon
de bois solide). Nous sommes sur une terre légale, et vous ne trouverez pas de cammos en train de faire le guet avec des jumelles
en haut des collines. Cependant, il y a un grand mât avec des projecteurs et plusieurs antennes justes derrière le poste
de garde et le toit du bâtiment est équipé avec de nombreuses caméras de surveillance. Devant le poste se trouve une antenne
satellite A ½ mille dans le périmètre, Il y a plusieurs radar mobile en place et plusieurs autres bâtiments (Stockage,
abris de générateurs) au Nord-Ouest du poste d’entrée.
Les panneaux et pancartes d’interdiction. Ont
les trouvent tout autour du périmètre de la zone interdite, au bord des chemins de terre et des routes. Ils sont aussi présent
en très grand nombre dans les différents postes de garde. Leurs textes sont très explicitent, écrit généralement en blanc
et rouge. La surenchère de ses panneaux dans certaines zones est impressionnante…
L’interdiction de franchire
le périmètre et de prendre des photos est naturellement indiqué sur les pancartes. Quelques phrases types inscrites sur les
panneaux : AUCUNE VIOLATION AU-DELÀ CE POINT (NO TRESPASSING
BEYOND THIS POINT) RÉGION RESTREINTE (RESTRICTED AREA) LA PHOTOGRAPHIE EST INTERDITE (PHOTOGRAPHY IS PROHIBITED) L'USAGE
DE LA FORCE MORTELLE EST AUTORISÉ (USE OF DEADLY FORCE IS AUTHORIZED) Ainsi que l’indication des peines encourues,
amendes, prison, etc...
(Traduction Mikerynos, site : http://www.dreamlandresort.com) - 2004
Et cette base vous le connaissez ?!!!
2. Pine Gap, Australie
Note: Tout ce qui suit n'appartient pas propement dit à la recherche
de notre groupe, mais à des sources bien veillantes...
Note: Nous ne donnerons pas nos sources ici !
Tapie dans une petite vallée au pied des montagnes,
au sud de la chaîne de Macdonnell, à environ 19 km en avion du centre de l'Australie, se trouve l'une des merveilles du monde
moderne. Les entrées de surface apparentes de cette retraite supertechnologique se situent par 23 degrés 48 min sud sur 133
degrés 43 min est. C'est en Australie, l'une des trois plus importantes bases ultra-secrètes que finance le gouvernement des
Etats-Unis.
Remarque : Je n'ai pas l'intention
ici de créer un nouveau soulèvement pour qu'on enlève ces installations secrètes. Je veux tout simplement démontrer à quel
point la technologie moderne de pointe peut être avancée. Une fois que l'on a compris combien sont avancées ces découvertes
secrètes, on est forcé de se rendre compte de la futilité d'essayer de discuter avec ceux qui possèdent une telle connaissance,
une telle puissance, sans au moins jouir de l'appui d'une puissance équivalente... (elle est disponible,...mais nous en reparlerons).
La base de Pine Gap, comme on l'appelle
communément, porte officiellement le nom de Joint Defence Space Research Facility (base conjointe de recherches spatiales
de défense). Toutefois, les Australiens, eux, disent "Pine Gap". La base de Pine Gap a eu plusieurs fonctions. A l'origine,
elle a servi à la recherche et au développement de la technologie spatiale de défense. La responsabilité première de la base
revenait à la U.S. Defence Advanced Research Projects Agency (DARPA) située au USA, au 1400 Wilson Boulevard, Arlington, Virginie
22209, Architect Building (tiens donc! de nouveau la même bande, j'invite le lecteur à aller sur internet, sélectionner n'importe
quel moteur de recherche, tapez DARPA et bienvenue sur leur Web Site, vous pourrez contempler leurs programmes de recherches
actuellement en cours et encore c'est ce qu'ils sont autorisés à montrer, faut pas rêver ! Il faut également savoir que les
meilleurs cerveaux scientifiques de la planète, travaillent pour cette agence, néanmoins attention, il y a un lien avec le
Pentagone... Ils localisent instantanément toute personne qui se connecte, alors pas de conneries ! A voir sur
le site du C.A.R.L. La guerre des virus, Sida et Ebola, qui dénonce l'implication de la DARPA dans le programme du Sida, note
du C.A.R.L. E. Xedah)
Au cours des premières étapes d'implantation
de Pine Gap, le Directeur de la DARPA était Stephen J. Lukasik. Les membres-clés de son personnel étaient : 1) Kent Kresa,
adjoint spécial pour la technologie de guerre sous-marine et directeur de la technologie tactique, 2) Lawrence G. Roberts,
directeur des techniques de traitement des informations, 3) Eric H. Willis, directeur de la recherche de surveillance nucléaire,
4) David E. Mann, directeur de la technologie stratégique et 5) le lieutenant colonel Austin W. Kibler, directeur de la division
de recherche sur les ressources humaines.
Pine Gap est installée sur ce que
l'on croit être le puits d'eau le plus profond et le plus droit qui fut jamais foré en Australie. Il a une profondeur d'au
moins 8.535 mètres (8,5 km). Ce puits pourrait aussi servir d'antenne souterraine pour la diffusion d'électricité
à très basse fréquence. Etant donné que Pine Gap mène apparemment des recherches autant sur la haute atmosphère que sur le
sous-sol, il est très probable, à moins que ce ne soit pour une autre raison, que l'antenne du puits serve à synthoniser un
énorme champ d'onde stationnaire autour de la planète ! Un système de ce genre pourrait facilement être synthonisé sur des
fréquences allant de, disons 9000 cycles par secondes à 14.336 cycles par secondes ou hertz, soit suffisamment pour produire
un champ résonnant électrique à une altitude de 400 km. Toutefois, nous explorerons cette possibilite un peu plus à fond,
plus loin.
On a aussi entendu dire que Pine Gap possédait une centrale nucléaire très grande pour alimenter son énorme émetteur-récepteur.
Au nombre des autres projets que la rumeur a fait circuler, citons des accélérateurs à plasma à haute tension et à haute énergie...
utilisés probablements dans de nouvelles méthodes de production d'énergie, un rayon de la mort, ou canon
à plasma et même des émissions spécialisées d'énergie servant à recharger les sous-marins électriques loin dans l'océan Indien.
Il est à peu près certain que les premières versions de l'émetteur-récepteur à très basse fréquence de Pine Gap, près de la
Baie d'Exmouth en Australie, servait et sert encore à la transmission de courants électriques sous-marins très puissants aux
sous-marins américains qui remorquent de longues antennes derrière eux. On sait, aussi, que l'électricité transmise de cette
manière peut être suffisamment puissante pour recharger les batteries de bord à haute tension appelées cellules d'emmagasinage
de plasma dynamique.
Le Nation Review, un journal national
australien, disait certaines choses intéressantes sur Pine Gap, dans son numéro du 17 et 23 mai 1974 : "La base
de recherche de Pine Gap, près d'Alice Springs, a réussi à tenir secret jusqu'à ce jour l'un des projets de recherches les
plus incroyables du monde. Les Etats-Unis mènent des recherches continues sur la propulsion électromagnétique (PEM)
à Pine Gap depuis sa création en 1966.
Nixon (ancient président des Etats-Unis) annonçait l'an dernier que 1975 était la date cible pour le parachèvement
du projet. A ce moment, cette réalisation devait estomper la crise du pétrole. On m'a fait entendre que des défauts
de dernière minute dans la conception et le fonctionnement des véhicules PEM auraient probablements repoussé la date de quatre
autres années (note de l'auteur) Pour des raisons de sécurité, le projet PEM comprenait des clés hypnotiques et
post-hypnotiques implantées chez le personnel avant qu'il ne soit reçu dans le projet. Il est fort probable, toutefois, que
cette technique ait été remplacée, à présent que l'on sait que l'un des effets secondaires du LSD et d'autres hallucinogènes
est justement d'affaiblir partiellement les effets hypnotiques.
J'ai écrit
au Nation Review pour avoir des renseignements supplémentaires de l'auteur de l'article cité ci-dessus : William H. Martin.
Sa secrétaire m'envoya une réponse qui demandait davantage de renseignements qu'elle n'en donnait. Il semblerait que William
H. Martin soit un nom de plume. Je n'ai tenté aucune autre communication.
Selon beaucoup
de témoins oculaires, des disques blancs d'environ 9 mètres de diamètre portant les inscriptions "U.S. Air Force" ont été
livrés en Australie dans de gros avions militaires... qui ont attéri à l'un ou l'autre des deux aéroports qui desservent Pine
Gap. D'autres témoins disent avoir vu ces mêmes avions décharger une quantité phénoménale de meubles modernes, de nourriture
et d'autres provisions que l'on s'attendrait ordinairement à voir dans un hotel "rupin". Se pourrait-il que près de la très
évidente base Pine Gap il y ait une ville souterraine construite sur plusieurs niveaux ?...
Se pourrait-il
que Pine Gap soit aussi ce qu'il est convenu d'appeler un abri destiné à recevoir le personnel-clé des Etats-Unis en cas de
catastrophes météorologique naturelle ou d'attaque nucléaire à l'échelle mondiale dont le nom de code serait Noah's Ark (l'arche
de Noé)?...Sait-on jamais...
Si quelqu'un
doute du degré de surveillance orbital qu'il est possible d'atteindre aujourd'hui, un communiqué de presse de 1973 sur les
autres fonctions de Pine Gap devrait le convaincre. Le communiqué indiquait que Pine Gap et sa station soeur, Guam, entretenaient
des satellites photographiques dans le cadre de ce qui fut appelé Operation Big Bird (opération grand oiseau). Chacun de ces
"oiseaux" pesait 9 tonnes, mesurait 16 mètres de longueur sur 3 mètres de largeurs, pouvait balayer la surface entière de
la terre toutes les 24 heures et pouvait modifier son altitude sur 160 à 320 km pour prendre des photos rapprochées de secteurs
intéressants. Chaque fois que le centre de contrôle demandait à "l'oiseau" de prendre une vue rapprochée ou une photographie
à haute résolution d'une zone stratégique donnée, il utilisait un énorme appareil Perkin-Elmer pour prendre une
photographie à basse altitude de l'objectif. Les photos que l'on tirait étaient tellement claires que des objets de quelque
30 cm de largeur étaient identifiables. Les "oiseaux", de même que les premiers satellites du programme 647, utilisaient
des capteurs à infra-rouges et des films. Il est à peu près certain que les russes ont des systèmes équivalents en opération.
Big Brother nous regarde...
Au Transvaal,
en Afrique du Sud, se trouve une station similaire à Pine Gap. Mais il est difficile d'obtenir des renseignements à son sujet.
La plupart des employés qui y travaillent se font passer pour des employés consulaires américains. Cependant, un personnel
consulaire de 1200 personnes, c'est pour le moins excessif. Comment s'appelle cette station ?... est-ce Krugersdorp ou Koedespoort...?
Cet endroit aurait aussi un lien avec une autre station de TBF (très basses fréquences) au pôle Sud. L'opération Deep Freeze
(opération surgelé)?... n'est-ce pas une étrange coïncidence que les deux grilles dont parlait le capitaine Bruce Cathie (dans
son ouvrage intitulé : Harmonic 695) aient des pôles situés au pôle Sud aussi?...
Certains
des principaux entrepreneurs et fournisseurs de Pine Gap ont été Collins Radio, Ling-Tempco-Vought (L.T.V.), tous deux du
Texas, McMahon Construction et I.B.M. Le bruit court aussi qu'au fond du puits, sous la base, des supersystèmes
informatiques IBM reposeraient sur une plate-forme.
L'existence
d'un émetteur-récepteur d'énergie à TBF et des machines volantes électriques n'est pas si difficile à croire. On se souviendra
que L.T.V. est une société aérospatiale qui constitue un conglomérat de filiales dans la fabrication d'appareils électroniques
et d'avions. IBM a aussi, il y a longtemps, mis au point des ordinateurs géants comportant des unités de mémoire principale
cristallines et refroidies à l'extrême. Ces ordinateurs sont capables de reconnaître la voix et des formes visuelles. La capacité
de leur mémoire principale serait supérieure à 2 milliards d'octets (caractères)! N'est-il pas possible qu'il y ait certains
secrets que le gouvernement invisible de la Terre ait cachés à ses sujets?... Il faut se rappeler qu'il y avait
plus de 100.000 personnes qui travaillaient au Projet Manhattan pour produire la première bombe atomique. Ce secret a-t-il
filtré pour aider les Japonais?...
La pointe
d'un compas placée sur Pine gap et l'autre s'étendant jusqu'à Perth, formera, lorsque l'on trace le cercle, un cercle autour
de l'Australie qui passe par les secteurs suivants : Perth, l'émetteur-récepteur TBF d'Exmouth, Brisbane, Canberra, Sydney,
Melbourne (le long de la péninsule de Mornington et une zone un peu au large du Cap Otway entre le cap et l'île King.
Soit dit
en passant, Darwin et Adelaïde tombent sur un cercle autour de Pine Gap dont le rayon est de quelque 1200 km et des poussières
alors que la zone dont il était question plus haut donne un rayon d'un peu plus de 1900 km. Le ministère des Transports (qui
s'appelait ministère de l'Aviation civile auparavant) enregistre Pine Gap comme R233 sur les cartes de navigation pour cette
zone. R233 est un espace aérien limité réservé à la recherche spatiale (c'est-à-dire, ne volez pas dans la zone indiquée sur
la carte). L'espace R233 est un cercle d'un rayon de cinq milles miles marins dont le centre est Pine gap.
Qui était
Mendelov?
The Mendelov
Conspiracy par Martin Caidin fut publié en 1972. Martin Caidin a écrit six autres livres qui se vendent très bien. Le seul
de ses septs livres qui fut, soit retiré du marché, soit rendu extrêmement difficile à obtenir, est The Mendelov Conspiracy
(La conspiration de Mendelov). Les personnes qui ont eu la chance de lire ce livre savent évidemment pourquoi. Il s'agit d'un
récit de faits légèrement transformés en science- fiction relatant un complot visant à maîtriser le monde. La conspiration
a à sa tête Vadim Mendelov (un physicien dont les traits biographiques ressemblent de très près à ceux d'Edward Teller ou
du russe Andrei Sakharov... Sakharov...Mendelov, tiens donc!...). Les conspirateurs sont démasqués par un journaliste
américain qui travaille pour un grand journal (vous rappelez-vous de Ansel E. Talbert?). Le journaliste, Bradi, écrit une
serie d'articles, sur l'antigravité, les OVNIs et l'électrogravitation. Après son troisième article, le journal le met à la
porte... (Talbert aussi n'a écrit que trois articles, pourtant, dans ses premiers articles, il écrivait que ce serait le premier
et le second d'une serie!). Le fait incroyable est que les OVNIs du livre étaient construits sur un principe qui
techniquement existe présentement. Les noms des personnages-clés et les grandes sociétés d'aéronautique dans le livre furent
changés de façon si subtile qu'ils contiennent les vrais noms des conspirateurs, que Caidin, même, avait de toute évidence
déjà démasqués. Pourquoi Martin Caidin a-t-il écrit ce livre? Pourquoi est-il devenu si rare alors que la demande était si
grande?
Science
au Secret
En 1971,
Oleg Jefimenko, un savant de la West Virginia University, annançait la mise au point du premier moteur alimenté par le champ
électrique de la Terre. Il avançait que son moteur pouvait servir à écarter la pénurie d'énergie qui frappait alors l'occident.
Il avait raison. Cependant, les détails de son invention furent vite mis sous silence. On sait que son système
faisait appel à un moteur électrostatique pour produire du mouvement et, donc, de l'énergie. Son premier générateur aurait
fonctionné avec un câble soulevé par un ballon qui devait servir à court-cicuiter les différences de tensions révélèes à la
surface de la Terre et à une altitude de 500 mètres.
Son système
produisait environ 75 watts d'énergie continuelle avec comme seule source d'énergie le champ éléctrique de la Terre. Les seules
traces d'illustrations que je pu trouver de la technique de Jefimenko furent publié dans la revue Scientific American.
Malheureusement, cette revue ne m'a pas donné la permission de reproduire les articles ou les planches du générateurs
de Jefimenko. Alors, le lecteur devra faire sa propre recherche : Scientific American, octobre 1974, p. 126 à 131, et mars
1972, p. 57
Le lecteur
devrait aussi se procurer un exemplaire des documents suivants, soit auprès Wright Air Development Centre à la Wright-Patterson
Air Force Base en Ohio, ou à l'University of North Carolina Physics Department à Chapel Hill, North Carolina: Conférence on
the Role of Gravitation in Physics (conférence sur le rôle de la gravitation en physique), WADC Technical Report 57-216 (mars
1957) ou ASTIA document n° AD118180. Ce rapport donne 167 pages de résumé des actes d'une conférence à laquelle ont assistés
les 44 meilleurs physiciens du monde venus d'Angleterre, du Danemark, de France, de Turquie, de Suède, du Japon, de Suisse
et d'Amérique.
En 1972,
un physicien d'origine yougoslave, Bogdan Maglich, annonçait la venue d'une nouvelle source d'énergie pour le foyer. M. Maglich
fit cette annonce lorsqu'il quitta l'Université Rutgers où il était professeur. Les détails de sa nouvelle source d'énergie
étaient contenus dans un document présenté à la Société américaine de physique (American Physical Society). Cette source d'énergie
tenait la place d'un climatiseur domestique. Elle faisait appel à la collision de faisceaux de deutérons (les noyaux d'hydrogène
lourd) enfermés dans un champ magnétique pour produire l'énergie. L'appareil pouvait créer son propre carburant tout en produisant
de l'électricité directement sans turbine à vapeur ou autre intérmédiaire... qu'est-il donc advenu du système de M. Maglich?
Le lecteur
peut se procurer un trésor de renseignements sur des projets de recherches secrètes auprès de la Smithsonian Science
Information Exchange situé à Washington DC (20036) Room 300, 1730 M Street, N.W. Tout ce que le lecteur a à faire,
c'est de devenir membre de l'organisme (pour un très faible coût) et demander alors un "Notice of Research Report" (avis de
rapport de recherche) sur le sujet qu'il désire. J'ai moi-même fais la demande sur des systèmes à propulsion électrogravifique
pour les avions et les vaisseaux spatiaux depuis 1975. J'ai reçu, par retour du courrier, une brique de 30 résumés de projets
dont voici quelques exemples :
a) Pulsed
Electromagnetic Gas Acceleration (accélération électromagnétique pulsée de gaz), financé par une section indéterminée de la
N.A.S.A. à Washington; crédits annuels dépassant 160.000 $; recherche menée par la School of Engineering and Applied Sciences
à l'University Princeton, Box 430, Princeton, New Jersey 08540... la recerche consiste à étudier des dispositifs de jets de
plasma pour le vol spatial de même que pour les lasers dynamiques à plasma.
b) Properties
and Behaviour of Explosion Filds and Plasma Flows (propriétés et comportement de champs d'explosion et d'écoulement de plasma),
financé par le département americain de la défense pour l'armée de l'air sous le n° de contrat DF024930 et F44620-75-C-0021;
crédits de 30.730 $ pour l'exercice financier de 1977; développement par la Air Vehicle Corporation de San Diegio, Californie;
... la recherche porte sur le développement d'un moteur à propulsion électrique plasmadynamique évolué comportant des dispositifs
dont le taux de conversion d'énergie est très élevé. Ces techniques doivent servir pour la surveillance des satellites et
un appui aérien proche.
c) Magnetic
Field Annihilation of Impulsive Plasma Current Sheets (élimination de champ magnétique de feuilles chargées de plasma impulsive)
financé par le département américain de la défense pour l'armée de l'air sous les n° de contrat DF 029200 et F44620-71-C-0031;
développement par la Thompson Ramo Woolridge Inc. du 1 Space Park à Redondo Beach, Californie 90278; crédits de 60.508 $ pour
l'exercice financier de 1976; ... le projet porte sur l'étude de la conversion de l'énergie magnétique en énergie cinétique
plasmatique par l'élimination de champs magnétiques antiparallèles. En outre, elle porte sur l'étude de la mise au point de
grands dispositifs d'accéleration à impulsion totale utilisant des réacteurs à plasma pulsé pour atteindre une orbite et la
maintenir.
d) Mechanisms
of Magnetoplasmadynamic Arc Jet Acceleration Proccesses (méchanismes des propulseurs à réacteur magnétoplasmadynamique
à arc) financé par le département américain de la défense pour l'armée de l'air sous les n° de contrat DF037860 et F44620-74-C-0017;
crédits annuels de 15.475 $ pour l'exercice financier de 1977; développement par Technion Inc. de Newport Beach, en Californie;
... ayant pour principale objet l'utilisation du milieu atmosphèrique comme source de combustible de réacteur à arc pour un
propulseur spatial magnétoplasmadynamique à arc;... auquel on pourrait donner le nom de code SERJ (pour space elecric ramjet
/ réacteur spatial électrique).
e) Experimental
Research on Fluid Dynamic Energy Conversion and Transfer Processes (recherche expérimentales sur la conversion
d'énergie de fluide dynamique et sur les processus de transfert), financé par le département américain de la défense pour
l'armée de l'air sous le numéro de contrat DF136500 et F33615-73-C-4053; crédits de 313.098 $ por l'exercice financier de
1977; développement par la Universal Energy Systems , Inc. de Medway, Ohio, 45341 sous la surveillance du Flight Dynamics
Laboratory, Base de l'armée de l'air de la Wright-Patterson et aussi en Ohio; ... objet : mettre au point de nouveaux systèmes
de propulsion aérospatiaux et des armes électromagnétiques.
f) New Horizons
in Propulsion ( nouveaux horizons dans le domaine de la propulsion), financé par le bureau de sciences de l'espace du Jet
Propulsion Lab. au California Institute of Technology de Pasadena, Californie 91109; crédits non communiqués; ce projet fut
mis sur pied pour explorer plusieurs voies nouvelles dans le domaine de la propulsion :
1) la production
et l'emmagasinage d'antimatière de même que l'utilisation de l'élimination matière-antimatière comme source de propulsion,
2) l'étude
de nouvelles méthodes pour obtenir de l'énergie de l'interaction entre un fluide conducteur d'électricité en mouvement turbulent
à bord d'un vaisseau spatial et le champ magnétique fluctuant d'une planète proche,
3) l'utilisation
de diverses atmosphères planétaires comme systèmes de propulsion,
4) la conception
d'un système servant à convertir des sources de densité d'énergie élevée en poussée,
5) l'utilisation
de lasers comme systèmes de propultion.
Et beaucoup
d'autres encore. Pourquoi le gouvernement américain a-t-il déclaré qu'il n'avait pas le rayon de la mort au cours de la controverse
de 1977 ? On doit se poser la question, car chacun sait, en Australie, que pas plus tard qu'en 1973, les Etats-Unis avaient
détruit un avion-cible australien à une distance de 8 km à l'aide d'un canon à plasma ("Sky-cannon") monté à bord d'un navire
qui ne pouvait être filmé qu'avec des caméras spéciales ultra-rapides fonctionnant à plus de 50.000 images/sec.
Voyez ce
que déclara Stanton T. Friedman (un physicien nucléaire très connu). Il dit qu'il avait personnellement contribué à diverses
étapes de la mise au point de moteurs ioniques pour de "petites" sociétés comme la Westinghouse, la General Eletric,
et la General Motors. En fait, il déclara que la Westinghouse avait déjà fait l'essai d'un moteur ionique de 1100 mégawatts
un peu avant 1970. La preuve est omniprésente, mais pourquoi le lecteur n'a-t-il pas été informé ?... Il faudra répondre à
cette question.
3. Base en Inde & Activités OVNI là-bas
Rumeurs d'une base OVNlS
du côté indien de la frontière chinoíse
L'armée indienne et la population locale installées
dans la région Tarai de l'Himalaya (du côté indien) signalent une activité très inhabituelle, ainsi que de nombreuses apparitions
diurnes d'ovnis. Certains pilotes d'hélicoptères se plaignent au sujet d'un système de brouillage perfectionné. Un jeune
Népalais a produit un dessin décrivant ce qui semble bien être un vaisseau extraterrestre en vol aperçu alors qu'il jouait
avec plusieurs amis. Les garçons rapportent que ces véhicules ne faisaient aucun bruit, pouvaient décoller verticalement,
flotter sans subir les effets de la pesanteur et même disparaître soudainement. Certains pilotes de l'Armée de l'Air Indienne
ont discrètement révélé avoir observé d'étranges objets en vol près de l'Himalaya, aux alentours de la frontière chinoise. Un
moine tibétain en Inde a récemment déclaré que ces phénomènes ont commencé après l'essai nudéaire indien en 1998, et que depuis,
le nombre d'apparitions s'est encore accru. Selon quelques scientifiques de la Geological Survey of India, des ovnis et
des créatures étranges ont régulièrement visité une zone spécifique de 100 km2 pendant ces 18 derniers mois. Le secteur
nord de l'Himalaya appelé Prades s'avère être le terrain d'apparitions très spécifiques. Une rumeur circule parmi la population
locale, selon laquelle « ils » débarqueront dans les environs dans les 7 prochaines années. Or, de nombreux ufologues indiquent
qu'en 2012, des êtres venant de la constellation K-9 débarqueront sur la Terre et se feront alors connaître. Est-ce donc la
dernière phase du débarquement prédit par les Mayas, des millìers d'années auparavant ? Une chose est sûre, on a ordonné
au gouvernement et à l'armée indiennes de rester discrets. Les militaires échangent sur le sujet à huis clos et persistent
à exposer qu'ils ne peuvent rien dire de plus, invoquant la sécurité nationale. Mais au moins l'un d'entre eux est sorti de
la réserve et a annoncé qu'il s'agissait certainement d'ovnis. Tout indique qu'une base d'atterrissage est en construction
dans la roche dure de l'Himalaya. Le site choisi est un terrain difficile situé dans la « zone neutre » entre l'Inde et la
Chine. Il se passe un autre fait intéressant : dans ce secteur une augmentation des activités militaires indiennes et chinoises
assez considérable pour qu'en d'autres circonstances, on en déduise que les 2 pays y sont en guerre. Les gens dans cette
région signalent percevoir régulièrement de grands et petits ovnis. Les armées indiennes et chinoises prétendent qu'il s'agit
de véhicules espions. A l'ISRO, (Indian Space Research Organisation) on dit tout bas que ces ovnis sont en train de concevoir
et de construire un site d'atterrissage avec l'aide des gouvernements indien et chinois. (Source : Indía Daily, 9 Octobre 2004, http://www.indiadaily.com/editorial/10-09-04.asp)
Les agences indienne
et chinoise de l'espace restent discrètes au sujet de récentes rencontres avec des ovnis.
Dernièrement, l'espace aérien indien a été le théâtre
de nombreuses apparitions d'ovnis. D'après quelques fonctìonnaires de l'ISRO qui restent publiquement réservés, l'excitation
à ce propos n'est pas justifiée . Mais nombre d'entre eux insinuent qu'en 2012, il y aura des atterrissages officiels dans
6 pays autour du monde et que l'Inde en fait partie. II apparaît que les ovnìs exécutent essentiellement des missions de
reconnaissance dans le but d'établir le contact avec le gouvernement et l'armée indiennes. II serait aínsi enseigné à l'Inde
la façon de mieux appréhender les technologies nucléaire, de l'espace, ainsi que dans d'autres domaines de pointe. Apparemment,
l'Inde va pouvoir tirer profit de ces récentes rencontres. L'un des ingénieurs de l'ISRO s'est récemment exprimé sur le projet
secret le plus abouti de l'Inde portant sur les systèmes de propulsion anti-gravité ainsi que du fait que quelques scientifiques
sons en train d'étudier cette technologie de pointe sous une forme globale. Sollicité sur ce qu'il entendait réellement par
forme "globale", sa réponse se référa à des technologies déjà opérationnelles développées plus par l'intégration et la mise
en oeuvre que par un processus de recherche et de créativité. Par ailleurs, le personnel de l'armée de l'Air Indienne a
également fait état de programmes intéressants en cours à l'Hindustan Aeronaritics Limited, première organisation indìenne
pour la recherche, le développement et la production avionique. Trois de ces programmes impliquent la propulsion antigravité
pour la fabrication de vaisseaux. Un autre tout aussi intéressant est celui sur le mécanisme de la technologie furtive pour
rendre des objets de vol invisibles même pour l'oeil. S'il est vrai qu'ingénieurs et technìciens de l'ISRO ont été postés
dans différents endroits de l'Himalaya et opèrent près de la frontière Indo-Chinoise, cela ne signifie pas qu'ils y ont aménagé
un chantier de lancement de vaisseau spatial. Dane ce cas, qu'y installent-ils ? Curieusement, selon certaines sources,
la CNSA (China National Space Administration) a aussi entreprís des activités semblables sur l'autre versant de l'Himalaya.
Or, la Chine fait aussi partie de la lìste de 6 pays où de tels atterrissages sont annoncés pour 2012. Pour certaines raisons,
à l'instar des USA ou de la Russie, la Chine fait également machine arrière dans ses projets d'exploration lunaire. A Beijing,
au sein de quelques cercles intimes du gouvernement, une rumeur circule selon laquelle «on a ordonné» à la Chine d'abandonner
tout voyage dans l'espace au delà de 100 milles de la Terre d'ici 2012. (Source : India Daily, 1 Novembre
2004)
Preuves supplémentaires
de contacts extraterrestres avec l'armée et le gourvernement indiens.
Subhra Jain, une reporter indépendante à New Delhi,
y a rencontré par hasard un militaire indien au grade élevé dans une boîte de nuit. Ce qu'elle allait découvrir lors de cet
entretien a de quoi chambouler notre vision du monde. Selon elle, des extraterrestres ont visité l'Inde et le reste du
monde pendant des milliers d'années. Récemment, la plupart des puissances de la planète ont été officiellement contactées.
L'Inde n'y fait pas exception. "Ils entrent toujours en contact au moyen des stations radars au sol de l'armée" rapporta-t-elle. L'Himalaya
indien et la Frontière chinoise du Ladakh furent le premier théâtre de leurs récentes prises de contact. Ils cherchent à enseigner
à l'Inde les lois et les règles de l'Univers multidimensionnel. L'Inde programme une expédition inhabitée sur la Lune,
et plus tard, une autre sur Mars. On a indiqué à l'ISRO "ce qu'il faut et ne faut pas faire". A une semaine près, un commandant
de vol de l'Armée de l'Air Indienne, à peine retraité, donna une conférence sur le sujet de son choix aux camarades de classe
de son plus jeune fils, dans leur école au Bangalore. Devinez quel thème il choisit : En plein dans le mille ! C'était la
base souterraine d'atterrissage pour ovnis au Ladakh. Il engagea l'exposé en traitant du développement des nouvelles technologies
et des nouveaux accomplissements dans l'espace. Les élèves l'ont fixé du regard et l'ont interrogé sur les différents aspects
et la provenance de cette nouvelle technologie. Puis ils commencèrent à l'interpeller, comme s'il était en train de plaisanter,
mais il répondit en fournissant des descriptions détaíllées de la base d'atterrissage. A Leh, au Ladakh, d'après Tsering
Spalzang, un haut fonctionnaire, toutes les activités paranormales se passent au vu et au su de l'armée indienne. Il y a des
zones qu'elles interdisent pour des raisons de sécurité. La vallée du Ladakh est hautement sécurisée par le gouvernement
indien. C'est un secteur délicat et personne n'y est admis que ce soit du côté indien ou du côté chinois. Le terraín est tel
qu'il est impossible d'apercevoir les constructions souterraines cachées sous les montagnes massives du coeur de l'Himalaya. Un
porte-parole du ministère du pétrole indien, récemment enquis sur le prix élevé du pétrole a indiqué que l'Inde exploite des
sources d'énergie alternatives grâce aux technologies de pointe. Questionné au sujet des dites technologies, il a mis hâtivement
fin à la conférence de presse en déclárant que ce sont des informations classées secrètes. D'après certaines rumeurs à
New Delhi, les ovnis et les extraterrestres ont officiellement pris contact avec le gouvernement indien. Au début, ce dernier
a été un peu dérouté, ne sachant pas comment réagir. Plus tard, les choses se calmèrent et il semble qu'il ait maitenant compris
que ces extraterrestres sont amicaux. Kargil et Ladakh sont des points chauds au Cachemire qui verront probablement le
premier échange nucléaire, si jamais cela arrive. Trois nations s'y affronteront, chacune disposant de la puissance nucléaires
: l'Inde, la Chine et le Pakistan. En 1999, le Pakistan et l'Inde se sont affrontés lors d'une escalade qui aurait pu aboutir
à une guerre nucléaire à Kargil. Sur l'insistance de Bill Clinton, le Président des Etats-Unis à l'époque, le Pakistan se
défila au dernier moment, permettant d'éviter le pire de justesse. Depuis, d'après les résidents locaux et les militaires
indiens, ce secteur a connu un maximum d'apparitions d'ovnis et de signes de présence extraterrestre. Source
: India Daily, 19 Décembre 2004, http://www indíadaily.com/edìtorial/12-19c-04.asp
L'lnde pourrait
être la 1ère nation à révéler au monde ses contacts extra-terrestres
New Delhi est au coeur d'un important
débat interne gardé secret. D'un côté, son statut de plus grande démocratie au monde exige de révéler à ses citoyens et au
monde ses contacts entretenus avec les ovnis et les extraterrestres. De l'autre, la bienséance implicite en vigueur dans les
relations internationales interdit quoi que ce soit susceptible de provoquer la peur et la panique dans le monde entier. II
est bien connu des ufologues que chacune des 5 puissances nudéaires a été contactée avec des êtres venus des étoiles depuis
un certain temps. I1 n'y a pas longtemps, l'Inde a vu un grand nombre de nouveaux reportages sur les ovnis et leurs bases
secrètes dans l'Himalaya, près des installations militaires chinoises. A Ladakh par exemple, les gens du coin signalent précisément
le phénomène journalier de grande vaisseaux triangulaires surgissant de sous la terre et des forces indiennes qui assurent
leur sécurité. Militaires et politiciens ont admis que l'Inde a été contactée et mise au fait des lois et règles de l'Univers.
Le choix qui se pose est soit de garder le secret comme les autres pays, soit de sortir du rang et de dire la vérité selon
la tradition d'une société totalement transparente. L'Inde est si ouverte et démocratíque que cela lui est très difficile
de garder longtemps un secret - et à la différence des autres pays, c'est aujourd'hui devenu le plus grand souci du gouvernement
. Si l'information passe en premier par des voies non officielles, et qu'ensuite les autorités soient obligées de se confesser,
deux conséquences importantes sont à craindre. Tout d'abord, cela pourrait probablement causer la panique aussi bien dans
le pays que dans le reste du monde. Ensuite, vu la façon dans la politique indienne est organisée, le parti au pouvoir pourrait
être rejeté en un clin d'oeil si jamais on découvre que le gouvernement cachait de telles informations au public. il semble
que les puissances mondiales aient conseillée à l'Inde de respecter les consignes tacites en la matière et lui ait proposé
une reconnaissance comme superpuissance émergeante en échange. Le pays est confronté à un dilemme intérieur : soìt se soumettre
au règles internationales, aux lois de l'Univers, et être reconnu comme une superpuissance, soit être honnête envers ses citoyens
et envers les habitants du Monde. Selon des sources proches du gouvernement, les contacts des ovnis sont connus de quelques
membres de l'opposition et bien sûr de ceux du parti au pouvoir. L'armée a aussi toutes les raisons légitimes de ne pas
dévoiler le secret. Source : India Daily, 6 janvier 2005, http://www indiadaily.com/editorial/01-06a-O5.asp
=====
4. SECRETS
ECHELON
: Vers l'écoute totale de la planète
De grandes oreilles :
Unique au monde, "les grandes oreilles"
spatiales du plus secret des services secrets américains, la NSA (National Security Agency), interceptent toutes
les communications de la planète. Cibles de prédilection: les entreprises et les gouvernements européens, mais aussi asiatiques.
La divulgation de l'existence du
réseau d'écoutes "Echelon", mis en place pendant la guerre froide par les Américains, a entraîné sa condamnation par les Européens.
Cette contestation se traduira par des évolutions majeures, visant à rendre le système plus efficace et plus discret.
En exclusivité, Science & Vie vous présente les dessous du dossier.
Par Martin Crag
Le système livre son nom
Pourquoi une telle tension, aujourd'hui,
sur les "grandes oreilles" américaines ? Parce que, en commandant plusieurs rapports à des experts indépendants,
le Parlement européen a crédibilisé les critiques qui s'étaient fait jour, depuis une dizaine d'années déjà, de la part de
journaux britanniques, d'organisations non gouvernementales et de mouvements pacifistes. La première enquête sur Echelon a
été réalisée en août 1988 par le journaliste d'investigation britannique Duncan Campbell pour le New Statesman. On
sait, depuis février 2000, que ces accusations reposaient sur des révélations, passées inaperçues quelques mois plus tôt,
d'un ingénieur de Lockheed, Margaret Newsham, travaillant sur plusieurs systèmes d'information associés à Echelon. Il faudra
encore huit ans pour qu'un pacifiste néo-zélandais, Nicky Hager, publie un livre apportant nombre de détails sur le programme.
Mais la source essentielle de la
médiatisation et de la polémique autour d'Echelon réside dans le rapport commandé par le Parlement européen à Duncan Campbell,
dont les premières versions ont commencé à circuler en mai 1999, avant que sa présentation officielle déclenche une tempête
en octobre suivant. Les organisations de défense des libertés civiles se sont greffées dans les semaines suivantes
sur cette contestation, bientôt suivies par les parlementaires. La NSA elle-même décidait à cette époque de déclassifier,
pour le compte du centre de recherches universitaires National Security Archive, de l'université de Georgetown, le seul document
officiel mentionnant d'un mot le système Echelon.
L'empire américain adore les secrets
des autres. Son statut de première superpuissance économique et militaire mondiale lui permet de revendiquer le droit d'intercepter,
contrôler, décrypter tout ce qui se passe sur la planète, et de disposer pour ce faire d'un fantastique appareil de renseignement
et de services secrets, qui ne consomme pas moins de vingt milliards de dollars par an 20.000.000.000 $. Sur
cette somme, le tiers est affecté à l'imagerie IMINT (Image Intelligence), c'est-à-dire à l'espionnage par des satellites
photographiques et des satellites radars de l'ensemble de la surface du globe, océans compris. Le National Reconnaissance
Office (NRO), qui en a la charge, a beau être le plus cher, il est également le plus petit service secret américain : il compte
moins de 2000 fonctionnaires, qui s'occupent du maintien des satellites à poste, de leur orientation et de la distribution
des images aux services chargés de leur exploitation, essentiellement la CIA et les forces armées. Avec ses 21.000 fonctionnaires
et ses 3,6 milliards de dollars 3.600.000.000 $ de budget annuel, la National Security Agency (NSA) est à tous points
de vue le plus gros service américain. Elle dispose du plus formidable appareil technique, et est chargée par le gouvernement
de toutes les interceptions des communications et des signaux radioélectriques émis sur la planète.
Son intitulé officiel, NSA/CSS (National
Security Agency/Central Security Service), indique qu'elle mène des activités propres, mais qu'elle est aussi chef de file
technique et "politique", ce terme étant pris dans le sens de la définition des priorités, pour les armées américaines.
Durant toute la guerre froide, la
NSA s'est spécialisée dans la surveillance du monde soviétique. Mais depuis une dizaine d'années elle a changé son fusil
d'épaule, au point d'être aujourd'hui accusée d'avoir réorienté l'ensemble de son dispositif d'interception vers les pays
alliés politiques et diplomatiques des Etats-Unis, qui se trouvent aussi être des concurrents commerciaux. A l'intérieur
même des Etats-Unis, d'autres attaques la visent, ayant pour objet cette fois des interceptions auxquelles elle procéderait
contre des citoyens américains, ce que la loi fédérale proscrit formellement. Au nom de la sécurité nationale, la NSA surveille
tout. Ses avions estampillés US Air Force, tels les différents modèles du RC-135, produit par Boeing sur des cellules
de Boeing 707, sillonnent la planète. Ses navires, peints aux couleurs de l'US Navy, parcourent tous les océans et toutes
les mers du globe. Ses stations terrestres, souvent installées dans des ambassades américaines, mais aussi hébergées par des
gouvernements amis qui n'ont aucun contrôle sur elles, interceptent les réseaux hertziens, les réseaux téléphoniques cellulaires
et parfois même, comme en Grande-Bretagne, l'intégralité des communications téléphoniques filaires. C'est aussi à partir de
ses stations terrestres, l'emblème des "grandes oreilles" américaines, qu'elle intercepte les satellites commerciaux de
communication, dont les liaisons ne sont pas protégées et dont les émetteurs arrosent de grandes surfaces au sol.
Même internet n'échappe
pas au réseau de surveillance
L'internet (web, courrier électronique,
news-groups, chats) n'est bien sûr pas à l'abri : les autoroutes de l'information passent souvent par des câbles sous-marins
qui transitent par les Etats-Unis ou par des pays qui n'ont rien à refuser à l'Oncle Sam. Ils sont donc interceptés, tout
comme les "hubs" des grosses sociétés de fournitures d'accès à l'internet. Enfin, last but not least, la NSA dispose de systèmes
spatiaux d'interception, en l'occurence des satellites spécialisés aux performances stupéfiantes, qui lui permettent d'écouter
dans la plus grande discrétion imaginable tout ce qui se passe sur le sol terrestre
Dictionnaire planétaire
Des stations d'interception réparties
chez les américains et leurs partenaires en Grande-Bretagne, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande trient grâce
à des ordinateurs puissants les communications mondiales. Les téléphones, les fax et le courrier électronique sont filtrés
par analyse des mots-clés intégrés dans le dictionnaire nommé Echelon.
Des oreilles et des
cerveaux
Derrière ces oreilles, il faut des
cerveaux, et des gros ! Capter des telles masses d'informations pose un problème de traitement. C'est le rôle du sytstème
Echelon, terme apparu pour la première fois en août 1988, dans un article du journaliste écossais Ducan Campbell : "Somebody's
listening", New Statesman, 12 août 1988. C'est une "dissidente" de la NSA, Margaret Newsham, ingénieur de la firme Lockheed
chargée de la mise en place de plusieurs sous-systèmes à la station britannique de Menwith Hill, qui avait révélé le mois
précédent, dans une interview à un petit journal de l'Ohio, que la NSA se livrait à des activités peu compatibles avec celles
d'un service de renseignements d'un pays démocratique. Mais il fallut encore presque une décennie pour qu'un pacifiste néo-zélandais
combattant l'association de son pays avec la NSA, détaille dans un livre : Nick Hager, "Secret Power. New Zealand's Role in
International Spy Network". Craig Potton, Nelson (NZ), 1996. la manière dont les interceptions étaient traitées au moyen d'un
"dictionnaire", justement baptisé Echelon. Ce dernier permet aux différents intervenants du réseau dirigé par la NSA de faire
ressortir dans les communication interceptées les mots-clés que les partenaires lui ont demandé de rechercher
et de transmettre de manière automatique.
Pour autant, les informations disponibles
sont très rares. Seuls des journalistes d'investigation ont pu avoir accès à quelques informations très succinctes et surtout
très difficiles, voires impossibles à vérifier. C'est ainsi que dans un document remarquable préparé pour le Parlement européen
: Development of Surveillance Technology and Risk of Abuse or Economic Information, STOA, Luxembourg, 1999. Ce document
est composé de cinq rapports différents, dont Duncan Campbell a rédigé le second : "Interceptions Capabilities 2000".
Duncan Campbell ne présente aucune
preuve formelle venant étayer son accusation selon laquelle la NSA aurait utilisé à deux reprises au moins ses moyens d'interception
pour combattre des industriels européens et soutenir leurs concurrents américains : dans le cadre du contrat SIVAM visant
à organiser, pour le compte du Brésil, la surveillance aérienne de l'Amazonie, les firmes françaises Thomson et Alcatel ont
effectivement été évincées par leur homologue américaine Raytheon, par ailleurs l'un des gros contractants de la NSA. Des
interceptions ont-elles eu lieu, ou pas, pour que les Américains prennent connaissance des propositions françaises? Les preuves
ne sont pas avancées... Et pas davantage dans une autre affaire commerciale, concernant cette fois l'éjection d'Airbus dans
la signature d'un contrat ayant trait à la livraison d'avions de ligne à la compagnie nationale saoudienne, qui s'est finalement
fournie chez Boeing.
Des accords toujours
secrets
Elle a beau être l'une des plus "jeunes"
agences de renseignement au monde, la NSA, créée en 1952, n'en est pas moins devenue aujourd'hui celle qui inquiète le plus,
notamment en Europe. A l'origine de cette spectaculaire montée de la tension se trouve un accord, toujours secret, entre
les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande. La première signature remonte au
17 mai 1943, lorsque l'accord Brusa fut signé entre les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Les cryptanalystes chargés par le
gouvernement britannique de "casser" le code de chiffrement de la machine allemande Enigma, regroupés à Bletchey Park autour
du mathématicien Alan Turing, étaient parvenus à de spectaculaires succès, et ils avaient finalement accepté de faire part
de leurs découvertes à leurs "cousins" américains. Après la guerre, ce premier accord déboucha, en 1947, sur le traité
Ukusa, lui aussi toujours secret à ce jour, essentiellement consacré au partage des interceptions électromagnétiques. Les
avions, les navires, les stations terrestres d'interception des armées américaines et du Département d'Etat étaient déjà rassemblés,
depuis 1946, dans l'United States Communications Intelligence Board (USCIB), l'ensemble de ce système ayant vocation,
dès la chute du nazisme, à se retourner vers l'URSS et ses pays satellites au-delà du rideau de fer. L'arrivée de la Grande-Bretagne,
et notamment du Government Communications Headquarters (GCHQ) créé en 1943, dans le dispositif américain permit en fait à
la communauté américaine du renseignement de disposer des exceptionnelles capacités d'interception britanniques sur l'ensemble
du Moyen-Orient, grâce, entre autres, à la station d'Agios Nikolaos, à Chypre, et sur l'Asie du Sud-Est, avec la station de
Little Sai Wan, à Hong Kong. Et les choses allèrent ainsi durant une bonne quinzaine d'années : comme toujours dans les affaires
secrètes, et d'autant que personne ou presque ne connaissait alors son existence, la NSA n'avoua pas qu'elle était,
tout comme la CIA et le SAC (Strategic Air Command), à l'origine des missions de l'avion-espion U2 abattu avec
son pilote, Gary Powers, par la defense antiaérienne soviétique le 01/05/1960; ni qu'un navire, le USS Liberty, détruit "par
erreur" par la marine et l'aviation israéliennes durant la guerre des Six Jours, en juin 1967, au large de l'Egypte, était
en réalité en mission secrète pour la NSA (Des centaines de liens sur le site : http://www.ussliberty.org/jim/ussliberty/
) Ni même que le Pueblo, navire de l'US Navy intercepté avec son équipage par les Nords-Coréens le 23/01/1968, travaillait
en réalité pour elle. Les lecteurs se reporteront avec intérêt au site officiel des vétérans de cette opération :
http://www.usspueblo.org
Un camouflet suivi
d'effets
La destruction en vol de l'avion de
Gary Powers aura un effet immédiat, en faisant entrer l'espionnage électronique dans une nouvelle ère. Moins d'une semaine
après ce camouflet, le président américain Dwight "Ike" Eisenhower ordonna en effet la mise en orbite du premier satellite
d'espionnage électromagnétique, le Grab (Galactic Radiation And Background), qui fut effectivement satellisé le 22 mai 1960
et commença à recueillir pour la NSA les "signatures" des radars associés aux premiers missiles intercontinentaux soviétiques.
Ce premier satellite Masint (Measurement And Signature Intelligence) fut suivi d'une serie d'autres, souvent spécialisés
à outrance dans des domaines très stricts correspondant aux exigences techniques des différentes armées, et notamment de l'US
Air Force et de l'US Navy, voire de la CIA. C'est ainsi que furent successivement lancés "en grappe" des dizaines de SSF (Sub
Satellites Ferrets) entre 1963 et 1986, puis des Ryolithes (de 1970 à 1978), Canyon (de 1968 à 1977), Jumpseat (de 1971 à
1983), et autres Vortex (de 1978 à 1989), également appelés Chalet et Program 366. Actuellement, plusieurs types de satellites
Sigint (Signal Intelligence) et Comint (Communication Intelligence) américains sont placés en orbite. S'ils représentent une
telle menace pour les alliés des Etats-Unis, c'est que ce pays est le seul à disposer de tels engins opérationnels. Les Russes
s'y sont bien frottés, en mettant en orbite dès le début des années 70 des satellites de la famille Tselina. Mais il semble
bien qu'aujourd'hui ils n'aient plus les moyens de cette ambition statégique. Les Français pour leur part avaient envisagé,
au début des années 90, de placer en orbite leur propre système d'interception, Zenon. Ils y ont renoncé pour des raisons
budgétaires. Quant aux Britanniques, excédés par le mauque de coopération américaine contre l'Argentine durant la guerre
des Malouines, en 1982, ils avaient dans la foulée imaginé de se lancer dans la fabrication d'un satellite, Zircon. Sur
injonction de Washington, Londres rentra finalement dans le rang, et, sans que cette information puisse être confirmée, pourrait
avoir accepté d'acquérir l'un des trois satellites-espions Orion de la NSA, lancés en 1985, 1989 et 1990 lors de missions
militaires secrètes de la navette spatiale, évoluant en orbite très basse (78 km de périgée, 226 km d'apogée). Ce système
est dédié aux missions Comint, faisant son miel des communications dans les bandes supérieures à 100 MHz ; il se trouve en
particulier bien adapté pour intercepter les signaux émis par les radiotéléphones GSM , ou plus exactement par les
bornes qui centralisent ces liaisons et les redistribuent vers les mobiles. Mais il est également parfait pour capter les
signaux des liaisons hertziennes fixes (les grosses tours que l'on voit dans nos campagnes depuis les années 50).
Un autre engin, connu sous le nom
de Mercury, ou Advanced Vortex, fonctionne en orbite très elliptique (1100 km de périgée, 39.000 km d'apogée) et bénéficie
de perfectionnements techniques très étonnants. Et singulièrement d'une gigantesque antenne déployable en orbite, sorte de
"voile" dont la matière réfléchissante est proche de celle des couvertures de survie bien connues des secouristes, dont le
diamètre atteindrait 100 m, soit la longueur d'un terrain de football... Captant les signaux dans la bande des 20 KHz, son
utilisation est extrêmement spécifique et a vocation militaire. Il serait capable, en particulier, d'intercepter les communications
des sous-marins russes (ou français) en plongée, qui émettent à des débits qui rendraient fou l'nternaute moyen : 1 bit par
seconde! Illustrant la synérgie étroite entre les financements de l'industrie spatiale américaine par la puissance publique,
cette technologie de voile spatiale mise au point par le constructeur Mercury, Hughes, a été adaptée par ce même industriel
pour le marché civil. Elle équipera (avec un diamètre plus modeste de 22 m) le satellite de communication APMT, commandé à
Hughes par un consortium sino-singapourien. Un troisième système, le Trumpet, est dédié à l'interception des communications
militaires russes.
Il est intéressant de noter que, pour
l'avenir, la NSA et les forces armées américaines comptent compléter ces systèmes spatiaux d'espionnage électronique par des
engins meilleurs marchés, des drônes stratégiques, avions sans pilote pouvant tenir l'air durant des dizaines d'heures, avec
des charges utiles Sigint. Drônes et satellites formeront un couple parfaits de "grandes oreilles" à haute altitude, et seront
intégrés dans une architecture commune, pour l'instant (très peu) connue sous le nom de IOSA (Integrated Overhead Sigint Architecture),
pour laquelle une structure spécialisée vient d'être mise sur pied par l'administration américaine : le NSSAO (National Security
Space Architect Office).
Supprimer les stations au sol
Il sera alors possible pour la NSA,
dans ce nouveau contexte, de réaliser l'un de ses rêves : supprimer ses emprises au sol dans les pays étrangers. Car l'actuel
réseau spatial pêche par défaut majeur : il faut des stations au sol pour recueillir les signaux envoyés par les satellites
en orbite et effectuer les mesures radio-goniométriques. De plus, ces stations terrestres sont également indispensables pour
intercepter les communications émises par les satellites civils de communication de tout type, mais surtout les 18 engins
du consortium international Intelsat. C'est notamment pour capter les signaux émis par ces satellites que la NSA a dû
déployer de nombreuses stations sur toute la planète, en relation avec les services secrets partenaires du réseau Echelon
: le Government Communications Headquarters britannique bien sûr, le Communication Security Establishment (CSE) canadien,
le Government Communications Security Bureau (GCSB) néo-zélandais et le Defense Signal Directorate (DSD) australien.
Tout ce petit monde s'est réparti
la tâche. La NSA prend en charge l'Amérique du Sud, l'Asie, la Russie, le GCSB du Pacifique (dont la Polynésie française,
très intéressante du temps des essais nucléaires), et le DSD de l'Asie du Sud-Est et la Chine méridionale. Chacun de ces services
s'est vu équipé par la NSA de stations d'interceptions parfois gigantesques, puisque la plus grosse de toutes, celle de Menwith
Hill, en Cornouailles britannique, compte deux bonnes dizaines de grosses antennes cachées sous des randômes. Sans compter
celles de la station, elle aussi en territoire britannique, de Morwenstow. Les canadiens disposent également de plusieurs
stations, dont celle de Leitrim, quand les Américains en hébergent deux considérables sur leur propre sol : celles de
Yakima (Etat de Washington) et celle de Sugar Grove (Virginie), également spécialisée dans les interceptions de communications
par câbles sous-marins. Les Australiens comptent trois stations (Geraldton, Shoal Bay et Pine Gap) et les Néo-Zélandais une,
Wahopaï.
L'idée de la NSA consisterait à supprimer
la plupart de ces très (trop!) visibles emprises, génératrices de manifestations constantes des mouvements pacifistes, d'investigations
parlementaires, comme ce fut le cas pour le Parlement européen, et les fuites de fonctionnaires locaux. Il est très vraisemblable
que, dans l'avenir, le projet IOSA permettra de s'affranchir de ces difficultés en effectuant les interceptions de satellites
par d'autres satellites ou par des drônes. Les informations recueillies seront immédiatement transmises sur le sol américain
par des satellites-relais, pour y être traitées. Prétendre être en mesure de traiter, dans un projet tentaculaire, l'intégralité
des communications électroniques de la planète prend chaque jour davantage des allures de chimère. Le 24/01/2000, la direction
de la NSA avait été contrainte de rendre publique une gigantesque panne informatique, qui a affecté durant trois jours l'ensemble
du traitement et de l'analyse des informations recueillies par sa machine à siphonner les informations du monde.
Un déluge de données
à traiter
Le directeur de la NSA, le général
d'aviation Michael Hayden, avait dû alors admettre que ses machines avaient été "submergées" par des déluges de données, qu'elles
sont incapables de traiter en telles quantités. Non que l'agence de Fort Meade ne se soit garanti les moyens de disposer des
meilleures machines du monde : depuis les années 60, elle est la première et la principale cliente des fabricants américains
de super calculateurs, et, dès la même époque, en prtemier lieu, des machines créées par le génial Seymour Cray, mort en octobre
1996 dans un accident de voiture. La course à la puissance informatique est devenue l'une des priorités absolues de la NSA,
qui ne peut plus se satisfaire des capacités offertes par les plus grandes entreprises du secteur, celles qui sont capables
de développer des super ordinateurs.
Des milliards de
dollars en jeu
Dans un mouvement qui fait de ces
firmes de pointe le fer de lance mondial de l'informatique de puissance, la NSA finance à coups de milliards de dollars des
programmes stratégiques, exactement comme le Pentagone arrose de deniers publics l'industrie aéronautique militaire, qui peut
de la sorte s'appuyer sur ces financements pour développer des appareils civils.
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Un centre de recherche d'OVNIs
en Chine
En attendant, China Daily a annoncé qu'une compagnie de
Taiwan établit un centre de recherches d'OVNIs sur le continent qui coûtera autour $20 millions.
Ceci est construit parce que les gens dans cette zone disent
qu'ils ont été rendus visite par l'aliens en 1994. C'est un exemple sans précédent de coopération entre les deux pays, d'autant
plus que la Chine a souvent menacé d'envahir Taiwan, qui s'est déclaré indépendant du continent après la deuxième guerre mondiale.
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Le rapport documente sur la communication avec un vaisseau spatial dans
l'atmosphère de la Terre et couvre la période du 2 Août 1952 jusqu'à l'époque de la rédaction.
Une communication a aussi été établie avec plusieurs planètes dans notre propre
système solaire et avec un vaisseau spatial dans notre atmosphère venant autres systèmes solaires.
Pour la plupart... des messages ont été reçus en Code Morse International par
radiotélégraphie.
Il y eu un cas où la radiotélégraphie fut employée par les intelligences du vaisseau spatial.
Source: The saucers speak ! (1954; Los Angeles, 1959 ; Londres 1963)
de George Hunt Williamson (1926-1986)
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Kennedy le secret de son assassinat
Kennedy, après avoir été élu président et avoir été informé des OVNIs récupérés et des projets secrets
qui incluaient l'étude des survivants, il voulut rendre ces informations publiques. Forestal, le ministre de la Défense et
membre de Majestic 12, avait déjà essayé d'en faire autant, il fut jeté par la fenêtre de ]'hôpital avec un drap de lit autour
du cou le 22 mai 1949.
Kennedy eut droit à un traitement similaire. Il fut assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas. (103 A)
Le premier coup de fuil vint effectivement du toit de l'entrepôt mais il n'était pas mortel. Le coup
mortel fut donné par le conducteur de sa propre voiture, l'agent de la CIA William Greer qui visa la tête de Kennedy avec
une arme propre à la CIA. Quand on regarde au ralenti le film original de l'attentat et qu'on prête attention au chauffeur,
il est clair que celui-ci se retourne, l'arme à la main, tire et c'est alors que l'arrière de la tête de Kennedy éclate.
Dans les films projetés dans la plupart des pays occidentaux, le chauffeur n'apparaît pas. Dans une
émission de l'ARD (première chaîne de télévision allemande), le "Spiegel TV", on essaya, le 21 novembre 93, de convaincre
les spectateurs que l'ttentat n'avait rien à voir avec la CIA alors que la RTL diffusait, presqu'au même moment, un avis contraire.
Sans parler des commentaires, on ne montra sur les deux chaînes qu'une seule fois le film en entier ; dans les films suivants,
il n'y avait pas le chauffeur. Mais celui qui savait où il devait porter son attention pouvait dans le film original reconnaître
le chauffeur tirant avec son arme.
John Lear, fils de Lear Aircraft (aujourd'hui propriétaire) et autrefois désigné comme le meilleur
pilote de l'US Air Force (avec 17 records du monde), trouva trois films originaux, entre autres au Japon. Il les fit analyser
par un ordinateur pour prouver leur véracité. Lui-même et William Cooper, ex-membre de la Navan Intelligence (service secret
de la NAVY) et auteur de "Behold a Pale Horse", font, de nos jours, des conférences aux Etats-Unis où l'on peut obtenir les
films originaux par leur intremédiaire (voir adresse dans la bibliographie). William Cooper perdit sa jambe droite à casue
de ce film : il fut victime d'un ettentat en 1973. La télévision japonaise a, par la suite, diffusé plusieurs fois ces films
originaux dans les actualités télévisées aux heures de grande écoute. L'analyse par ordinateur permit d'identifier l'arme
et la décrivit comme étant d'un calibre spécial employé par la CIA. Quant à la bal1e, il s'agissait également d'un projectile
spécialement conçu par la CIA qui exposa dans le cerveau de Kennedy et provoqua sa désintégration.
Avaient participé à la préparation de l'attentat les membres de la Orlando Bosch, E. Howard Hunt, Frank
Sturgis et Jack Rubenstein (alias Jack Ruby). La CIA épongea, en remerciement, les énormes dettes de jeu de Ruby.
Lee Harvey Oswald, qui aviait aussi été membre de la CIA, travaillait au moment de l'attentat pour
Jack Ruby. Sa mort fut programmée. Jack Ruby le tua avant qu'il ne pût prouver son innocence. Le coupable était trouvé ; il
ne pouvait plus prouver le contraire. (104)
La CIA haïssait Kennedy. Il éiait, d'après elle, responsable de la mauvaise tournure que prenaient
leurs projets concernant le Viêt-nam, Cuba et les OVNIs. Un collaborateur de la CIA, qui avait participé à l'opération de
la "Baie des Cochons", dit que toutes les personnes travaillant dans son secteur se levèrent et applaudirent lorsqu'ils apprirent
la nouvelle de la mort de Kennedy. Aux auditions devant le comité spécial pour attentats, nombre de ces faits furent dévoilés
mais selon la loi de sûreté de l'Etat américain, les archives sont closes jusqu'en 2029. Après ces auditions, la CIA se vit
défendre toute opération secrète à l'intérieur des Etats-Unis. (Qui peut croire qu'elle s'y est tenue ?)
Tous les témoins de la conspiration furent tués ou moururent d'un cancer foudroyant qui leur avait
été injecté de chauffeur qui avait tiré, mourut, par ex., trois semaines après l'attentat).
D'après le "Warren-Commission-Report", rapport officiel de l'attentat contre Kennedy, LEE HARVEY OSWALD
aurait été l'unique tueur. C'st ce qu'on pouvait lire déjà neuf heures plus tard dans tous les journaux américains. La conspiration
de la CIA et du Comité des 300 fut passée sous silence. Pour une bonne raison : Les Illuminati avaient été très efficaces
en contrôlant les agences de presse.
Ceci ce un exemple parmi d'autres qui prouve que des nations entières reçoivent pendant des décennies
des informations erronées, jusqu au jour ou un chercheur courageux se donne la peine de faire des investigations.
ROBERT F. KENNEDY, le frère de J. F. KENNEDY, qui faisait aussi obstacle aux Illuminati dut mourir
le 5 juin 1968, juste avant de gagner les élections présidentielles. Dans ce cas-là, le tueur unique était SIRHAN SIRHAN.
Celui-ci était sous l'effet d'une drogue préparée par la CIA pour cette circonstance spéciale. Pour être sûr que Sirhan Sirhan
ne manquerait pas sa cible, le garde du corps de Howard Hughes avait tiré avec la "balle supplémentaire" que l'on trouva,
plus tard, dans la tête de Kennedy. Selon les dires du juge d'instruction s'appuyant sur les preuves balistiques, la bouche
de l'arme a dû être éloignée de 5 à 8cm de la tête de Kennedy ; quant à l'arme de Sirhan, elle était éloignée d'au moins 30cm.
Ceci fut aussi dissimulé au public. Les publications internes du CFR et de l'ordre "Skull & Bones" contiennent, cependant,
ces informations. D'après le § 12 des "Protocoles", il faut supprimer les personnes qui sont une entrave au "plan". (105)
Vous trouverez en particulier dans le livre de Will iam Cooper "Behold a Pale Horse" l'histoire complète
de l'attentat avec les noms, les données et des faits concrets ainsi que les relations entretenues par les Etats-Unis avec
les extra-terrestres.
Jan Van Helsing
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Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(page 283)
« C'est surtout aux États-Unis que l'on agit contre les documents de Cooper. Ce
qui est compréhensible, vu que c'est Cooper qui a révélé que c'est W. Greer [Bill Greer???], le chauffeur, qui a tiré
sur Kennedy. Cooper a été le premier à montrer des photos de Groom Lake, la base secrète souterraine qui teste et étudie les
OVNI, c'est lui qui a filmé les disques volonats à antigravitation et qui a montré l'endroit où il les avait vus au producteur
de télévision japonais Yun-ichi Taoi. Les images des objets volants ont été montrées au journal télévisé japonais. Yun-ichi
Taoi a également diffusé le film original de Zaprunder sur l'assassinat de Kennedy, où l'on voit distinctement que c'est le
chauffeur qui tire. Vous pouvez trouver ce film auprès du "European Archive", à Sneek, Pays-Bas.
Dans les médias occidentaux, on ne parle que très peu de ces choses. Dans les livres
d'école japonais on peut apprendre que J.F. Kennedy a été assassiné parce qu'il voulait dévoiler des secrets sur les extraterrestres.
C'est Yun-ichi Taoi qui le dit. x
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"Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues
et des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant de faire place nette, sans
quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa Majesty douze de son
intention de révéler l'existence des aliénigènes à toute la nation l'année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan
de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères. Aussi
ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations
étrangères, je n’ai pu trouver aucune liste légitime où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes
étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de "Comité des politiques". Aux Etats-Unis, ce
comité était supervisé par le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue.
La décision du président Kennedy fit l'effet d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat
fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l'ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John
F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège et l’acte
est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand vous voyez le film. Tous les
témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont très bien vu William Greer tirer sur
Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans les deux
années qui suivirent son meurtre. Rien d'étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n'ait abouti à aucun résultat concluant
puisque la majorité de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a
fort bien réussi à obnubiler le peuple américain.
Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur le mystère extranéen, ils ont connu
la même fin tragique. A l’heure actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées dans l’assassinat
sont mortes. La probabilité que toute ces personnes soient mortes au hasard est si faible que personne n’a été capable
de la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers témoins soient morts dans les 2 ans suivant l’assassinat a été
calculée à une chance contre cent mille milliers de milliard. "
Milton William Cooper
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Voici la déclaration possible de Kennedy qu'il aurait dû dire le jour de son
assassinat.
Déclaraton de Sananda:
Source provenant d'un site écrit en "chainneling".
Donc cette explication est soumise à caution.
"Je vais demander aujourd'hui à Candace
d'afficher le texte du discours que le Président John Kennedy devait prononcer le jour de son assassinat. [22 novembre 1963] Il
avait dans sa poche des bristols sur lesquels était écrit son discours; quelqu'un les a récupérés sur sa dépouille et les
a mis en sûreté... Ce soir-là, il devait annoncer notre présence dans le ciel. Cet homme fut, et de loin, l'un des plus grands
présidents que vous ayez jamais eus, et c'est bien sûr la raison pour laquelle sa vie fut écourtée. Il prévoyait d'agir en
TOUTE honnêteté, et il avait suffisamment de cran pour le faire. Si vous n'avez jamais lu ce discours,
quand vous l'aurez fait, vous aurez une idée du temps qu'il nous aura fallu tous attendre pour cet événement, et vous comprendrez
pourquoi vous avez vécu dans la frustration durant toutes ces années, sachant que vous étiez ici pour quelque chose sans parvenir
à en saisir la raison. Il y a longtemps que vous auriez dû le savoir, si ces événements n'avaient pas été autant différés;
mais il n'y a plus de délai, et cela, je vous l'assure en toute certitude.
...Il est 8 h 30 du matin là où vit Candace, et j'ai pris la peine
de la déranger un peu plus tôt ce matin pour ce court message, parce que le temps "file" et que j'ai moi-même une longue journée
qui m'attend. Et donc, je vous le redis, avant toute chose, Allez en Paix!
Namaste! "
Déclaration de Candace par le biais de Sananda
"Et donc maintenant,
voici le discours du Président Kennedy. LE PRÉSIDENT KENNEDY: Chers
concitoyens américains et peuples de la Terre, je vous fais savoir aujourd'hui que nous nous préparons pour un voyage dans
une nouvelle ère. Un âge, l'enfance de l'humanité, se termine, tandis qu'un nouvel âge est sur le point de commencer. Ce
voyage dont je vous parle est plein de défis insondables, mais je crois que tous nos antécédents, toutes nos luttes d'hier,
n'ont eu d'autre but que de préparer notre génération à son avantage. Citoyens
de la Terre, nous ne sommes pas seuls. Dieu, dans Son infinie sagesse, a jugé bon de peupler Son univers avec d'autres êtres,
des créatures intelligentes comme nous-mêmes. Comment puis-je avancer cela avec une telle
autorité? En 1947, nos forces armées ont récupéré dans le désert pelé du Nouveau Mexique les débris d'un aéronef d'origine
inconnue. La science a déterminé que ce véhicule provenait des lointains confins de l'espace. Depuis cette date, notre gouvernement
est en contact avec les créateurs de ce vaisseau spatial. Bien que cette information puisse paraître
fantastique - et en fait, terrifiante - je vous demande de l'accueillir sans peur excessive ni pessimisme. Je vous assure,
en tant que votre Président, que ces êtres n'ont aucune intention de nous faire du mal. Au
contraire, ils promettent d'aider notre nation à triompher des ennemis communs à toute l'humanité - la tyrannie, la pauvreté,
la maladie, la guerre. Nous avons déterminé qu'ils ne sont pas des ennemis, mais des
amis. Ensemble, avec eux, nous pouvons créer un monde meilleur. Je ne peux pas vous dire
si quelque faux-pas ou fourvoiement nous attendent sur la route qui s'offre à nous. Je crois
que nous avons trouvé la véritable destinée du peuple de ce grand pays: conduire le monde vers un futur glorieux. Dans
les jours, les semaines et les mois à venir, vous en apprendrez plus sur ces visiteurs, sur la raison de leur présence ici,
et vous saurez pourquoi nos dirigeants ont gardé le secret de leur présence depuis si longtemps. Je
vous demande de regarder l'avenir, non pas avec timidité, mais avec courage, parce que nous pouvons réaliser à notre époque
l'ancienne vision de la paix sur Terre et de la prospérité pour l'humanité tout entière. Dieu
vous bénisse. " CANDACE: Pouvez-vous tous voir maintenant ce qui aurait pu se passer? Ceux
d'entre vous qui sont suffisamment âgés pour se rappeler de Kennedy doivent avoir ressenti comme moi-même que quelque chose
de très sombre et terrible s'était passé ce jour-là, et que ce n'était pas le fait d'un simple tireur isolé agissant confusément.
J'ai ressenti la même chose le 11 septembre 2001, et j'ai su tout de suite au fond de mon coeur que cet événement avait de
graves et mauvaises implications. En fin de compte, nous allons surmonter tout
cela. Préparons notre voyage, et ne laissons plus jamais de tels événements se reproduire sur notre Terre. Une fois encore,
nous pouvons voir les bienfaits de ces retards. Nous avons appris plus de choses, et nous avons grandi en prenant la résolution
de changer. Les leçons qui nous ont été inculquées peuvent nous permettre de réclamer un pouvoir plus grand encore. L'heure
est maintenant venue. Allons-y. "
Source provenant d'un site écrit en "chainneling".
Traduit
par Georges Paris.
Donc cette explication est soumise à caution.
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Une présence intraterrestre révélée (voir extraterrestre)
Colossales explosions en Tunguska (Sibérie) en 1908 et 2002.
L'Agence de Sécurité Nationale de Russie parle.
Les passages suivants sont une transcription d'une interview filmée de Valery Uvarov, de la
National Security Academy de Russie, réalisée par Graham W. Birdsall, éditeur de la revue britannique UFO Magazine. L'interview
a eu lieu à l'occasion du 12e Festival du Film/Congrès International sur les OVNI qui s'est tenu du 2 au 8 février 2003 à
Laughlin, dans le Nevada, aux États-Unis. Cette interview est parue en premier lieu, dans sa version anglophone originale,
dans le numéro d'avril 2003 d'UFO Magazine, en Angleterre puis dans le magazine Nexus Australie en été 2003 et finalement,
cette version francophone, dans Nexus édition française à l'automne 2003.
Crédit Graham W. Birdsall
Graham Birdsall (GB) : Quel est votre titre officiel ?
Valery Uvarov (VU) : Je suis chef du service de recherches et d'informations scientifiques et techniques
sur les OVNIS de la National Security Academy, basée à St. Petersbourg, en Russie.
GB : Il s'agit d'une agence gouvernementale russe officielle ?
VU: Absolument. Je suis sous les ordres de deux personnes, lesquelles doivent rendre des comptes à leur
supérieur direct qui n'est autre que notre Président (Poutine).
GB
: En quoi consiste exactement votre travail ?
VU: Nos activités
de recherche se divisent en deux parties. Tout d'abord, nous analysons constamment des données nous parvenant du monde entier.
Nous extrayons alors de notre base de données les informations que nous jugeons les plus intéressantes, après leur avoir attribué
un code de couleur (rouge ou jaune). Ces informations sont ensuite diffusées dans divers services à travers la Russie. L'autre
aspect de nos recherches découle de la question suivante: les OVNIS existent-ils ou pas ? Nous sommes sûrs qu'ils existent
mais qu'est-ce qui se cache derrière leur activité, quel est leur intérêt ? C'est pour nous le point le plus important
et celui sur lequel nous concentrons principalement nos investigations.
GB : Il y a une coopération active entre la NASA et les responsables du domaine aérospatial russe, d'un point de vue
technique, scientifique et peut-être même militaire. Êtes-vous en contact ou avez-vous des liens avec des organisations étrangères
similaires à la vôtre ?
VU: Je peux vous dire, en toute honnêteté,
que deux jours avant de m'envoler pour les États-Unis, j'ai eu une entrevue avec mes... disons, mes patrons. Et ils se sont
dits très intéressés par une coopération avec d'autres organisations... disons, nos amis occidentaux. Je peux donc vous dire
que cette mission particulière n'en est qu'à ses débuts. Je suis chargé de trouver les bonnes personnes. Une fois que ce sera
fait, et que l'étape suivante sera activée, nous pourrons faire quelques avancées concrètes.
GB : Un peu plus tôt, hors caméra, vous avez fait allusion à certains développements importants concernant
l'explosion de Tunguska de 1908. Pouvez-vous officiellement nous dire pourquoi vous pensez désormais en connaître la cause
?
VU: Ce n'est pas simplement une supposition; nous en connaissons
la cause. C'était un météore, mais un météore qui a été détruit par... disons, un missile. Ce missile avait été généré par
une installation matérielle. Nous ne savons pas qui l'a construite mais elle a été construite il y a très longtemps et se
situe en Sibérie, à plusieurs centaines de kilomètres au nord de Tunguska. Je peux vous dire que notre enquête a révélé qu'il
y avait eu plus d'une explosion à Tunguska. Permettez-moi de vous faire partager l'une de nos informations. La dernière fois
que cette installation a tiré un missile c'était les 24 et 25 septembre de l'an dernier. Les Américains... ils possèdent trois
bases... ont, eux aussi, remarqué cette explosion.
GB : Pardonnez-moi
mais certains diront que cela a des airs de science-fiction.
VU:
Graham, vous savez que lorsque nous parlons des vérités qui se cachent sous ce sujet, nous ne le faisons qu'avec ceux qui
comprennent la responsabilité inhérente au sujet. Et vous savez que nous avons affaire à une technologie bien plus avancée
que la nôtre, à une technologie capable de faire des choses qui nous sont impossibles.
GB : Pouvez-vous nous donner plus de précisions sur l'emplacement de cette installation ?
VU: Recherchez le site de l'explosion de Tunguska. Au sud-est se trouve le
célèbre grand Lac Bâikal. Au-delà, vers le nord, un immense territoire stérile pratiquement inhabité s'étend sur 100 000 km².
On n'y trouve ni ville ni village. C'est là que nous avons localisé l'installation...
GB : Êtes-vous au courant d'histoires étranges ou de rumeurs concernant ce que l'on appelle la «Planète
X» ? Si un nouveau corps céleste était entré dans notre système solaire, les astronomes l'auraient sûrement détecté et auraient
signalé sa présence.
VU: Je ne sais pas ce qu'il en est pour
les astronomes occidentaux-mais les nôtres affirment que nous n'avons rien à craindre. J'ai entendu des gens parler d'une
rotation de 3 600 années pour cette planète, qui se trouve sur une orbite similaire à celle de la Terre mais derrière le Soleil.
Nous savons que cette planète et l'installation de Sibérie ont un lien étroit. Permettez-moi de dire que je crois que l'installation
maintient cette planète sur une orbite stable. Si cette planète venait à bouger, à changer d'orbite, tout le système solaire
deviendrait instable. Au sein de l'association, nous sommés sûrs que cette planète est habitée et que l'installation est conçue
pour protéger à la fois ses habitants et nous-mêmes. Nous sommes persuadés que rien de dangereux ne surviendra. Tout est sous
contrôle. Nos investigations ont montré que la Terre avait une impulsion - une fréquence parfaitement réglée qui affecte absolument
tout, toute chose vivante. Il y a quelque 12 500 ans, cette impulsion correspondait aux 360 jours de l'année - étudiez l'ancien
calendrier égyptien - mais c'est alors qu'un astéroïde a frappé la Terre. Nous pensons que l'orbite de la Terre a été modifiée,
artificiellement, pour contrebalancer cela. Notre planète s'est éloignée du Soleil, jusqu'à atteindre une impulsion de fréquence
de 365. Cela nous a amenés à penser que nous avons des amis - des amis qui veillent sur nous, en silence. Ils n'ont pas
laissé, et ne laisseront pas non plus à l'avenir, une planète, une comète ou un astéroïde frapper et détruire la Terre. C'est,
pour nous, un point parfaitement clair aujourd'hui. Et dire qu'il y en a qui souhaitent doter l'espace d'armes... pour
vous dire la vérité, cela fait mal au coeur de tous ceux d'entre nous qui sont impliqués dans ce projet: Nous sommes là, en
train d'enquêter sur cette installation, et sur d'autres choses, des choses matérielles, construites ni par les Russes ni
par les Américains mais par quelqu'un d'autre, quelqu'un originaire de l'espace extra-atmosphérique. Quelle tristesse d'imaginer
ce qui pourrait arriver si l'espace était doté d'armes. Je vais vous parler franchement. Cette installation possède un
système électrique, une source d'énergie. Nous l'avons localisé. C'est pendant le conflit en ex-Yougoslavie que nous avons
pour la première fois remarqué une augmentation de cette énergie. Cela nous paraissait incroyable mais nous savons maintenant
que cette installation réagit aux conflits et bouleversements sociaux. Une partie de nos recherches impliquant de fouiller
d'anciens registres et documents d'archives, nous sommes tombés sur les textes de l'Echutin Apposs Alanhor [sic]. Nous les
appelons l'Alanhor et ils remontent au moins à 4 000 ans. Ils décrivent l'installation, en termes scientifiques, relativement
à ce qu'il s'y passait. C'est stupéfiant. Je me suis rendu là-bas deux fois. La première fois, notre équipe a détecté des
niveaux élevés de rayonnement. Je dois avouer que c'était très dangereux, nous ne pouvions pas nous protéger. Les rares habitants
de la région avaient bien sûr entendu parler de l'installation et nous l'ont décrite. Ils ont parlé de structures semblables
à du métal et nous les ont dessinées. Nous avons tout relevé sur une carte. Mais ces gens, leurs familles et les animaux souffraient
de maladies dues à l'irradiation. Les niveaux de rayonnement sont continuellement contrôlés depuis six ans et aujourd'hui
tout le monde - y compris les animaux - a déserté la forêt. Laissez-moi vous confier quelque chose à propos de l'explosion
de Tunguska - quelque chose dont on n'a jamais parlé auparavant. Deux mois avant l'explosion, tous les animaux ont fui la
région. On aurait dit que l'installation s'était mise sous tension pour s'occuper de l'astéroïde. Cela s'est accompagné d'une
augmentation du rayonnement. La même chose se produit actuellement, aujourd'hui même.
GB : A-t-on prévu de monter une autre expédition dans la région et de visiter l'installation ?
VU: Le rayonnement est un facteur à prendre en compte mais, oui, une autre
expédition est prévue pour un peu plus tard dans l'année. Ecoutez, nous ne voulons rien cacher. Nous serons heureux d'accueillir
des participants du monde entier mais les personnes que nous invitons doivent être responsables aux yeux du monde. Nous voulons
des gens honnêtes, ouverts et transparents, désireux de coopérer et d'échanger puis de diffuser les informations scientifiques.
Je vous invite, Graham, à venir en Russie et à visiter l'installation au titre d'observateur.
GB : Ce serait un grand honneur. Merci.
VU:
Vous pouvez dire à tout le monde que nous, les Russes, avons décidé qu'il était temps que d'autres personnes soient au courant,
et pas juste un petit nombre.
A propos de l'auteur de ces articles Le
Dr Valery Mikhailovich Uvarov a consacré plus de quatorze années à l'ufologie ainsi qu'à l'étude des legs des civilisations
anciennes. Il est l'auteur de nombreux articles sur la paléotechnologie et les paléosciences ainsi que sur l'ufologie et l'ésotérisme,
publiés dans la presse russe et étrangère. Il est l'initiateur de plusieurs expéditions en Inde et en Egypte, aux quelles
il a participé, à la recherche de preuves matérielles de connaissances antiques. Il participe régulièrement à des rencontres
internationales d'ufologie et donne des conférences et des séminaires en Russie, au Royaume-Uni, en Allemagne et en Scandinavie.
Il a pris la parole aux congrès Nexus d'Amsterdam et de Brisbane en 2004 et en 2005.
Département N13 de l'Académie nationale
de sécurité, Saint Pétersbourg, Russie. E-mail : nsa@homeuser.ru
D'autres articles ou dossiers sur l'affaire des explosions de Tunguska :
News TF1 http://news.tf1.fr/news/sciences/2003/0,,1117311,00.html http://news.tf1.fr/news/sciences/2004/0,,3166538,00.html
Journal Libération http://www.liberation.fr/page.php?Article=230016
Site LUXURION (Astronomie) http://www.astrosurf.org/lombry/impacts-tunguska.htm
Site RR0 http://www.rr0.org/Dossier/1908-06-30_Tunguska/index.html
Source de l'interview:
Concernant l'explosion dans la Taïga du 30/06/1908, à 7h du
matin, les habitants de la région de Kansk, en Sibérie, virent une trainée fulgurante illuminer le ciel et se perdre au loin
dans la steppe. En 1959, le professeur Gueo gui Piekhanov, et en 1962, le prof. Ziegler annonçaient : "Sur le lieu du cataclysme,
le cratère ne ressemble pas du tout à un cratère de météorite et nous y avons relevé une radioactivité intense. Tout permet
de penser qu'il s'agit d'une explosion nucléaire produite à une certaine hauteur dans l'atmosphère, ou encore de la désintégration
d'un bloc d'anti-matière." {Livre, Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Robert
Charroux, Ed. J'Ai Lu}
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L'explosion du 30 juin 1908, au dessus de la Toungouse sibérienne
: "L'astronome Félix Siégel, qui étudia l'étrange trajectoire de cette chose venue d'un autre espace, affirme que l'objet
de la Toungouse changea deux fois de trajectoire avant de se désintégrer. Cette manoeuvre compliquée n'aurait pu être exécutée
que par une machine volante pilotée ou controlée à distance." {Livre, Archives du savoir perdu (Les), Guy Tarade, Ed. Robert
Laffont}
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Un rapport spécial du Crystal Ball Newsletter (P.O. Box 4080, Torrance, CA 90510) intitulé "Le Mystère
du Barbier" (The Shaver Mystery) relate un incident tragique intervenu dans le Canada du sud. L'incident impliqua un groupe
d'explorateurs qui se rendit dans une caverne où ils découvrirent, tout au fond, une chose étrange. Ils trouvèrent dans l'une
des chambres de la caverne un conduit parfaitement cylindrique ayant apparemment été foré directement dans la roche, vers
le bas. Le conduit était bien trop parfait pour avoir été le résultat d'un phénomène géologique naturel (des conduits semblables,
d'ailleurs, ont été rencontrés dans de nombreuses autres cavernes de par le monde). Alors qu'ils étaient en train d'étudier
le "forage", ils furent soudain et sans avertissement attaqués par des créatures d'environ 1,20 m ou peut-être un peu plus.
Ces attaquants utilisèrent une sorte de rayon calorifique contre les explorateurs innattendus. Les créatures étaient semblables
à la description faite de beaucoup des occupants liés aux rencontres d'ovnis, ou les "gris" comme de nombreux ufologue les
désignent aujourd'hui. L'un des témoins déclare que, lorsque l'attaque intervint, il fut assommé dans une niche isolée. Lorsqu'il
"revient à lui", les autres explorateurs étaient soit morts soit manquants. Il souffrait lui-même de méchantes brûlures; celles-ci
étaient en fait si graves qu'il en mourut quelques jours plus tard, mais fut auparavant capable de rejoindre péniblement un
village proche et d'avertir les autres de se qui s'était passé. L'entrée de la caverne fut alors détruite à l'aide de dynamite
afin d'empêcher quiconque d'y entrer à nouveau.
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L’OVNI de Geos-9
Le jeudi 17 avril 1997, à 8 heures, le satellite américain Geos-9 communiquait
à la Terre une photographie d’un « très grand objet anormal » au-dessus de l’Alaska. L’image fut diffusée
sur plusieurs sites Internet.
Une demi-heure plus tard, une seconde image montrait que l’objet qui se déplaçait
vers le sud, se trouvait alors à l’ouest de la côte nord de Vancouver Island. La photographie montrait également
un « objet anormal de la même taille » au-dessus du Pacifique, à environ 80 km à l’ouest de San Francisco.
A 9 heures, Geos-9 communiquait une troisième image montrant que l’objet de San
Francisco avait disparu, alors que le premier objet était de retour au-dessus de l’Alaska.
Les deux objets avaient une taille de 40 km.
A 11 heures, une quatrième image de Geos-9 enregistrait un nouvel « objet » moitié moins
grand que les deux autres, et qui, stationnait au-dessus du Colorado.
A 14 heures, le FBI lança une alerte générale, parlant d’une « menace potentielle
» au centre du NORAD de Cheyenne Mountain.
Le major général Jeff Grime précisa qu’il n’y avait pas de menace sur la
ville proche de Colorado Springs. Les mesures de sécurité auraient, selon lui, été prises pour protéger le personnel de la
base.
Cette remarque suscita des questions. Car, s’il n’y avait aucune menace,
pourquoi protéger une base ?
Selon une dépêche de l’agence Reuter, la porte-parole du NORAD, Frankie Webster,
refusa toute discussion sur la nature des mesures de sécurité.
Les rumeurs allèrent bon train sur plusieurs sites Web. Il est à souligner que les images
envoyées par Geos-9 furent retirées de ces sites dès le vendredi matin.
Quelques jours plus tard, un scientifique annonça que les « objets » étaient en réalité
des anomalies dues à une défaillance du programme du satellite.
Cette explication peut sembler plausible. Cependant, si ces images n’étaient dues
qu’à une simple défaillance technique, pourquoi boucler tout le secteur de Cheyenne Mountain et lancer une alerte générale
?
La réponse a été : « procédure automatique de sécurité ».
Peut-être mais il s’est tout de même écouler 6 heures entre la première détection
et l’enclenchement de la procédure.
Les radars de poursuite du NORAD sont capables de détecter et d’identifier des
objets de très petite taille. Pourtant, ils n’ont pas été capables d’identifier des objets de 40 km de diamètre.
Ces radars ont été utilisés pour vérifier les images de Geos-9. S’ils n’ont rien détecté d’anormal, dans
ce cas, pourquoi toute cette agitation ?
On a du mal à croire qu’une alerte générale à été déclanchée et que le NORAD est
passé en DEFCON-4 (premier niveau d’alerte avant une éventuelle riposte nucléaire) juste pour quelques parasites informatiques.
La question est : « Quels objets sont rentrés dans notre atmosphère le 17 avril 1997
?
Source : UFO Roundup, 20 avril 1997.
Fichier Banque OVNI, 6 mai 1997.
< Ovni. Ufologie. Phénomènes célestes
Source: http://www.dinosoria.com/insolite_ovni.htm
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Des messages extraterrestres détectés
"Le premier message [avec les Extra Terrestres] date de
1899. Nikola Tesla interceptait alors à son laboratoire du Colorado d'étranges signaux dénotant la présence d'une intelligence
extra-terrienne. Selon lui, des êtres techniquement très avancés tentaient d'entrer en communication avec nous. En 1921, Guglielmo
Marconi, l'inventeur de la T.S.F., interceptait des signaux apparemment codés de l'Espace. En 1924, au moment du plus grand
rapprochement de Mars, le docteur David Todd, professeur d'astronomie au collège Amherst, enregistrait des signaux radio d'origine
non identifiée. D'autres signaux inexplicables étaient encore reçus en 1927, 1928 et 1964, selon le docteur Ronald Bracewell
de l'Institut de Radio Astronomie de l'université de Stanford. En 1959, la NASA interceptait des signaux d'un satellite
inconnu orbitant autour de la Terre. Cette même année, la National Science Foundation, Fondation Nationale pour les Sciences,
mettait sur pied un programme d'écoutes des messages spatiaux. Et l'effroi s'emparait bientôt de certains scientifiques devant
l'abondante récolte de messages."
{Livre, Etrangers de l'espace (Les), Donald E. Keyhoe (Major),
Ed. France Empire}
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"Le 2 septembre 1921, Marconi avait capté des messages
sur une longueur d'onde inconnue de notre planète. Il fut fermement convaincu avoir reçu des communications situées hors de
notre espace. Dans le New York Times du 2 septembre 1921, J. Macbeth, directeur de la compagnie de téléphonie sans fil
Marconi, exposa le point de vue de ce dernier : "Marconi ne peut accepter qu'il s'agisse de perturbations atmosphériques ou
électriques puisque les signaux furent captés régulièrement."
{Livre, Archives du savoir perdu (Les), Guy Tarade, Ed. Robert
Laffont}
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SHELL aurait récupéré un OVNI vieux de 600 ans dans les années 70…
Les faits remonteraient aux années 70 et ont été traduit de «UFO Official d’août 1978 par
l’organisme du GREPI»
La plate-forme de
la Shell « Pacesetter 2 », était installée sur le plateau continental, à 140 km de la côte du New Jersey, dans le « Georges
Bank ». Lors du premier essai de forage, ils cognent sur quelque chose en métal. Pensant que c’est un bateau coulé ou
un sous-marin de la 2ème Guerre Mondiale, ils consultent le War Departement et l’Allemagne de l’Ouest, mais aucune
perte n’avait été enregistrée dans cette zone. Les sondages au sonar détectent un objet d’à peu près 15 m de diamètre,
par 200 m de fond. Quatre treuils sont descendus, et l’objet est remonté à la surface. Il est couvert de coquillages
et de crustacés cirripèdes. Une fois l’objet dégagé de ses parasites, une forme de « soucoupe volante » apparaît. Le
responsable de la plate-forme appelle immédiatement ses supérieurs par radio à Atlantic City.
Trois officiels de la Shell
arrivent en hélicoptère, accompagnés par un physicien du Massachusetts Institute of Technology. Les inspections préliminaires
révèlent que l’engin a été immergé pendant environ 600 ans et contient un équipement qui « n’est pas de ce monde
», et qu’on ne peut l’identifier. Un autre hélicoptère arrive avec 5 agents de la CIA, qui produisent une autorisation
de la Maison-Blanche, et les informent qu’un bateau est en route pour récupérer l’appareil. La CIA essaie d’arrêter
les physiciens dans leur opération de démontage de l’objet, mais un officiel de la Shell leur dit que tout ce qui se
trouve sur la plate-forme est et reste propriété de Shell Oil Co, et qu’ils ne leur laisseront pas l’objet avant
l’arrivée du bateau. Un assortiment de gadgets fut mis à jour, comprenant une tige qui produisait un arc électrique
ressemblant à un éclair, qui causa un trou dans les nuages au-dessus d’eux, et une substance ayant l’apparence
du mastic, qui fit une énorme explosion quand un petit morceau en fut jeté à l’eau. Le bateau de la CIA arriva peu après,
et les agents commencèrent à emballer les étranges gadgets dans des sacs molletonnés. Ceux-ci, avec la soucoupe et les morceaux,
furent transférés sur le bateau. L’homme qui rapporta ces faits retourna à Atlantic City avec les officiels de la Shell.
Tous les hommes sur la plate-forme durent jurer de garder le secret, et de ne rien divulguer de ce qui était arrivé. Aucune
communication ne fut jamais publiée au sujet de cet objet…
Source: http://tyron29.oldiblog.com/?page=lastarticle&id=504040
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MAJESTIC 12 Organisation secrète concernant le phénomène OVNI
L'existence du document relatif au Majestic-12 a été révélée
par William Moore lors du Symposium de Mufon Ufo Network, en juin 1987 à Washington D.C. A l'origine, cette pièce de huit
pages était parvenue sous la forme d'une pellicule photographique dans une enveloppe de papier d'emballage au domicile de
Jaime Shandera, producteur d'une station de télévision de Los Angeles, en décembre 1984. Deux ans plus tôt, Jaime Shandera
s'était joint à William Moore et au physicien nucléaire Stanton Friedman pour effectuer un travail en équipe basé sur la recherche
de documents officiels prouvant l'implication du gouvernement américain dans la dissimulation de la vérité en matière d'Ovnis. | Le document "Majectic-12", bien que très controversée,
pourrait être authentique car personne n'a réussi à établir qu'il s'agissait d'un faux.
Les documents du MJ12 (Majestic 12) ont séduit de nombreux
chercheurs et ufologues, avant d'apparaître comme des faux habiles dépassant les limites du canular ou de l'action individuelle.
Ainsi, sur un prétendu mémo adressé par le président Truman au général Twining est reproduite la signature du président, empruntée
à un vrai document. Un tel détail ne saute pas immédiatement aux yeux, mais est voué à être découvert tôt ou tard... Le doute
est donc jeté. Puisqu'un cachet officiel, un en-tête administratif ou la signature d'un président de l'Etat était devenu une
preuve de l'implication des autorités américaines dans le dossier OVNI, il fallait déconsidérer ceux-ci et jeter le trouble
en répandant le FAUX.
Ce document se compose de deux éléments totalement différents. Sept pages relatives au "Majestic-12"
et un mémorandum d'une page signée par le président Harry Truman adressé à James Forrestal, en date du 24 septembre 1947,
relatif à une opération du "Majestic-12". Si la signature du président Truman est authentique, les sept page sont l'oeuvre
d'un habile faussaire. Cette fraude visait deux buts, discréditer les affaires de crashes d'Ovnis et ridiculiser l'équipe
Moore - Friedman - Shandera.
La présence du Dr Donald Menzel dans la liste des douze membres du "Majestic-12" sur le
document pourrait constituer un élément probant pour indiquer que la fabrication vient d'une agence de sécurité. Le Dr Donald
Menzel était un astrophysicien de haut niveau, qui eut l'occasion de travailler pour plusieurs agences de sécurités et l'USAF,
il travailla pour l'US Navy durant la Deuxième Guerre mondiale en comme cryptographe. Il publia son premier livre "Flying
Saucers" en 1953 où il expliquait que les soucoupes volantes était un phénomène optique associé à des mirages. Il fit de fréquent
déplacements à Washington D.C. et au Nouveau-Mexique entre 1947 et 1949 pour des missions gouvernementales. Des
traces de ses voyages sont dans ses notes de frais, disponibles à la bibliothèque de Harvard College Observatory. Dans les
archives nous trouvons des correspondances de Menzel avec des hommes puissants, tel que John Fitzgerald Kennedy. Le Dr Donald
Menzel était sans aucun doute un agent au service du gouvernement et il fut impliqué au niveau le plus élevé des secrets d'Etat!
Sa présence dans un éventuel groupe secret dévolu aux problèmes des OVNI n'est absolument pas fantaisite et nous comprenons
mieux pourquoi le Dr Menzel publia trois livres destinés à banaliser les OVNI.
Lorsque Jaime Shandera prit connaissance
du contenu de la pellicule, en décembre 1984, il contacta ses deux associés. Ils décidèrent de commencer une recherche auprès
des Archives Nationales à Washington, où sont centralisés les dossiers périmés de l'administraion américaine. En 1985, Bill
Moore mit la main sur le mémo Curler datant du 14 juillet 1954, un mémorandum de sécurité limitée d"estiné au général
Twining dont le sujet est "Projet d'études spéciales NCS/MJ-12". Dans ce mémo, le président décide d'avancer une réunion du
MJ-12. A l'époque, le général Twining était devenu le chef de l'USAF. En 1947, au moment du crash de Roswell (Nouveau-Mexique),
il était déjà le patron de l'Air Materiel Command, l'organisme qui dirige tous les services de renseignements de l'USAF. L'authenticité
de ce mémo est irrefutable!
Dès la première chute d'une soucoupe volante, le 2 juillet 1947 à Rosewell, plusieurs
organisations secrètes furent créées. Elles s'occupaient de tout ce qui concernait les Ovnis. La plus importante fut l'opération
"Majestic-12" , également connu sous les noms de "MJ-12" ou "Majic-12", fondée le 12 septembre 1947 par le président Truman
et dont dépendaient tous les autres projets (MAJESTY est le nom de code pour le président, MAJIC (MAJI-Controlled) serait
la classification de secret associée aux opérations de ce groupe). Parmi les membres, il y avait le Dr Vannevar Bush, conseiller
scientifique du président ; le ministre de la Défense Forrestal et aussi, plus tard, Nelson Rockefeller, Allen Dulles, chef
de la CIA et J. Edgar Hoover, chef du FBI. Les autres faisaient partie du CFR. Tous les douze étaient aussi membres de la
"Jason Society", de l'élite de l'ordre "Skull & Bones". Le siège du groupe situé à Maryland, accessible seulement par
les airs, est connu sous le nom de "Country Club" par les cercles d'initiés. Les Delta Forces (opérations spéciales) sont
des unités de combat spécialement formées pour les projets du Majestic-12.
Le PROJET MAJI (Majority Agency for Joint Intelligence) réunit toutes les informations concernant les services secrets.
MAJIC (à ne pas confondre avec la classification Magic, associée en 1940 aux messages japonais décryptés), signifie contrôlé
par MAJI. Toutes les informations et désinformations à propos des OVNIs et des extra-terrestres sont exploitées par MAJI,
en collaboration avec la CIA, la NSA, le DIA (service de renseignements de la défense du pays) et le Naval Intelligence (service
secret de la marine). Les projets conçus sous la direction du Majestic 12 étaient, entre autres, les suivants : |
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LE PROJET GRUDGE / PROJET SIGN Ce projet est une refonte du PROJET SIGN. Il concerne l'étude des
phénomènes Ovnis. Gratifiée d'une priorité inférieure. Parfois référencé comme la Commission "Soucoupe", ce projet était centralisé
à la base de Wright-Patterson (Ohio). Le but du projet est de collecter confidentiellement un maximum de véritables informations
sur le sujet, mais de systématiquement trouver des explications "rationnelles" à diffuser au public et aux militaires, ainsi
que de déclarer publiquement que les ovnis n'existaient pas réellement. Le 27 Décembre 1949, le projet présente un rapport
officiel sur 244 observations, dont les 23 % de cas inexpliqués sont attribués à une cause d'ordre psychologique.
LE PROJET TWINKLE Sous-commission du PROJET GRUDGE, instaurée fin Mars 1950, le projet Twinkle ("scintillement")
vise à enquêter sur le phénomène des "boules lumineuses vertes" (green fireballs) au Nouveau Mexique.
LE PROJET BLUE BOOK / PROJET UFO Se rapporte au sauvetage et à la récupération d'objets volants tombés à terre,
et, de concert avec le projet ROBERTSON-PANEL, il vise à désinformer intentionnellement le public. Le projet a but officiel
de trouver une explication pour l'ensemble des témoignages d'observations d'ovnis, déterminer si les ovnis représentent une
menace pour la sécurité des Etats-Unis et déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les Etats-Unis pourraient
exploiter.
LE PROJET MOON DUST Apparement créé le 25 avril 1961, conçu à l'origine pour récuperer les débris d'objets
spatiaux lancés par les soviétiques qui pouvaient rompre leur orbite et s'écraser. Un document du Q.G. de l'USAF en date
du 3 novembre 1961 fait état de ce projet sur la récupération de débris mais aussi un soutien aux projets MOON DUST,
BLUE FLY et UFO (ancien projet BLUE BOOK ). Il existait déjà au moins un projet de ce type avant le lancement
de Spoutnik 1 (4 octobre 1957), par les soviétiques. Mais pour récuperer quoi?
LE PROJET BLUE FLY Projet étroitement lié au projet MOON DUST, il semble avoir été crée avant
celui-ci, en février 1960 puis intégré dans le PROJET MOON DUST.
Le PROJET SIGMA Concerne la communication avec la race des EBE (Extraterrestrial Biological Entity), les Short Grey
(petits Gris).
LE PROJET SNOWBIRD Se rapporte à la technologie d'objets volants extra-terrestres pour tenter de piloter un de ces
objets.
LE PROJET AOUARIUS Sert de couverture pour coordonner les programmes de recherche et de contacts avec les extra-terrestres.
LE PROJET GARNET Etudie l'influence des extra-terrestres sur l'évolution humaine.
LE PROJET POUNCE Concerne le dépouillement des vaisseaux spatiaux qui ont chuté et les examens biologiques faits sur
les corps des passagers.
LE PROJET REDLIGHT Décide des essais à faire en vol avec des vaiseaux spatiaux qui ont été trouvés ou été mis à disposition
par des extra-terrestres. Ce projet est mené, en ce moment, dans le domaine de AREA 51 / GROOM LAKE, au Nevada.
LE PROJET LUNA Nom de code pour la base extra-terrestre sur la lune qui fut observée et filmée par les astronautes
d'Apollo. On y exploite une mine, et on y gare tes grands astronefs en forme de cigare.
LE PROJET REVELATION Le Projet met à la disposition des membres du Congrès et des médias près de 500 pages de témoignages
officiels et plus de 4 heures de vidéo. Une multitudes d’informations y sont présentées, notamment l’existence
de 57 espèces ou races extra-terrestres humanoïdes répertoriées et classées depuis 1989 par les scientifiques militaires et
la révélation que certains de ces extra-terrestres sont à ce point semblables aux humains, qu’ils se trouvent parmi
nous depuis longtemps sans que nous en ayons conscience. |
| Source: http://secretebase.free.fr/ovni/dossiers/majestic12/majestic12.htm
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Il y a en Argentine et Uruguay 1 personne
sur 1000 qui pense que les soucoupes volantes n'existent pas alors qu'en France, 1 personne sur 1000 pense que cela existe
: Là bas le phénomène OVNI est tellement courant que les gens n'y prètent plus guère attention. Au Japon, on parle de civilisations
extra terrestres et des vaisseaux spatiaux aux informations à la télé. En Russie, en Italie, en Allemagne, on parle librement
de rencontre du 3ème type.
Magazine, Horizons virtuels, No
4, 09/2002,
La France culturellement isolée
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