
Bonus: 3. LE MOTEUR PANTONE (en bas de la page)
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Nous montrons ici en dessous cette introduction-conclusion
que le pétrole touche à sa fin, et de plus qu'il pollue énormément la Terre.
D'ici 2007, voir au mieux 2020, les statistiques
sont irrévocables, il n' y aura pour ainsi dire plus de pétrole sur Terre !
Nos gouvernements profitent à fond du système,
pour exemple même s'il n'est pas pour autant écologique, le moteur "Pentone" breveté depuis 1998 aurait déjà pu être
commercialisé depuis au moins l'an 2000, mais cela n' a pas était fait, et ce n'est même pas à l'ordre du jour.
Avec ce moteur couplé
au système G nous aurions une consommation en carburant pour les voitures de l'ordre de 4 fois moins importante que
celle actuelle ! Tout est sur le journal TOP SECRET N°22, les gouvernements prennet les gens pour "des vaches à lait". Le
problème, c'est comment taxer de l'eau ? Ce moteur fonctionne en grande partie à base d'eau.
Nous pouvons vous dire que ce moteur est tout
à fait compétitif au niveau performance et prix par rapport à tout que ce qui ce fait actuellement sur le marché!
Alors réagissons au plus vite, 80% des énergies
en 2006 sont à base du pétrole, les énergies éoliennes et solaires seront loin d'être suffisantes. L'énergie nucléaire est
à oublier à cette échelle, et est de plus très dangeureuse à utiliser et à maîtriser. Aussi, les voitures électriques ou à
hydrogène ne sont pas des solutions écologiques...
Nous connaissons LA SOLUTION PROPRE: LES ENENRGIES
EXTRATERRESTRES.
Pour les obtenir, il y a actuellement deux
solutions:
Demandons aux gouvernements terrestres qui
la possèdent de nous la fournir,
ou sinon OFFICIALISONS AU PLUS VITE des "Extraterrestres",
car sans officialisation, il n' y aura pas d'aide. Le partage cela va dans les deux sens !
Alors faisons passer le message au plus vite
autour de Nous.
Plus nous tardons, plus nous avons de probabilité
d'avoir une très grave crise économique et sociale pouvant conduire à un KO.
Plus nous attendons, plus longue sera cette crise que
les "Hommes" ne pourraient peut-être pas se remettre...
Nous sommes Tous prévenus de l'enjeu.
Nos groupes
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Notre planète est malade,
très malade : dérèglement du climat, pollution de l'air et de l'eau, épuisement des sols, disparition d'innombrables espèces
animales et végétales... Les signaux d'alerte ont beau clignoter, ils rencontrent une incrédulité quasi générale. Comme si
le caractère inédit de ces phénomènes échappait à l'entendement commun et à la lecture des dirigeants politiques. La cause
de ce déni ? L'idéologie productiviste : indifférence à la nature, primauté de l'économique sur toute autre considération
- fût-elle environnementale, sociale ou politique -, mais aussi dimension démiurgique de la technologie. C'est ainsi qu'à
l'échelon international toutes les négociations environnementales - décrites de l'intérieur par les auteurs, qui en relatent
les faux espoirs et les ambiguïtés perverses - semblent détournées dans le sens des intérêts du marché et des sociétés industrielles.
C'est un cri d'alarme que poussent Yves Cochet et Agnès Sinaï : il est plus qu'urgent de prendre conscience de la menace qui
pèse sur notre planète, et donc sur nous tous, et d'agir en adoptant une attitude de responsabilité écologique.
Yves
Cochet & Agnès Sinaï Sauver la Terre Fayard (Octobre 2003)
Madame Agnès Sinaï |

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Monsieur Yves Cochet |

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Homme politique des Verts en France |
1. Les prévisions très alarmistes
Dans le journal Le Monde daté du mardi
12 juillet 2005, Yves Cochet nous livre une nouvelle analyse de la déplétion de l'extraction du pétrole. Le niveau d'expertise
du député Vert sur le pic est devenu un des meilleurs en France. Yves Cochet prend même de gros risques en pronostiquant
les dates du déclin en 2005 pour les hydrocarbures conventionnels et en 2007 pour tous les hydrocarbures (revue Silence,
Février 2005). Sa conclusion est invariable" Le choc est donc inévitable. Il y a pas de plan B."
Ce discours sur le caractère inéluctable de la pétroapocalypse
qui va provoquer d' " énormes instabilités économiques et sociales, disloquer les pouvoirs politiques et provoquer des
guerres " est désormais le leitmotiv du député Yves Cochet. Il existe pourtant tout un courant qui se retrouve sous la
bannière de la décroissance et qui, loin de sombrer dans le fatalisme, considère qu' il est de notre devoir de faire face
à l'avenir. Composé de personnes aux sensibilités diverses, ce mouvement de résistance travaille à la préservation de l'humanisme
et la démocratie, conscient que le pétrochoc présente tous les risques de faire sombrer nos sociétés pétrodépendantes soit
vers un modèle autoritaire, soit vers la barbarie. De nombreuses idées sont en discussion dans le courant de la décroissance
: la relocalisation de l'économie, la sortie de l'automobile, la désindustrialisation au profit d'une économie fondée sur
de petites entités de production, la désaliénation de la consommation comme système idéologique, etc.
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Rfi - Radiofranceinternationnale


Les cours du baril de pétrole augmentent.
Le Premier ministre français parle aujourd’hui de choc pétrolier. Des mesures sont prises pour éviter la faillite des
agriculteurs, des pêcheurs et des transporteurs routiers. Que se passe-t-il ? Le choc que nous connaissons n’est
pas de même nature que ceux de 1973 et de 1979. Cette fois-ci, il n’y aura plus de retour à un pétrole bon marché. La
nouveauté de la situation actuelle tient, pour l’essentiel, à trois facteurs - géologique, économique et géopolitique
- qui n’étaient pas présents jadis et qui contribuent à l’augmentation des prix du pétrole et, par propagation,
de toutes les énergies. L’inflation contaminera tous les autres secteurs d’activités, sur tous les continents.
Les conséquences de ce triple choc
se feront d’abord sentir dans les secteurs des transports et de l’agroalimentaire. Les modes de production et
de consommation seront bouleversés par l’entrée dans l’ère de l’énergie chère, ce sera la fin du monde tel
que nous le connaissons. Les premiers symptômes de cette redoutable épreuve pour la paix, la solidarité et la démocratie sont
déjà là : hausse tendancielle inéluctable du prix des hydrocarbures, tensions internationales et guerres au Moyen-Orient.
Les sociétés de sobriété sont le
seul espoir de maintenir nos valeurs humaines et d’offrir un monde vivable à nos enfants.
Disponible en librairie
à partir du 15 septembre 2005
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Jean
Laherrère, géologue et membre de l'Aspo , il a travaillé à divers postes de responsabilité chez Total.
Il est aujourd’hui consultant de renommée mondiale sur les problématiques de réserves et d’exploration concernant
le pétrole et le gaz naturel.
«Le déclin peut intervenir
dès 2007»
(L'Express du 14 février 2005, propos recueillis par Georges Dupuy)
Monsieur Jean Laherrère |

|
Géologue et membre de l'Aspo |
Une chose est sûre: nous allons
vers le déclin des ressources pétrolières. Savoir quand et avec quelle intensité est une autre histoire. Cela peut intervenir
en 2007 si la Chine continue d'augmenter son importation de 30% par an.
Suivant les prévisions officielles,
la consommation grimpera à 120 millions de barils par jour, contre 83 millions aujourd'hui. Côté réserves, les chiffres officiels
tablent sur une quarantaine d'années de production. Cela ne veut rien dire: il faut savoir quand le pétrole va décliner et
nous sommes ici au royaume de l'incertitude. D'abord pour des raisons techniques - vous savez ce qui se passe dans le puits,
mais, à 100 mètres de là, vous ignorez tout du sous-sol. Ce n'est pas à partir de quelques points de mesure que l'on peut
savoir ce qui est en terre. Ensuite, la production dépend des conditions économiques et politiques: si vous avez un gisement
difficile et que les prix s'écroulent, vous arrêtez de produire.
Il faut savoir aussi que le
montant des réserves est une donnée éminemment politique. Tout a commencé en 1985, quand, pour faire remonter les prix qui
s'étaient écroulés, l'Opep a été contrainte de mettre en place des quotas de production. Ceux-ci étaient fondés sur deux critères:
la population des pays membres et l'ampleur de leurs réserves. Dans ces conditions, tout le monde avait intérêt à déclarer
des réserves supérieures à ce qu'elles étaient réellement. Il y a un formidable écart entre les chiffres publiés par les gouvernements
et ceux des études techniques. Ainsi, les réserves restantes saoudiennes varient, selon les sources, de 130 à 290 milliards
de barils, et celles de l'Iran, de 40 à 130 milliards. Les réserves techniques confidentielles baissent depuis 1980, alors
que les réserves politiques montent depuis qu'elles sont publiées. Ce qui reste à découvrir est moindre que ce que l'on a
déjà découvert. Dans cette incertitude, ce qui compte, c'est le moment du déclin. Nous avons consommé 1 000 milliards
de barils et il nous en reste de 1 000 à 2 000 milliards à produire. Ce n'est pas la fin du pétrole, mais le déclin
peut arriver très rapidement. Si la demande baisse - soit à cause des prix élevés, soit en raison de la crise économique -
le déclin pourrait être repoussé jusque vers 2015. Mais il aura lieu.
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Jean-Luc
Wingert est ingénieur et consultant. Il a notamment travaillé pour de grands groupes industriels français, dont EDF. Il
est également épisodiquement journaliste pour une revue consacrée aux énergies renouvelables (Système solaire).
"La vie après le pétrole"
de Jean-Luc Wingert:
Le
pétrole est partout y compris dans une tranche de jambon : élevage, fabrication d’aliments pour animaux, engrais,
emballage... Le pic de production de pétrole va arriver. Par quoi le remplacer ? Il n’y a pas une énergie de substitution.
(les énénergies extraterrestres sont la solution - Nos groupes) Or aujourd’hui tous
les systèmes économiques continuent de vivre comme si l’or noir était inépuisable.
Record de consommation d’électricité... au point que la France a du importer de l’énergie...
le froid de début mars 2005 provoque une surchauffe du système de production électrique. Basé sur le nucléaire... il a pourtant
besoin de thermique classique fuel et charbon pour faire face aux pointes de consommation. C’est dans ce contexte que
parait un livre passionnant et inquiétant : "la vie après le pétrole" de Jean Luc Wingert aux éditions Autrement.
Le pétrole est partout y compris dans une tranche de jambon : élevage, fabrication d’aliments pour animaux,
engrais, emballage... le secteur agroalimentaire est un grand consommateur d’énergie. Même s’il est moins gourmand
que les transports.
On sait que le pétrole est une énergie non renouvelable. Alors à quand sa fin ? Parce que cette question est terrible,
les réponses sont auréolées de mensonge. Un tiers des réserves déclarées par l’OPEP les pays producteurs n’existent
pas.
Alors que les quantités mondiales de pétrole consommées sont de plus en plus importantes, celles qui sont découvertes
le sont de moins en moins : actuellement, nous découvrons chaque année deux à trois fois moins de pétrole que nous en
consommons. Cette tendance ne peut se prolonger indéfiniment... Et si le pétrole a déjà connu plusieurs crises, il semble
que celle qui nous attend soit d’une ampleur inédite et arrive bien plus tôt que nous ne l’imaginons généralement...
Le pic de production devrait intervenir en 2 015. A compter de cette date, nous entrerons dans la déplétion :
la production de pétrole commencera à chuter. Par quoi le remplacer ? Il n’y a pas une énergie de substitution.
Le gaz et son pic de production en 2 030, 2 050 pour le charbon et l’uranium sont eux aussi des énergies finies. Les
énergies renouvelables n’arriveront pas à faire tourner le monde tel qu’il vit aujourd’hui.
La vie après le pétrole c’est : moins de transports, ce sont des économies d’énergie : elles
peuvent nous permettre de diviser notre consommation par deux.
C’est une relocalisation des marchés. Produire près des lieux de consommation. Et c’est le plus vite possible,
"la taxation du pétrole" dit l’auteur : 30% pour financer la révolution vers la sobriété. C’est donc une
réelle prise de conscience... Or aujourd’hui tous les systèmes politiques et économiques continuent de vivre comme si
l’or noir était inépuisable.

Alors que les quantités
mondiales de pétrole consommées sont de plus en plus importantes, celles qui sont découvertes le sont de moins en moins :
actuellement, nous découvrons chaque année deux à trois fois moins de pétrole que nous en consommons. Cette tendance ne peut
se prolonger indéfiniment... Et si le pétrole a déjà connu plusieurs crises, il semble que celle qui nous attend soit d’une
ampleur inédite et arrive bien plus tôt que nous ne l’imaginons généralement…Comment la situation peut-elle évoluer
? Quand risquons-nous d’être confrontés à une pénurie ? Qu’est-ce que le pic de production du pétrole ? Et surtout,
comment et avec quelles énergies alternatives appréhender, anticiper et vivre cet « après-pétrole » ? Voici les questions
auxquelles La Vie après le pétrole tente de répondre de manière didactique et accessible grâce à des schémas commentés et
des encadrés.
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Serge Lepeltier, Ministre de l'écologie et du dévloppement durable.
Monsieur Serge Lepeltier |

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Ecologie
industrielle : le cri d’alarme du ministre de l’Environnement.
Lors de l’inauguration de la chaire d’écologie
industrielle à l’Université de Technologie de Troyes, Serge Lepeltier a interpellé les étudiants sur la nécessité impérieuse
de sortir du "tout pétrole". L’EST ECLAIR du 12/03/2005 En page : 6 sur 1 page(s).
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Il serait aussi stupide d’être
pour le tout nucléaire, qu’il est stupide d’être pour le tout pétrole. Il faut donc aboutir à un véritable
mixte énergétique, c’est à dire équilibrer nos sources énergétiques pour ne pas, en quelque sorte, mettre
tous les œufs dans le même panier parce que nous avons aujourd’hui plusieurs défis écologiques. Le premier défi
écologique, je le disais, c’est le réchauffement climatique, il faut donc absolument limiter nos consommations de pétrole.
Il y a un deuxième défi écologique qui est celui des déchets nucléaires, donc là aussi, nous avons un véritable défi et il
faut résoudre ce problème.
Il faut impérativement que,
dans notre quotidien, nous, citoyens, d’abord nous fassions des efforts, des efforts au quotidien, des efforts nombreux
dans nos transports, dans notre façon de vivre. Ce sont aussi des efforts, évidemment, pour l’industrie, pour les entreprises.
Ce sont des efforts pour les collectivités locales. Il faut qu’on développe des technologies moins consommatrices d’énergie.
C’est la première chose.
Extraits
d'interview accordée par Serge Lepeltier, Ministre de l’écologie et du développement durable à Radio Classique .
3 juin 2004
2. Prévisions un peu moins alarmistes
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Prévisions plus optimistes pour les pays de l'Opep,
mais à notre avis bien mensongées .
(l'Expension du 30 mars 2000)
Réserves sur le déclin en
2014 d'après l'Opep
Le temps joue en faveur de l'Opep. Les ressources pétrolières
commenceront à décliner dès 2014, et seul le recours à des sources « non conventionnelles » (pétrole très lourd, schistes
bitumineux) prolongera l'utilisation de cette énergie. A l'horizon 2020, l'Agence internationale de l'énergie estime que le
pétrole « conventionnel » ne couvrira que 60 % des besoins et que près des deux tiers de sa production viendront du Moyen-Orient.
« Dans vingt ans, l'Opep aura beaucoup plus de pouvoir qu'aujourd'hui », estime Joseph Stanislaw, directeur général du Cera
(Cambridge Energy Research Associates). Mais l'élasticité entre croissance et énergie diminuant de plus en plus, « ce pouvoir,
ajoute-t-il, s'exercera dans un domaine beaucoup moins important pour l'économie mondiale ». De quoi rassurer les pays consommateurs.
Les onze pays membres de l'Opep sont l'Algérie, l'Arabie
saoudite, les Emirats arabes unis, l'Indonésie, l'Irak, l'Iran,le Koweït, la Libye, le Nigeria, le Qatar, le Venezuela.
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Jean-Marie Chevalier
est professeur à l'université Paris-Dauphine où il dirige le Centre de géopolitique de l'énergie et des matières premières
(CGEMP). Il a publié de nombreux ouvrages et articles sur l'industrie et l'énergie.
Monsieur Jean-Marie Chevalier |

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Dirige le Centre de géopolitique de l'énergie et des matières premières |
Les prix vont donc continuer à
grimper ?
On ne sait pas. Le prix du baril peut très bien redescendre en-dessous
des 30 dollars comme il peut passer au-dessus des 60 dollars ! Le problème à long terme c'est que dans les situations de trouble,
comme aujourd'hui, les investissements d'infrastructures ne se font pas. En Irak par exemple, on a découvert de nouvelles
réserves mais on ne peut pas les exploiter tant que le pays ne sera pas stabilisé.
A quand estimez-vous l'épuisement des réserves de pétrole ?
On ne peut pas donner de date précise.
Le concept de réserve est élastique : en 1973, lors du premier choc pétrolier, on les estimait à 30 ans ! Aujourd'hui, on
les estime à 47 ans de consommation (2020). Mais entre-temps, on va découvrir de nouvelles zones à explorer, et les améliorations
techniques permettront sans doute de reculer encore ces prévisions. Le prix aussi joue un rôle de régulateur : plus il est
élevé, et plus on va mettre en œuvre des nouveaux moyens de récupération.
Comment diminuer notre dépendance
au pétrole ?
D'abord, il faut diminuer la consommation.
On pourrait économiser 20% d'énergie sans modifier notre mode de vie, et ce aussi bien dans l'industrie, les transports ou
la consommation des ménages. Pour les voitures, en particulier, il faut taxer lourdement les véhicules les plus puissants
qui polluent et consomment le plus. Ensuite, il faut diversifier les énergies au maximum : l'éolien, le solaire, l'hydraulique,
et le nucléaire dont on ne pourra pas se passer. D'ailleurs des pays comme la Chine ne basent pas leur développement économique
sur le pétrole. Ils construisent par exemple en ce moment le plus grand barrage du monde. Finalement, je pense que la diminution
de la consommation de pétrole sera plus dictée par des obligations de lutte contre la pollution que par une véritable pénurie.
3. LE MOTEUR PANTONE
"Le système américain Pantone, du nom de son inventeur. Un
Américain a mis au point en 1998 un système pour diviser par deux la consommation
Le système fonctionne et a par exemple
été mis en place par un agriculteur de Maresches, dans le Nord. Très économique, beaucoup moins polluant... Sans les lobbys
pétroliers, il y a fort à parier qu'il serait déjà commercialisé en masse.
Créé en 1998 par un Américain, Paul Pantone,
le système s'adapte aux moteurs essence ou diesel. Les moteurs de voitures de camions, les groupes électrogènes, les chaudières...
peuvent en être équipés. Il fonctionne à l'eau et au carburant. Le principe consiste à utiliser les molécules d'hydrogène
contenues dans l'eau pour donner un meilleure rendement au moteur.
Concrètement, l'invention se traduit par une pollution
des gaz d'échappement réduite de 80% et par une consommation de carburant divisée par deux. En outre, le système est assez
facile à mettre en place : quelques plaques de métal et un poste à soudure permettent de le construire. L'agriculteur de Maresches
que nous avons rencontré (voir le reportage ci-contre) a mis une journée pour fabriquer l'appareil et l'installer sur son
tracteur.
Reste à espérer qu'en ces temps de flambée du prix des carburants, l'invention de Paul Pantone intéressera
davantage et pourra être commercialisée. Pour plus d'informations voir
Vidéo de démonstration du moteur Pentone
Vidéo de démonstration du moteur Pentone (suite)

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