Dossier mis en ligne
le
5 novembre 2007.
LA PAIX
- COMMENT L'OBTENIR SUR NOTRE PLANETE ?
DES SOLUTIONS TRES IMPORTANTES
LA PAIX AVEC UN BON SYSTEME POLITIQUE & RELIGIEUX
LA PAIX AVEC UN BON SYSTEME POLITIQUE
(...)La guerre sur Urantia ne prendra jamais
fin tant que les nations s'attacheront à la notion illusoire
de souveraineté nationale illimitée. Il n'existe
que deux niveaux de souveraineté relative sur un monde
habité : le libre arbitre spirituel de chaque individu
mortel et la souveraineté collective de l'ensemble de
l'humanité. Entre le niveau de l'être humain
individu et celui de l'humanité en bloc, tous les
groupements et associations sont relatifs, transitoires et n'ont de
valeur que dans la mesure où ils accroissent le bonheur, le
bien-être et le progrès des individus et du grand
ensemble planétaire — de l'homme et de
l'humanité.
Les éducateurs religieux ne doivent
jamais oublier que la souveraineté spirituelle de Dieu
l'emporte sur tous les loyalismes spirituels intermédiaires
et interposés. Les chefs civils apprendront, un jour, que
les Très Hauts règnent dans les royaumes des
hommes.
Ce règne des Très Hauts
dans les royaumes des hommes n'est pas établi au
bénéfice spécial d'un groupe de
mortels particulièrement favorisés. Il n'y a
nulle part de “ peuple élu ”. Le
règne des Très Hauts, des
supercontrôleurs de l'évolution politique, est
destiné à promouvoir, parmi tous les hommes, le
plus grand bien pour le plus grand nombre et pour une durée
aussi longue que possible.
La souveraineté est le pouvoir ;
elle grandit par organisation. La croissance de l'organisation du
pouvoir politique est bonne et souhaitable, car elle tend à
englober des secteurs toujours plus vastes de l'ensemble de
l'humanité. Mais cette même croissance des
organisations politiques crée un problème
à chaque stade intermédiaire entre l'organisation
initiale et naturelle du pouvoir politique — la famille
— et le couronnement final de la croissance politique
— le gouvernement de toute l'humanité par toute
l'humanité et pour toute l'humanité.
Partant du pouvoir parental dans le groupe
familial, la souveraineté politique évolue par
organisation à mesure que les familles s'imbriquent en clans
consanguins qui s'unissent, pour diverses raisons, en unités
tribales — en groupements politiques super-consanguins.
Ensuite, par le négoce, le commerce et la
conquête, les tribus s'unifient en une nation, tandis que les
nations elles-mêmes sont parfois unifiées en un
empire.
À mesure que la
souveraineté passe des petits groupes à des
collectivités plus vastes, les guerres se font plus rares.
Nous voulons dire que les guerres mineures entre petites nations
diminuent, mais le potentiel des grandes guerres s'accroit à
mesure que les nations exerçant la souveraineté
deviennent de plus en plus grandes. Bientôt, quand le monde
entier aura été exploré et
occupé, quand les nations seront peu nombreuses, fortes et
puissantes, quand ces grandes nations se prétendant
souveraines en viendront à posséder des
frontières communes, quand elles ne seront
séparées que par les océans, alors le
cadre sera prêt pour des guerres majeures, des conflits
mondiaux. Les nations dites souveraines ne peuvent se coudoyer sans
engendrer des conflits et provoquer des guerres.
La difficulté pour faire
évoluer la souveraineté politique depuis la
famille jusqu'à l'humanité entière
réside dans l'inertie-résistance
rencontrée à tous les niveaux
intermédiaires. À l'occasion, des familles ont
défié leur clan et, de leur
côté, des clans et des tribus ont souvent
refusé de se soumettre à la
souveraineté de l'État territorial. Chaque
nouveau progrès évolutif de la
souveraineté politique est (et a toujours
été) embarrassé et
gêné par les “ stades
d'échafaudage ” des développements
antérieurs de l'organisation politique. Cela est vrai parce
que les loyalismes humains, une fois mobilisés, sont
difficiles à modifier. Le même loyalisme qui rend
possible l'évolution de la tribu rend difficile
l'évolution de la “ supertribu ”
— l'État territorial. Et le même
loyalisme (le patriotisme) qui rend possible l'évolution de
l'État territorial complique immensément le
développement évolutionnaire du gouvernement de
l'ensemble de l'humanité.
La souveraineté politique est
créée grâce à l'abandon de
l'autodétermination, d'abord par l'individu à
l'intérieur de la famille, et ensuite par les familles et
clans par rapport à la tribu et aux collectivités
plus étendues. Ce transfert progressif de
l'autodétermination à des organisations
politiques toujours plus vastes s'est
généralement poursuivi sans répit en
Orient depuis l'établissement des dynasties Ming et Mogol.
En Occident, il a prévalu, pendant plus de mille ans,
jusqu'à la fin de la guerre mondiale ; un malencontreux
mouvement rétrograde inversa ensuite temporairement cette
tendance normale en rétablissant la souveraineté
politique effondrée de nombreuses petites
collectivités européennes.
Urantia ne jouira pas d'une paix durable avant
que les nations dites souveraines ne remettent intelligemment et
pleinement leurs pouvoirs souverains à la
fraternité des hommes — au gouvernement de
l'humanité. L'internationalisme — les ligues des
nations — est impuissant à amener une paix
permanente parmi les hommes. Les confédérations
mondiales de nations empêcheront efficacement les guerres
mineures et contrôleront acceptablement les petites nations,
mais elles ne réussiront ni à empêcher
les guerres mondiales, ni à contrôler les trois,
quatre ou cinq gouvernements les plus puissants. En face de conflits
réels, l'une de ces puissances mondiales se retirera de la
Ligue et déclarera la guerre. On ne peut empêcher
les nations de se lancer dans la guerre tant qu'elles restent
contaminées par le virus illusoire de la
souveraineté nationale. L'internationalisme est un pas dans
la bonne direction. Une force de police internationale
empêchera bien des guerres mineures, mais elle sera
inefficace pour empêcher les guerres majeures, les conflits
entre les grands gouvernements militaires de la terre.
À mesure que décroit le
nombre des nations vraiment souveraines (des grandes puissances),
l'opportunité et le besoin d'un gouvernement de
l'humanité s'accroissent. Quand il n'y aura plus que
quelques puissances réellement souveraines (grandes), il
faudra soit qu'elles s'embarquent dans une lutte à mort pour
la suprématie nationale (impériale), soit qu'en
abandonnant volontairement certaines prérogatives de
souveraineté, elles créent le noyau essentiel
d'un pouvoir supranational qui servira de commencement à la
souveraineté réelle de toute
l'humanité.
La paix ne viendra pas sur Urantia avant que
chaque nation dite souveraine n'abandonne son pouvoir de faire la
guerre entre les mains d'un gouvernement représentatif de
toute l'humanité. La souveraineté politique est
innée chez les peuples du monde. Quand tous les peuples
d'Urantia créeront un gouvernement mondial, ils auront le
droit et le pouvoir de le rendre SOUVERAIN. Et, quand une telle
puissance mondiale représentative ou démocratique
contrôlera les forces terrestres, aériennes et
navales du monde, la paix sur terre et la bonne volonté
parmi les hommes pourront prévaloir — mais pas
avant cela.
Citons un exemple marquant du
dix-neuvième et du vingtième siècle.
Les quarante-huit États de l'Union
fédérale américaine jouissent de la
paix depuis longtemps. Ils n'ont plus de guerres entre eux. Ils ont
abandonné leur souveraineté au gouvernement
fédéral et, par la force des armes, ils ont
renoncé à toute prétention aux
illusions de l'autodétermination. Chaque État
règle ses affaires intérieures, mais ne s'occupe
pas des affaires étrangères, des tarifs de
douane, de l'immigration, des questions militaires, ni du commerce
entre États. Les États individuels ne s'occupent
pas non plus des questions de citoyenneté. Les quarante-huit
États ne souffrent des ravages de la guerre que si la
souveraineté du gouvernement fédéral
est soumise à quelque danger.
Ayant abandonné les sophismes
jumeaux de la souveraineté et de
l'autodétermination, ces quarante-huit États
jouissent entre eux de la paix et de la tranquillité. De
même, les nations d'Urantia commenceront à jouir
de la paix quand elles abandonneront librement leurs
souverainetés respectives entre les mains d'un gouvernement
global — la souveraineté de la
fraternité des hommes. Dans ces conditions mondiales, les
petites nations seront aussi puissantes que les grandes, de
même que le petit État de Rhode Island a ses deux
sénateurs au congrès américain
exactement comme l'État populeux de New York ou le vaste
État du Texas.
La souveraineté (d'État)
limitée de ces quarante-huit États fut
créée par les hommes et pour les hommes. La
souveraineté superétatique (nationale) de l'Union
fédérale américaine fut
créée par les treize premiers de ces
États dans leur propre intérêt et dans
l'intérêt des hommes. Un jour, la
souveraineté supranationale du gouvernement
planétaire de l'humanité sera
créée d'une manière similaire par des
nations dans leur propre intérêt et dans
l'intérêt de tous les hommes.
Les citoyens ne naissent pas dans
l'intérêt des gouvernements ; ce sont les
gouvernements qui sont créés et
établis dans l'intérêt des hommes.
L'évolution de la souveraineté politique ne
saurait avoir d'autre fin que l'apparition du gouvernement de la
souveraineté de tous les hommes. Toutes les autres
souverainetés ont des valeurs relatives, des significations
intermédiaires et un statut subordonné.
Avec
le progrès scientifique, les guerres vont devenir de plus en
plus dévastatrices jusqu'à équivaloir
presque à un suicide racial. Combien faudra-t-il faire de
guerres mondiales, et combien faudra-t-il voir échouer de
ligues des nations avant que les hommes soient disposés
à établir le gouvernement de
l'humanité, à commencer à jouir des
bénédictions d'une paix permanente et
à prospérer grâce à la
tranquillité due à la bonne volonté
— la bonne volonté mondiale — parmi les
hommes ?
Si un homme désire ardemment son
indépendance — la liberté —
il doit se rappeler que tous les autres hommes souhaitent vivement la
même indépendance. Des groupes de mortels aimant
ainsi la liberté ne peuvent vivre ensemble en paix qu'en se
soumettant aux lois, règles et règlements qui
assureront à chacun le même degré
d'indépendance, tout en sauvegardant ce même
degré d'indépendance pour tous leurs semblables
mortels. Si un homme devait être absolument libre, alors il
faudrait qu'un autre devienne absolument esclave. La nature relative de
la liberté est vraie dans les domaines sociaux,
économiques et politiques. La liberté est le don
de la civilisation rendu possible par l'application de la LOI.
La religion rend spirituellement possible de
réaliser la fraternité des hommes, mais il faudra
un gouvernement de l'humanité pour régler les
problèmes sociaux, économiques et politiques
associés à ce but d'efficacité et de
bonheur humains.
Il y aura des guerres et des rumeurs de guerres
— une nation s'élèvera contre une
nation — tant que la souveraineté politique du
monde sera divisée et injustement détenue par un
groupe d'États nationaux. L'Angleterre,
l'Écosse et le Pays de Galles furent constamment en guerre
les uns contre les autres jusqu'au jour où ils
abandonnèrent leurs souveraineté respectives en
les confiant au Royaume-Uni.
Une nouvelle guerre mondiale va enseigner aux
nations soi-disant souveraines à former une sorte de
fédération, ce qui créera un
mécanisme permettant d'éviter les petites
guerres, les guerres entre nations secondaires ; mais les guerres
générales se poursuivront jusqu'à la
création du gouvernement de l'humanité. La
souveraineté globale empêchera les guerres
globales — rien d'autre ne peut le faire.
Les quarante-huit États
américains libres vivent ensemble en paix, et cependant ils
abritent des citoyens de toutes les races et nationalités
alors que, chez les nations européennes, celles-ci sont
perpétuellement en guerre. Ces Américains
représentent à peu près toutes les
religions, toutes les sectes religieuses et tous les cultes de
l'ensemble du vaste monde, et cependant ils vivent ensemble en paix en
Amérique du Nord. Tout ceci est rendu possible parce que ces
quarante-huit États ont renoncé à leur
souveraineté et abandonné toute notion de
prétendus droits à
l'autodétermination.
Ce n'est pas une question d'armement ou de
désarmement. La question de conscription ou de service
militaire volontaire n'entre pas non plus en ligne de compte dans ces
problèmes pour maintenir la paix mondiale. Si l'on enlevait
aux grandes nations toutes les formes d'armement mécanique
moderne et tous les types d'explosifs, elles se battraient à
coups de poing, avec des pierres et avec des bâtons tant
qu'elles resteraient accrochées à leurs illusions
sur le droit divin à la souveraineté nationale.
La guerre n'est pas la grande et terrible
maladie de l'homme ; elle est un symptôme, un
résultat. La vraie maladie est
le virus de la souveraineté nationale.
Les nations d'Urantia n'ont pas
possédé de souveraineté
réelle ; elles n'ont jamais disposé d'une
souveraineté capable de les protéger des ravages
et dévastations des guerres mondiales. En formant le
gouvernement global de l'humanité, il ne s'agit pas, pour
les nations, d'abandonner leur souveraineté, mais
plutôt de créer effectivement une
souveraineté mondiale, réelle, durable et de
bonne foi, qui sera désormais pleinement capable de les
protéger de toutes les guerres. Les affaires locales seront
traitées par les gouvernements locaux, et les affaires
nationales par les gouvernements nationaux ; les affaires
internationales seront administrées par le gouvernement
planétaire.
La paix mondiale ne saurait être
maintenue par des traités, par la diplomatie, par des
politiques étrangères, par des alliances ou des
équilibres de puissances ni par tout autre type
d'expédient jonglant avec la souveraineté du
nationalisme. Il faut faire éclore la loi mondiale et la
faire appliquer par un gouvernement mondial — par la
souveraineté de toute l'humanité.
Sous un gouvernement mondial, les individus
jouiront d'une liberté beaucoup plus étendue.
Aujourd'hui, les citoyens des grandes puissances sont taxés,
réglementés et contrôlés
d'une manière presque oppressive. Une grande partie des
immixtions actuelles dans les libertés individuelles
disparaîtra quand les gouvernements nationaux seront
disposés, en matière d'affaires internationales,
à confier leur souveraineté à un
gouvernement général de la planète.
Sous un gouvernement planétaire, les
collectivités nationales auront réellement
l'occasion de réaliser les libertés personnelles
d'une démocratie authentique et d'en jouir. Ce sera la fin
du leurre de l'autodétermination. Avec une
règlementation globale des monnaies et du commerce, viendra
l'ère nouvelle d'une paix à l'échelle
mondiale. Un langage commun en sortirait peut-être
bientôt, et au moins on aura l'espoir d'avoir, un jour, une
religion mondiale, ou des religions ayant un point de vue
planétaire.
La sécurité collective
n'assurera jamais la paix avant que la collectivité
n'englobe toute l'humanité.
La souveraineté politique du
gouvernement représentatif de l'humanité
amènera une paix durable sur terre, et la
fraternité spirituelle de l'homme assurera
définitivement la bonne volonté parmi tous les
hommes. Il n'existe aucun autre moyen d'obtenir la paix sur terre et la
bonne volonté parmi les hommes.
(...)
LA PAIX AVEC UN BON SYSTEME
RELIGIEUX
La fraternité des hommes est
fondée sur la paternité de Dieu. La famille de
Dieu tire son origine de l'amour de Dieu — Dieu est amour.
Dieu le Père aime divinement ses enfants, sans en excepter
aucun.
Le royaume des cieux, le gouvernement divin,
est fondé sur le fait de la souveraineté divine
— Dieu est esprit. Puisque Dieu est esprit, ce royaume est
spirituel. Le royaume des cieux n'est ni matériel ni
purement intellectuel ; il est une relation spirituelle entre Dieu et
l'homme.
Si des religions différentes
reconnaissent la souveraineté spirituelle de Dieu le
Père, alors toutes ces religions demeureront en paix. C'est
seulement quand une religion prétend avoir une certaine
supériorité sur toutes les autres et
posséder une autorité exclusive sur elles qu'elle
se permet de ne pas tolérer les autres religions ou qu'elle
ose persécuter leurs fidèles.
La paix religieuse — la
fraternité — ne peut jamais exister sans que
toutes les religions soient disposées à se
dépouiller de toute autorité
ecclésiastique et à abandonner
entièrement tout concept de souveraineté
spirituelle. Dieu seul est esprit souverain.
Pour qu'il y ait égalité
entre les religions (liberté religieuse) sans guerres de
religion, il faut que toutes les religions consentent à
transférer la souveraineté religieuse
à un niveau suprahumain, à Dieu
lui-même.
Le royaume des cieux dans le coeur des hommes
créera l'unité religieuse (mais pas
nécessairement l'uniformité) parce que chaque
collectivité religieuse composée de tels
fidèles sera dégagée de toute notion
d'autorité ecclésiastique — de
souveraineté religieuse.
Dieu est esprit, et Dieu donne un fragment de
son être spirituel pour habiter le coeur de l'homme.
Spirituellement, tous les hommes sont égaux. Le royaume des
cieux est dépourvu de castes, de classes, de niveaux sociaux
et de groupes économiques. Vous êtes tous
frères.
Mais, dès le moment où
vous perdrez de vue la souveraineté spirituelle de Dieu le
Père, une religion donnée commencera à
affirmer sa supériorité sur toutes les autres.
Alors, au lieu de paix sur terre et de bonne volonté parmi
les hommes, commenceront les dissensions, les récriminations
et même les guerres de religion, ou du moins les guerres
entre fidèles de diverses religions.
À moins qu'ils ne se reconnaissent
mutuellement comme soumis à une certaine
supersouveraineté, à une certaine
autorité qui les dépasse, des êtres
doués de libre arbitre et se considérant comme
des égaux sont, tôt ou tard, tentés de
mettre à l'essai leur aptitude à gagner pouvoir
et autorité sur d'autres personnes et d'autres groupes. Le
concept d'égalité n'apporte jamais la paix, sauf
dans la récognition mutuelle d'une
supersouveraineté dont l'influence est dominante.
(...)
Aucune paix religieuse durable ne peut s'établir sur Urantia
avant que toutes les collectivités religieuses ne renoncent
librement à leurs notions de faveur divine, de peuple
élu et de souveraineté religieuse. C'est
seulement quand Dieu le Père deviendra suprême que
les hommes deviendront des frères en religion et vivront
ensemble sur terre dans la paix religieuse.
Source: Le livre
d'Urantia, extraits des pages 1486 à 1491.
http://www.urantia.org/french/fascicules/fascicule134.html
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