Note: Nous ne dévoilerons pas nos sources.

Les soucoupes volantes électriques constituent un phénomène réel et elles sont commandées
par des êtres intelligents... Certaines sont faites de main d'hommes et d'autres, ne le sont pas. Certaines sont
modernes, d'autres sont anciennes. Plusieurs organismes gouvernementaux ont dissimulé des découvertes importantes sur la situation
des OVNIs alors que plusieurs organismes affiliés n'ont jamais su qu'il s'était passé quelque chose... Certaines multinationales
ont même participé aux diverses étapes de recherche et de développement des techniques de pointe qui ont finalement conduit
à la fabrication de vaisseaux aériens, sous-marins et spatiaux à aile circulaire et à propulsion électrique. Les
sources les plus fiables de la planète ont fait état de contacts avec des êtres extra-terrestres. Le principal
indice à retenir ici est que tout ce qui touche au OVNIs relève du Département de la Défense. Pour se défendre contre quoi?...
Il est intéressant de noter que le colonel Benedick L. Freund, commandant du groupe de recherche et de développement
de l'armée américaine en Europe, avait déclaré le 18 mars 1975 que l'armée de l'air américaine avait mené des recherches ambitieuses
sur la propulsion antigravifique sous le nom de code "project bluebolt". Il ajouta qu'il croyait que l'armée de l'air avait
cessé ces recherches et qu'il était fort probable que l'Advanced Research Project Agency (DARPA) les finance pour le compte
de la Défense. Le colonel Freund croyait qu'il était encore plus probable qu'elles se fassent sous l'égide de l'ERDA (Energy
Research and Development Administration), de la NASA ou de la NSF (National Science Foundation).
En 1905, le célèbre savant Nikola Tesla a publié un document traitant des effets sur
les êtres humains des décharges électriques de hautes tension à basse fréquence. Voici un extrait de son traité:
"Un puissant courant électrique, vibrant environ un million de fois à la seconde, traverse
présentement mon bras... Tout autour de moi la force électrostatique se fait sentir et les molécules d'air ainsi
que les particules de poussière à proximité subissent l'influence de cette force et viennent frapper mon corps violemment.
Cette agitation de particules est tellement intense que lorsque la lumière est éteinte, on peut voir de faibles courants lumineux
apparaître sur des parties de mon corps. Lorsqu'un de ces courants se rompt sur une partie de mon corps, il produit la sensation
d'une piqûre d'aiguille. Si les potentiels étaient suffisamment élevés et la fréquence vibratoire plutôt basse, la peau se
romprait probablement sous cette énorme contrainte et le sang sortirait avec grande force sous forme d'une fine vapeur ou
d'un jet si fin qu'il serait invisible..."
On dispose, à travers le monde, de dossiers faisant état d'une vaste gamme de perturbations
électromagnétiques qui accompagnent le passage d'un OVNI ou le vol stationnaire de ce genre d'engins. Pour des raisons qui
deviennent de plus en plus évidentes, les données recueillies indiquent qu'il s'agit d'un appareil ayant les caractéristiques
suivantes:
1. Il est alimenté à l'électricité.
2. Le processus de génération ou d'emmagasinage de la puissance produit une chaleur
torride.
3. Le procédé électrique fait appel à des champs magnétiques résonnants.
4. Le procédé électrique génère un champ qui revêt une forme de spirale autour de son
axe vertical, donnant une rotation au disque par le fait de son interaction avec les champs magnétiques terrestres.
5. Les champs magnétiques résonnants produisent aussi de la chaleur inductive externe
de même que des courants électriques dans les objets situés à proximité.
6. Le champ du procédé électrique ne met pas en danger les occupants de l'appareil,
qui en général semblent humanoïdes.
7. Le procédé électrique paraît mettre en cause des tensions tellement élevées que
l'air s'ionise autour de l'appareil, ce qui lui donne un lustre métallique.
8. Le procédé électrique peut aussi servir à causer du mal, émettre des suggestions
subliminales et des communications conscientes à des créatures vivantes.
9. Le procédé électrique permet à l'appareil, ainsi qu'à son équipage, d'exécuter des
manoeuvres à très grande vitesse sans qu'intervienne la fatigue structurale normale.
10. En raison de la puissance des effets magnétiques qui furent relevés, la possibilité
d'entendre la résonnance du champ et l'ionisation de l'air ne peuvent mener qu'à une seule conclusion: le procédé électrique
est un champ résonnant à basse fréquence, à haute tension et de grande intensité.
Ce document, avec les travaux de Nikola Tesla, offre la clé permettant de comprendre
les procédés qui génèrent les facteurs que nous venons d'énumérer. C'est probablement la raison pour laquelle le
gouvernement américain confisqua les ecrits de Nikola Tesla à sa mort, en 1943. Ce n'est cependant pas là un obstacle insurmontable,
car d'autres ont poursuivi les recherches de Tesla.
=====
Electrogravitation - Système propulsif. Articles de Talbert
Le 20 novembre 1955, M Ansel E. Talbert, journaliste dans les domaines militaires et
aéronautiques pour le New York Herald Tribune, commence une serie de trois articles traitant des recherches mondiales (alors
d'actualité) sur le secret de la gravité. Ces recherches visent à produire de l'énergie pour propulser différents types d'avions
et de vaisseaux spatiaux... Voici des extraits de l'article complet que constitue l'Annexe 1 du présent ouvrage:
"La conquête de la gravité: objectif des plus grands scientifiques américains".
Aujourd'hui, dans beaucoup de laboratoires scientifiques et de centres de recherche de pointe américains, on en est
aux premières étapes d'un programme presque incroyable destiné à résoudre le secret de la gravité et de la gravitation universelle.
Les efforts actuels visant à comprendre la gravité et la gravitation universelle, autant à l'échelle subatomique qu'à
l'échelle de l'univers, reçoivent l'appui de beaucoup de physiciens éminents des Etats-Unis.
Au nombre de ceux-ci, on compte Edward Teller de l'Université de Californie, à qui
l'on doit principalement la mise au point de la bombe à hydrogène, J. Robert Oppenheimer, directeur de l'Institute for Advanced
Study à Princeton, Freeman J. Dyson, physicien à l'Institute for Advanced Study à Princeton et John A. Wheeler, professeur
de physique à l'Université de Princeton. Ce dernier a fait d'importantes contributions au premier projet américain de fission
nucléaire".
Le 21 novembre 1955, le second article de M. Talbert donne des précisions encore plus
fantastiques. Voici des extraits de la version intégrale que vous trouverez à l'Annexe 1:
"Des vitesses de milliers de kilomètres à l'heure sans la moindre secousses" Les scientifiques
considèrent aujourd'hui la Terre comme un aimant géant. Bien des gens en Amérique, dans les industries de l'aviation et de
l'électronique, sont enthousiastes à l'idée qu'il sera possible d'utiliser son champ magnétique et gravitationnel pour supporter
d'étonnants véhicules volants qui n'auront pas besoin de l'air pour se sustenter.
On imagine des vaisseaux spatiaux capables d'accélérer en quelques secondes pour atteindre
des vitesses de plusieurs milliers de kilomètres à l'heure et de changer subitement de direction à cette vitesse sans que
les passagers ne soient soumis à ce qu'on appelle la force G qui résulte de l'attraction qu'exerce la gravité. Ce programme
est déjà en cours dans plusieurs laboratoires scientifiques des plus réputés. William P. Lear, inventeur
et président du conseil d'administration de la Lear Inc., l'une des plus grandes firmes d'électronique spécialisée en aviation,
étudie depuis des mois, avec ses principaux scientifiques et ingénieurs, les nouveaux développements et les nouvelles théories
relatives à la gravité. Il est convaincu qu'il sera possible de créer des champs électrogravitationnels artificiels
dont la polarité pourra être dirigée pour annuler la gravité.
Toute la matière (masse) et les êtres humains placés dans ces champs en feraient partie.
On pourra les régler de façon à accroître ou à diminuer le poids de tout objet situé à proximité. Ils ne seront pas influencés
par la gravité de la Terre ni par celle d'aucun corps céleste.
Ce qui veut dire que si on se trouvait à bord d'un avion ou d'un vaisseau spatial antigravitationnel,
transportant avec lui son propre champ gravitationnel, peu importe la vitesse à laquelle on accélèrerait ou changerait de
direction, on ne le sentirait pas plus qu'on ne sent présentement la vitesse de la Terre. Eugene M. Gluhareff,
président de la Gluhareff Helicopter and Airplane Corp, de Manhattan Beach en Californie, a réalisé différentes études
théoriques sur la conception de véhicules ronds ou en forme de soucoupes pour voyager dans l'espace.
Le lecteur sera peut-être aussi intéressé de savoir que vers 1969-1970, j'ai vu à la
télévision américaine le regretté William P. Lear faire une déclaration au cours d'une émission diffusée en plein jour à la
totalité du pays. Il fit cette déclaration en réponse à une question du maître de cérémonie qui voulait savoir ce que M. Lear
prévoyait pour les prochains vingt ans en fait de nouvelles technologies. M. Lear répondit qu'on pourrait, disons, entrer
dans une cabine de "voyage" à New York, un peu comme une cabine téléphonique, déposer son titre de transport, appuyer sur
un bouton et sortir de l'autre côté à San Francisco après avoir été téléporté à travers l'Amérique en quelques secondes !
L'auditoire s'est aussitôt mis à se moquer de lui, preuve accablante de l'ignorance du grand public. M. Lear resta bouche
bée devant ces agissements, tellement il était stupéfait. Il a dû se sentir douloureusement malheureux et seul lorsqu'il s'est
rendu compte de l'ampleur du gouffre qui séparait l'auditoire des réalités dont il était déjà témoin dans les laboratoires...
Le 22 novembre 1955, voici des extraits du dernier article de Ansel Talbert, dont on
trouvera, encore une fois, la version intégrale (pour le plus grand intérêt du public) à l'Annexe 1 :
"Je (Grover Loening, auparavant conseiller scientifique spécial pour l'armée de l'air
américaine sur la conception et la construction d'avions) crois fermement qu'avant longtemps, l'homme aura acquis la possibilité
de construire un mécanisme électromagnétique antigravifique qui fonctionne.
George S. Trimble, jeune scientifique brillant qui dirige la nouvelle division de conception
avancée de la Martin Aircraft à Baltimore et aussi membre du sous-comité sur l'aérodynamisme de grande vitesse du National
Advisory Committee for Aeronautics, crois qu'on pourrait atteindre ce but assez rapidement si les ressources suffisantes et
l'appui nécessaire étaient accordés au programme.
"Je crois que nous pourrions faire le travail dans presque le même temps qu'il a fallu
pour construire la première bombe atomique si un nombre suffisant de cerveaux scientifiques se mettaient à penser simultanément
à une solution et travaillaient dans ce sens", dit-il.
Dudley Clarke, président de la Clarke Electronics Laboratories de Palm Springs, en
Californie, il y a des années, a travaillé sous les ordres de Charles Steinmetz, (le génie de l'électricité et des mathématiques
des années 1930 au service de la General Electric Company) est certain que l'on réussira à maîtriser la gravitation plus tôt
que ne le croient certains scientifiques retranchés dans leur tour d'ivoire.
M. Clarke souligne que la force de gravité est suffisamment puissante pour générer
plusieurs milliers de fois plus d'électricité que n'en génèrent les chutes du Niagara et tout autre centrale hydro-électrique
du monde, si on réussi à la maîtriser. Cet événement qui ne saurait tarder, soutient-il, rendra possible la fabrication d'unités
d'énergie antigravifique que l'on pourra acheter pour quelques centaines de dollars. Ces unités fourniraient toute
la chaleur et l'électricité dont une famille a besoin pour une période illimitée."
Interavia : la fuite
Peut-on croire sérieusement que tous ces hommes étaient des rêveurs illusionnés n'ayant
aucun fait concret sur lesquels appuyer leurs dires à ce moment ?... Une histoire de science-fiction antérieure
aux articles dont il est question plus haut apporte un autre éclairage à tout ceci. Ecrit par Raymond F. Jones, pour le magazine
Astounding Science Fiction, l'histoire, intitulée Noise Level (niveau de bruit), décrit comment les savants américains et
les dirigeants militaires avaient regroupé les meilleurs cerveaux du pays pour les obliger à developper l'antigravitation
qu'un inventeur inconnu avait (supposément) déjà réalisée, mais qui venait de périr par la destruction de son invention au
cours d'une démonstration de son procédé aux autorités. Toute l'histoire de l'inventeur inconnu n'était qu'une
ruse pour dissiper de l'esprit de la brochette de savants le syndrome du "c'est impossible". En convainquant les savants que
quelqu'un d'autre avait déjà réussi, ils finirent par leur faire mettre au point un disque antigravitationnel grossier, mais
fonctionnel. Les articles du Tribune auraient-ils servi à cette fin ?... Si c'est bien le cas, la ruse s'est poursuivie
en 1956 quand la revue Interavia publia l'article intitulé : "Vers la locomotion aérienne... sans contrainte et sans poids"
dans le volume XI, n° 5, de l'auteur américain Intel, à Washington, 23/03/1956 commence ainsi : Les
recherches portant sur "l'électrogravitativité" et tendant à la découverte de l'origine de la pesanteur et des moyens de la
maîtriser ont atteint un stade où commencent à se faire jour des conséquences d'une immense portée pour l'humanité toute entière.
Et, sur la voie du progrès humain et de la civilisation, une notion entièrement nouvelle de l'électrophysique est sur le point
d'être ajoutée aux diverses branches de la connaissance.
Des recherches relatives à la pésanteur ont été entreprises un peu partout dans le
monde. Quelques unes de ces recherches se poursuivent depuis trente ans. La plupart sont bien plus récentes. Certaines sont
purement théoriques. Certaines des études, qui s'attachent aux isotopes gravitatifs, aux phénomènes électriques et à la statistique
de la masse sont essentiellement empiriques. (voir Annexe 3 intitulée : L'état de la science de la gravitation) publié par
Gravity rand de Londres en 1956, pour les détails des façons empiriques d'aborder la question)
"Certaines des entreprises engagées dans les études de cette catégorie sont la Lear
Inc; la Gluhareff helicopter and Airplane Corp; la Glenn L. Martin Co; la Sperry-Rand Corp; la Bell Aircraft; Clarke Electronics
Laboratories; U.S. General Electric Company."
L'article continue en disant que les différents essais empiriques sur des métaux comme
l'acier, le barium, l'aluminium, etc.; prouvaient jusque-là que l'on pouvait réduire le poids des métaux sans en changer la
masse.
En fait, il paraissait que le "processus d'énergisation" pouvait produire un rapport
négatif du poids-masse! Les réductions de poids à l'état stable avaient déjà permis de porter certains matériaux à 70% de
leur poids original. Les travaux de Townsend T. Brown sur ses disques électrogravifiques étaient (à l'époque) le
résultat de 30 années de recherche selon l'auteur. Il avait réussi à construire des profils aérodynamiques en forme de disque
propulsés à l'électricité qu'il avait brevetés aux Etats-Unis. L'extrait suivant de cet article d'Interavia illustre jusqu'où
les gouvernements concernés acceptaient de discuter ouvertement de leurs réalisations :
"Un champ gravitatif localisé utilisé pour la production d'une force pondéramotrice
a été créé au laboratoire. Des disques matériels de 60 cm de diamètre, incorporant une sorte de condensateur électrique simple
à deux lames chargées à 50 kilovolts et d'une capacité totale continue de 50 watts, ont pu se déplacer à la vitesse de 5 m
/ sec le long d'une trajectoire circulaire de 6 m de diamètre. Des disques de 90 cm de diamètre ont été réalisés par la suite;
ils se sont déplacés le long d'une trajectoire de 15 m de diamètre sous une charge de 150 kilovolts, avec des résultats tellement
impressionnants qu'ils sont tenus secrets. Des expériences similaires ont été éxécutées dans le vide avec un rendement
tel qu'il est seulement possible de les qualifier de stupéfiants. Des travaux sont en cours en vue de la réalisation d'une
génératrice à jet de flammes susceptible de développer une tension pouvant atteindre 15 000 000 de volts."
A présent, retournons en avril 1955, au moment où le magazine Scientific American publia
un article traitant de l'histoire et des développements dans le domaine de l'électrostatique. Il présentait un exposé des
plus instructifs sur les effets du vide et de la haute tension sur les forces mécaniques à l'intérieur des atomes. On y traitait
des recherches du professeur John G. Trump (de la section du génie électrique du M.I.T.) sur les techniques de
production d'énergie électrostatique : "Le professeur Trump démontre comment la capacité de génération des machines
électrostatiques peut être augmentée. Considérons deux plaques métalliques de 100 pouces carré de surface (645 cm2) placées
face à face et séparées par un isolant. Si une tension produisant un champ électrique de 300 volts par cm est appliqué entre
les plaques, elles s'attireront l'une l'autre avec une force de 1/2000 de livre (0,0002267 kg). Si on porte le
champ à 30 000 volts par cm, l'attraction passera à 1/2 livre (0,2267 kg) ce qui veut dire que l'on a multiplié
la force par 1000 en ne multipliant la tension que par 100 ! Maintenant, si on place les plaques dans un vide poussé, qui
est un bon isolant, bien que difficile à maintenir, et que l'on porte le champ à 3 000 000 de volts par cm. La
force d'attraction sautera alors à 5700 livres (2585 kg)!... ce qui veut dire qu'on a multiplié la dernière force par 11 400
en ne multipliant la tension que par 100 encore!...
Retournons maintenant à l'article d'Interavia :
"La force ainsi développée, susceptible d'être accrue exponentiellement au point d'être
en mesure de propulser des véhicules transportant des passagers à travers l'air (ou l'espace) à des vitesses extrêmement élevées,
fait actuellement l'objet d'études concentrées dans plusieurs pays. Sa réalisation permettra d'éliminer la plupart des difficultés
d'ordre matériel auxquelles donne lieu la construction des avions à grande vitesse. Considération importante, le champ gravitatif
qui produit la force propulsive fondamentale réagit simultanément sur toute matière se trouvant dans sa zone d'influence.
Il ne s'agit pas d'une force physique appliquée initialement sur un point déterminé du véhicule et qui doit donc être transmise
à tous les autres points. Il s'agit d'un champ électrogravitatif agissant sur tous les éléments simultanément."
Pour autant que l'on ait recours à l'idée de simultanéité, il serait plus juste de
déclarer que des changements subits dans la direction du champ transmettent rapidement le moment inertiel à toutes les parties
de l'appareil, de sorte que le rebondissement élastique de sa structure atomique ne se trouve pas épuisé au point de la fatigue
structurale.
Remarque : Je présente toutes mes excuses au lecteur qui a trouvé ce qui précède trop
complexe. Vous comprendrez qu'il n'y a pas d'autre moyen pour étayer les faits au point de convaincre les sceptiques irréductibles.
Si le lecteur estime que le présent chapitre commence à être trop compliqué, qu'il n'hésite pas à le sauter, car son objet
principal est de démontrer que les "soucoupes volantes électriques" sont, au moins, fabriquées sur Terre, si elles ne le sont
pas ailleurs...
Selon l'article d'Interavia, l'utilisation du système de champ électrique pour propulser
un vaisseau en forme de disque ou de soucoupe lui permettrait d'accélérer à des vitesses de milliers de km/h, de s'arrêter
et de changer de direction presque instantanément. On pourrait réaliser ces manoeuvres facilement en modifiant
l'intensité, la polarité et la direction de la charge du champ. De plus, l'article donnait le détail de certaines autres implications
de la conquête de la gravité par l'homme :
"Dans le cas des automobiles, des trains, des navires, les difficultés qu'implique
la transmission de l'énergie du moteur aux roues ou hélices cesseront tout simplement d'exister. La construction des ponts,
des immeubles, etc., se trouvera considérablement simplifiée par le recours à l'annihilation induite du poids. D'autres aspects
des travaux entrepris suggèrent la possibilité d'une action sur la pousse des végétaux, de nouvelles techniques thérapeutiques,
de systèmes de chauffage permanent sans combustible à l'intention des habitations et établissements industriels, de nouvelles
sources d'énergie industrielle, de nouvelles méthodes de construction, d'un secteur entièrement nouveau de la chimie. Cette
nouvelle science offre dans le domaine des communications des possibilités qui confondent l'imagination. Il existe apparemment
dans l'éther une catégorie insoupçonnée d'ondes électriques identiques fondamentalement aux ondes électromagnétiques de la
radio. Des ondes électrogravitatives ont été produites et émises à travers des couches concentriques constituées par les matériaux
de blindage électromagnétique et électrostatique les plus efficaces, sans aucune perte apparente de puissance."
Gravitation : le point
En décembre 1956, la Gravity Rand Ltd. de Londres publia un document intitulé The Gravitics
Situation (l'état de la science de la gravitation). La première page didait ceci : "Thème de la science (de la
gravité) pour la période allant de 1956 à 1970 : découvertes inopinée". On y cita aussi l'opinion d'Albert Einstein sur la
gravité :
"Il n'est pas vain d'espérer un jour acquérir une connaissance plus claire des processus
de la gravitation, car la généralité et le détachement extrêmes de la théorie de la relativité peuvent être éclairés par l'étude
particulière d'un mécanisme précis."
The gravitics situation est un document que le lecteur ne pourra pas obtenir sans s'armer
d'une inépuisable patience ou sans une chance inouïe. Il met le doigt sur tellement de centres nerveux du corps scientifiques
qui engendra l'antigravité, que le lecteur éclairé n'aura aucun doute que : l'humanité a mis au point l'antigravité. C'est
pourquoi, ce document a été inséré intégralement pour l'intérêt du public.
Pour bien apprécier les implications de ce document, il faut le lire en entier.
Toutefois, certaines phrases-clés dans ces pages de texte technique ont été choisies pour donner un bref aperçu de
son objet. Les voici :
"Aux Etats-Unis, on a étudié cette question et un programme en main est en mesure d'assurer
que la mise au point de disques de grandes dimensions continuera. Le gouvernement américain appuie ce projet, mais
il ne sera mené qu'à petite échelle. L'acceptation du projet fait suite à la suggestion originale de Brown qui
fut incorporée au Projet Winterhaven. Ce projet recommandait que des efforts importants soient concentrés sur l'électrogravitation
: basée sur le principe de ses disques."
"Les objectifs furent réécrits dans un nouveau rapport qui serait fondé sur de nouvelles
idées autres que celles proposées dans le Winterhaven et qui mènerait à des brevets qui n'ont pas encore été publiés, ce qui
constitue la base de la politique américaine actuelle. Tous ne sont pas d'accord pour dire que cette recherche pourrait être
accélérée si on y mettait plus d'argent, mais l'impression à la Gravity Rand est que la base de l'industrie est peut-être
plus que suffisamment solide. Déjà, des sociétés se spécialisent dans l'évolution des composantes particulières d'un disque
électrogravifique. Cela implique que la science est au même point que les ICBM (ces missiles balistiques intercontinentaux),
soit qu'aucune autre découverte n'est nécessaire; il faut seulement un développement intensif des techniques d'ingénieur."
"La puissance d'un dispositif destiné à absorber les forces électrostatiques qui assurent
la cohésion de l'atome est un sous-produit destructif qui revêt une grande importance au niveau militaire. Dans des travaux
non publiés, la Gravity Rand a décrit quels sont les effets possibles d'un tel dispositif pour des fins de démolition."
"Encore une fois, le principe en soit fonctionnera également dans le vide. Les soucoupes
de Townsend Brown pouvaient déjà voler dans le vide, mais les pièces de soutien doivent aussi fonctionner dans le vide. En
pratique, elles tendent à causer des problèmes, car tout commes les turbines à gaz, le mauvais fonctionnement est proportionnel
à l'altitude de vol."
Le professeur F. Mozer a fourni un brillant traité sur l'existence des particules de
masse négative et sur l'utilisation qu'on pourrait en faire dans la construction de corps de gravité neutre. Certains
seront peut-être particulièrement intéressés par le court texte de Deser et Arnowitt, il est intitulé "Un lien entre la gravitation
et l'énergie nucléaire" (A link between gravitation and nuclear energy). On y fait appel aux structures habituelles que l'on
retrouve dans la relativité générale d'Einstein comme base d'un "tenseur de création" (comme ils l'appellent) servant
à convertir l'énergie gravitationnelle en énergie nucléaire. Leurs équations de champ sont ardues et ne sont pas
faciles à utiliser : malgré tout, elles constituent un aspect intéressant pour certains...
Ce document incroyable a été compilé en 1956 ! Vraiment, pouvons-nous douter que ces
renseignements aient été dépassés par des développements encore plus incroyables au cours des 44 dernières années ?...
=====
"Il n'existe pas de 3è, 4è et 5è dimension. Dans la réalité, il existe une multitude de dimensions
dont la gamme s'étale à l'infini, de degré en degré." Pour passer de l'un à l'autre de ces degrés dimensionnels afin d'effectuer
des voyages intersidéraux à des vitesses quasi-instantanées, nos vaisseaux produisent un changement de polarité magnétique,
qui modifie la fréquence vibratoire de la structure atomique de la matière dont ils sont faits. Il se produit alors un effet
de dématérialisation et de répulsion agissant entre le magnétisme du mobile, et celui de la planète, du système solaire ou
de la galaxie que nous voulons quitter ou réintégrer." {Livre, Extra terrestres m'ont dit (Les), Pierre Monnet, Ed. Alain Lefeuvre}
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