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SCOOP PLANETAIRE !!!
Reconnaissance OVNI officielle de l'armée aérienne
brésilienne depuis le 20 mai 2005 !!!
dont 20 OVNI d'au 100mètres volant le 19
mai 1986 au dessus du Brésil !!!
A l’époque ministre
de l’Aviation, le Brigadier Général Otavio Moreira Lima, avait confirmé les faits et par la suite il révéla le fond
de sa pensée en déclarant que selon lui l’humanité établirait prochainement le contact avec des extraterrestres.
Le ministre ajouta que les autorités Brésiliennes avaient
le droit de révéler au peuple la réalité de l’existence des aliens, en se passant au besoin de la permission des Américains.
Puis il avait conclu par cette remarque intéressante : si beaucoup de gens sont
prêts à accepter l’idée de la présence aliène, il y en a encore un grand nombre qui ne sont pas préparés à recevoir
ce genre d’information..
Voir aussi:
http://www.ufo.com.br/texto7.php
http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=2898.0




A. J. Gevaerd donne au général de brigade brésilien Telles
Ribeiro, chef du Centre des Transmissions (Cecomsaer) de l'Armée de l'Air Brésilienne (FAB), les lettres des demandes officielles
qui doivent être expédiées au commandant de l'Armée de l'Air Brésilienne (FAB), au ministère brésilien de la défense et au
président brésilien Luis Inacio Lula da Silva, pour ouvrir pour de bon les dossiers secrets sur les OVNIS et mettre en place
un comité officiel de recherche sur les OVNIS. "Nous voulons que toute l'information sur le sujet, celle que nous avons retenu
pendant plusieurs décennies, soit entièrement accessible au public, à travers la communauté des ufologues", a déclaré le général
de brigade Telles Ribeiro.


Lien pour télécharger cette vidéo:
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1. Le 19 mai 1986, des OVNI de taille imposante
survolent le Brésil et sont pris en chasse par l'Armée de l'Air brésilienne, le ministre des Forces Armées Aériennes Brésiliennes
(FAB), puis par le général de l'Armée de l'Air Octávio Moreira Lima lui-même confirmèrent.
2. Le 20 mai 2005. LES MILITAIRES BRESILIENS RECONNAISSENT
LA RECHERCHE UFOLOGIQUE ET DIVULGUENT DES INFORMATIONS PRECEDEMMENT SECRETES.
3. Un bref résumé des 3 cas que l’Armée de l’Air
brésilienne met désormais à disposition des chercheurs et ufologues civils.
Les répercussions d’une telle collaboration sont
énormes. Tout d’abord, elle offre une crédibilité supplémentaire aux chercheurs et aux spécialistes OVNI, qui sont le
plus souvent tournés en dérision par les gouvernements du monde, qui n’hésitent pas à les qualifier de ‘doux-dingues’
ou ‘d’illuminés’. Par ailleurs, ce souci de transparence de la part de l’Armée de l’Air brésilienne
est remarquable ; pour une fois, les militaires reconnaissent s’intéresser directement au phénomène OVNI, et mieux encore,
ils estiment qu’une collaboration avec la communauté ufologique de leur pays peut s’avérer constructive ! Du pain
béni pour les passionnés OVNI qui travaillent depuis de longues années dans l’ombre, et qui pourront jouir désormais
d’une revalorisation de leur statut. Mais cette collaboration toute fraîche n’est-elle qu’un ‘effet
marketing’ de l’Armée, qui se prêterait à une habile manipulation pour faire croire que l’accès à ses archives
est désormais libre ? A la vue des premières réunions, il semblerait que les militaires aient bel et bien décidé de révéler
des documents secrets...
Pour vous rafraichir les mémoires
! Rappelez vous !
35 savants Brésiliens se réunissent
le 8 novembre 1967 pour affirmer que les soucoupes volantes existent.
A Sao Paulo, le 8 novembre 1967 à l'issue
d'une conférence sur les Objets Volants Non Identifiés, réunissant 35 savants Brésiliens sous la présidence du Directeur de
l'Institut Brésilien d'Astronautique et de Sciences Spatiales et à laquelle assistent des représentants de l'armée et des
services secrets, un communiqué est publié:
"Les soucoupes volantes existent,
semblent obéir à un contrôle intelligent et présentent des caractéristiques que la science et la technologie contemporaines
ne peuvent expliquer".
" Nous recommandons aux autorités,
aux savants et au public de suivre attentivement l'évolution de ce problème qui, par son importance, concerne le monde entier".
Les savants ajoutent que leurs déclarations
résument vingt années d'études*.
De leur côté, les représentants de l'armée
et des services secrets ont demandé qu'à l'avenir les autorités et les savants échangent constamment leurs informations à
ce sujet."
Extrait de La Nouvelle République du 9 novembre
1967
Source: LE LIVRE NOIR DES SOUCOUPES VOLANTES
de Henry Durrant. 1975 chez Robert Laffont. page 198.
* A noter qu'un groupement officiel existe depuis
le 3 août 1961, date de la fondation de l'Institut nationale de recherches spatiales brésilienne (INPE), site Internet:
http://www.inpe.br
1.
Le 19 mai 86 est resté gravé dans de nombreuses
mémoires, et l’on en parle encore comme de ‘la nuit officielle des OVNI au Brésil’ ! Une vingtaine d’objets
mesurant plus de 100 mètres d’envergure ont saturé les radars et provoqué cette nuit-là la paralysie du trafic aérien
au-dessus de Rio de Janeiro, de Sao José dos Campos et de Sao Paulo.
Plusieurs avions de chasse ont décollé pour
intercepter les intrus, sans succès...
- 21 h : Les radars civils
et militaires captent de nombreux ovnis dans les parages de Saõ Paulo et de Rio de Janeiro - 300 km plus loin sur la côte
- ainsi que dans l'état de Goias, au centre du Brésil. Des pilotes s'envolant des aéroports de ces endroits où y atterrissant
rapportent avoir vu des ovnis ou les avoir capté sur leur radar de bord.
- 21 h 10 : Ospires Silva,
président de la Compagnie pétrolière gouvernementale de Petrobas, est sur le point de faire atterrir son avion à Sao José
dos Campos (Brésil) lorsque lui et son compagnon voient des lumières rouges orangées et leur donnent la chasse. Les lumières
cessent puis réapparaissent, chaque fois à un nouvel endroit.
- 21 h 40 : Silva abandonne
la traque.
- 22 h 23 : 3 chasseurs Northrop
F-5E Tiger décollent de la base Air Force de Santa Cruz, près de Sao Paulo. L'un deux s'approche à moins de 20 km
d'un ovni qui change de couleur, passant du blanc au vert, et fonçant en direction de la mer. Un autre Tiger poursuit
lui aussi un ovni qui varie de coloris, passant du rouge au blanc et du vert au rouge, mais perd de l'allure par manque de
carburant avant de pouvoir s'en approcher. Les 2 ovnis sont à la fois vus au sol et captés par les radars de bord.
- 22 h 50 : Un chasseur Dassault
Mirage 3 est entouré par une douzaine d'ovnis invisibles, sauf sur radar, avant qu'ils ne s'élèvent au-dessus du
chasseur à des allures dont sont incapables les avions conventionnels.
Le ministre concerné et l'Armée de l’air brésilienne acceptèrent que les radaristes et les pilotes impliqués
dans l'incident parlent librement de leur expérience devant la presse.
Le ministre des Forces Armées Aériennes Brésiliennes
(FAB), puis par le général de l'Armée de l'Air Octávio Moreira Lima lui-même ont confirmé ces évênements.
Les responsables militaires de l’époque
avaient alors confirmé qu’ils ne pouvaient pas expliquer le phénomène par un problème technique, et que les radars avaient
bel et bien détectés des « objets metalliques se déplaçant à des vitesses variables, de 250 à 1500 km/h ».
2.
Le 20 mai 2005.
LES MILITAIRES BRESILIENS RECONNAISSENT LA RECHERCHE UFOLOGIQUE ET DIVULGUENT DES INFORMATIONS
PRECEDEMMENT SECRETES.
Inimaginable en Europe, inconcevable aux Etats-Unis
(où les ufologues doivent intenter des procès au gouvernement pour obtenir les documents déclassifiés), le ‘miracle’
ne pouvait se produire qu’en Amérique du Sud, et plus particulièrement au Brésil. Grâce à un investissement de longue
haleine, le CBU* (Comité Brésilien d’Ufologie) a donc réussi là où tous avaient échoué jusqu’à présent : établir
une véritable coopération avec l’Armée, afin d’accéder librement aux archives impliquant les très nombreuses observations
d’OVNI au-dessus de ce vaste territoire que représente le Brésil.
Un combat acharné de 14 mois Comment les
ufologues brésiliens ont-ils réussi à établir un dialogue avec la Grande Muette ? A force de patience et de volonté. Sous
l’impulsion du CBU, relayé par la revue ‘Ufo Magazine’, une grande campagne d’information, accompagnée
d’une pétition, circule dans la communauté ufologique internationale depuis avril 2004. Baptisée « OVNIS : liberté d’accès
immédiat à l’information » (Ufo’s : Freedom of Information Now), cette circulaire a fait peser une lourde pression
sur le gouvernement du Brésil, regroupant tout de même 36 000 signatures ! Après plusieurs mois d’efforts, un premier
contact s’établissait au début de l’année 2005 avec un porte-parole de l’Armée de l’Air, le Major
Antonio Lorenzo. Bientôt, une invitation en bonne et due forme était proposée aux chercheurs et spécialistes OVNI pour visiter
le quartier général de l’Armée de l’Air à Brasilia ! Vendredi 20 mai, 2 entrevues ont réunis ufologues et militaires,
respectivement au Centre Intégré du Commandement de la Défense Aérienne et du Trafic Aérien, puis au Centre de Commandement
de la Défense Aérienne Brésilienne, véritable centre névralgique de l’Armée.
Comme preuve de sa bonne foi, l’Armée
de l’Air du Brésil s’est livrée à un briefing complet des ufologues invités dans leurs locaux, avant de revenir
en détail sur 3 affaires d’envergure qui ont marqué le pays. « Nous désirons que toute l’information sur le sujet
OVNI, celle que nous avons laissée inaccessible pendant plusieurs décennies, soit entièrement rendue accessible pour le public,
par le biais de la communauté des ufologues brésiliens » déclarait ainsi en gage de bonne volonté le Général de brigade Telles
Ribeiro, chef du Centre des Transmissions de l’Armée de l’Air. Les ufologues ont pu avoir la confirmation que
l’Armée a systématiquement détecté et enregistré les phénomènes OVNI depuis 1954, classés sous la mystérieuse appellation
de ‘Trafic H’. Les trois dossiers top secret que les chercheurs ont pu consulter se sont respectivement déroulés
en 1954, 1977 et 1986 ; ils permettront sans doute dans les mois à venir de compléter certaines informations manquantes,
et de mieux comprendre ce qu’il s’est réellement passé lors de ces 3 dates fatidiques (voir notre encadré sur
les affaires en question).
Vers une nouvelle ère... Nul doute que cette étape franchie avec succès par le CBU marque
une nouvelle ère dans le monde de l’ufologie. On peut en effet espérer que le cas brésilien fasse ‘jurisprudence’
et serve d’exemple à d’autres pays, qui connaissent désormais la marche à suivre pour tenter de convaincre leur
gouvernement de travailler en bonne intelligence avec les spécialistes civils, qui peuvent avoir des informations utiles pour
les militaires. En outre, ce type de collaboration redore le blason des chercheurs, les représentants de l’Armée de
l’Air brésiliens ayant « entièrement admis que l’ufologie est une affaire sérieuse ». On rêve d’entendre
pareil discours chez nos hommes politiques ! Patience...
* les 6 chercheurs civils à l’intiative
de la campagne ‘OVNI : liberté d’accès immédiat à l’information’ sont : Claudeir Covo, Marco Petit,
Rafaël Cury, Reginaldo de Athayde, Fernado Ramalho et A.J Gevaerd (également éditeur de la revue UFO Magazine).
Par A. J. Gevaerd, Editeur de UFO Magazine
Brésil et dirigeant du Comité Brésilien des Ufologues (CBU)
Le Vendredi 20 mai a été un jour historique pour l'Ufologie
au Brésil et dans le monde quand l'Armée de l'Air Brésilienne (FAB), pour la toute première fois dans son histoire, a reçu
officiellement un comité des principaux chercheurs ufologues pour discuter ouvertement d'observations dans le pays et divulguer
complètement des documents sur les OVNIS précédemment inaccessibles au public, dans plusieurs installations militaires de
Brasilia, la capitale fédérale.
En franchissant cette étape très importante, l'Armée de l'Air Brésilienne (FAB) a
placé le Brésil dans la très courte liste des pays dont les militaires reconnaissent l'Ufologie comme une activité sérieuse
et un effort significatif pour comprendre entièrement la nature et l'origine des OVNIS. "Nous que toute l'information sur
ce sujet, celle que nous avons laissée inaccessible pendant plusieurs décennies, soit entièrement rendue accessible pour le
public, par la communauté des ufologues", a déclaré le général de brigade Telles Ribeiro, chef du Centre des Transmission
de l'Armée de l'Air Brésilienne.
Le gouvernement brésilien, par l'intermédiaire de l'Armée de l'Air Brésilienne, a
finalement décidé de faire un grand pas en avant et de reconnaître que la recherche ufologique est une activité véritable,
ceci étant le résultat direct de la pression intense faite par la campagne "OVNIS: Liberté d'accès à information maintenant",
un mouvement entamé par UFO Magazine Brésil en avril 2004. La campagne a été lancée par le Comité Brésilien des Ufologues
(CBU), composé de 6 chercheurs ufologues civils: Claudeir Covo, Marco Petit, Rafaël Cury, Reginaldo de Athayde, Fernando Ramalho
et A. J. Gevaerd (Athayde était malade et a été remplacé par un nouveau membre par intérim, le chercheur vétéran Roberto Affonso
Back.)
Les détails de la campagne en portugais et en anglais peuvent être consultés à:
www.ufo.com.br and www.ufo.com.br/secrecy.php
L'approche du comité du CBU par les militaires brésiliens
a débuté en février passé, dix mois après que la campagne ait commencé, par un appel téléphonique d'un porte-parole de l'Armée
de l'Air Brésilien, le major Antonio Lorenzo, et une invitation formelle à une visite et à une discussion dans un certain
quartier général de l'Armée de l'Air à Brasilia. Le major Lorenzo a entièrement reconnu les efforts des chercheurs ufologues
dans ce domaine et a fourni quelques détails sur les sortes de dossiers et les procédures utilisées par l'Armée de l'Air Brésilienne
(FAB) au sujet des phénomènes OVNIS et de leur détection, enregistrement et investigation dans le pays.
Deux réunions
entre les chercheurs ufologues civils et les militaires ont eu lieu ce vendredi dernier, le 20 mai, et se sont déroulées d'abord
au quartiers généraux du Centre Intégré du Commandement de la Défense Aérienne et du Trafic Aérien (Centro Integrado de Defesa
Aérea e Controle de Trafego Aéreo, Cindacta), un service très sensible. Pendant deux heures, les chercheurs ont suivi une
conférence sur les procédures utilisées par la Cindacta et ont eu la chance de visiter des salles de contrôle du trafic aérien
et de comprendre comment des OVNIS pouvaient être détectés par le personnel de l'Armée de l'Air.
La deuxième et plus
importante réunion a eu lieu juste après celle-ci dans des installations à accès très restreint du Commandement de la Défense
Aérienne Brésilienne (Comando de Defesa Aeréa Brasileiro, Comdabra), une installation bien plus sensible qui commande toute
la situation de la défense aérienne dans le pays et les abords de l'Océan Atlantique et de l'Amérique du Sud. Dans ce service,
les chercheurs ufologues ont suivi un briefing complet sur les aspects les plus importants de la défense aérienne du pays.
C'est dans cette installation que son propre commandant, le général de brigade Atheneu Azambuja, a admis auprès des
chercheurs ufologues à quel point les militaires brésiliens sont soucieux au sujet des phénomènes OVNIS. Azambuja a également
donné des détails des procédures de la Comdabra et a admis que le pays a systématiquement détecté et enregistré des OVNIS
dans le pays - marqués en tant que "trafic H" - depuis 1954. Ce n'était pas une surprise pour les chercheurs ufologues du
Comité des Ufologues Brésilien (CBU), mais la façon dont ce processus d'enregistrement avait lieu a été une surprise.
Après
des explications détaillées des activités de la Comdabra, le général de brigade Atheneu Azambuja, pour la première fois dans
l'histoire, a donné le plein accès aux chercheurs ufologues civils pour qu'ils puissent examiner 3 dossiers différents d'informations
secrètes sur les OVNIS, des cas aux dates de 1954, de 1977 et de 1986. Le premier cas était une poursuite d'un OVNI par un
avion au-dessus des rivages de l'océan dans l'état de Paraná.
Le deuxième dossier était beaucoup plus important. Dans
la chemise contenant les documents de 1977 qui ont pu être examinés par les chercheurs ufologues, se trouvaient des douzaines
de cas d'OVNIS en Amazonie et la quantité étonnante de plus de 100 photographies prise pendant la dénommée "Opération Soucoupes",
un programme officiel de recherche d'OVNIS par les militaires qui a eu lieu à partir de septembre et jusqu'en décembre 1977,
et avait été fortement couvert par la presse spécialisée dans les OVNIS partout dans le monde.
Le troisième cas était
"la nuit officielle des OVNIS au Brésil", un groupe d'événements très significatif qui se sont produits en mai 1986, quand
21 objets de plus de 100 m de diamètre ont bloqué le système de contrôle du trafic aérien brésilien au-dessus de Rio de Janeiro,
de Sao Jose Dos Campos et de Sao Paulo, principalement, et que plusieurs avions de chasse à réaction avaient été envoyés pour
intercepter - sans le moindre succès - les intrus.
Les représentants de l'Armée de l'Air Brésiliens (FAB), lors de
ces réunions, ont alors entièrement admis que l'ufologie est une affaire sérieuse et ont largement reconnu l'activité de la
recherche ufologique par la communauté des ufologues civil. Ils ont également garanti que d'autres étapes sont en train d'être
entreprises pour laisser les chercheurs examiner la totalité des fichiers sur les OVNIS des militaires d'une manière plus
complète. De plus, il a été promis qu'un comité de chercheurs ufologues militaires et civils pourra commencer travailler très
bientôt, coordonné par le Comité des Ufologues Brésiliens (CBU).
Ceci signifie certainement que nous entamons une
nouvelle ère de l'Ufologie au Brésil et en Amérique Du sud. De très bonnes choses sont sur le point de se produire tandis
que le commandement de l'Armée de l'Air Brésilienne (FAB), le ministère brésilien de la défense et le président brésilien
Luis Inacio Lula da Silva reçoivent les lettres ouvertes et les demandes formelles d'ouvrir pour de bon les documents et de
mettre en place le comité mentionné, comme l'a présenté leur porte-parole.
D'autres nouvelles suivront. Des photos
sont jointes.
A. J. Gevaerd, éditeur, 23 mai 2005
www.ufo.com.br
gevaerd@ufo.com.br
3.
Les 3 dossiers OVNI
désormais disponibles en plein accès:
Voici un bref résumé des 3 cas que l’Armée
de l’Air brésilienne met désormais à disposition des chercheurs et ufologues civils :
A.
-1954 : ce premier
cas implique une poursuite entre un avion et un OVNI au-dessus du rivage dans l’Etat de Parana. Vieux et mal documenté,
ce dossier est le moins intéressant des trois.
B.
-1977 : de septembre
à décembre, plusieurs observations OVNI, des ‘boules de feu incandescentes’ selon les témoins, sont signalées
dans le delta du fleuve Amazone ; quelques vidéos et des centaines de photos sont prises par l’Armée, qui organise à
l’époque une célèbre intervention : l’Opération Soucoupes. L’île de Colares est particulièrement touchée
par le phénomène, qui semble avoir pris une forme agressive dans cette affaire. Plusieurs habitants ont été blessés par des
‘rayons lumineux’ qui plongent les victimes dans un état de transe et de fatigue extrême. Les fameuses boules
de feu de 1977 ont semé la terreur parmi les habitants du village de Colares.
Ces faits sont appelés opération Prato ou opération soucoupe.
Les documents officiels de l'armée brésilienne:
http://www.ufo.com.br/documentop.php
Les documents en français:
http://www.ufologie.net/htm/colaresf.htm#events
http://www.rr0.org/Prato.html
Des photos de la presse:
http://www.ufologie.net/htm/colarespicsf.htm#pics
Un témoignage de première avant la divulgation
officielle de l'armée:
http://www.ovni007.com/id78.html
Ci-dessous, un des dessins du rapport officiel des cas de
1977.

Un témoignage énorme de source http://www.ufologie.net/htm/colareswcf.htm#wc
Cinq pêcheurs ont dit aux militaires qu'ils
avaient pu voir deux êtres à l'intérieur d'un vaisseau. Une rencontre de premier type avec cinq pêcheurs de Colares et un
vaisseau avec des êtres extraterrestres à l'intérieur aurait eu lieu le 12 octobre, 1977, à 23:30. Dans le rapport, pendant
l'Opération Soucoupe, le fermier Manoel Espírito Santo, 20 ans, éducation d'école primaire, a dit aux militaires ce qui s'est
passé. Il a dit qu'il était devant sa maison avec ses amis, Julio, Paulo, Deca et Carlito, quand il a remarqué une lumière
jaune se déplaçant dans la direction du lever du soleil. Il a ralenti, s'arrêtant presque sur eux, à environ 20 mètres de
distance. Manoel a indiqué qu'il a pu voir que la lumière avait deux "pilotes." Ils ont semblé être humains. "L'homme" était
sur le côté gauche et la "femme" sur le côté droit.
Tous les deux portaient quelque chose de semblable
à des lunettes sur leurs yeux et avaient du matériel de transmission. L'homme du côté gauche a levé ses lunettes, comme pour
les ragarder, et ce moment même l'autre pilote, à l'aide d'un tube latéral, leur a envoyé un faisceau de lumière rouge. Au
moment où il a été frappé par la lumière, Manoel a senti un choc fort, comme si c'était une décharge électrique. La sensation
a commencé sur les pieds et est montée à sa tête. Alors il s'est retrouvé avec ses jambes et bras paralysés et a presque perdu
conscience. Le vaisseau est parti lentement, accélérant. Manoel a pu se déplacer à nouveau, mais il a continueé à se sentir
engourdi pendant plusieurs minutes. Vu de loin, le vaisseau a ressemblé à une étoile coloré en rouge-jaune. Il a changé sa
couleur du jaune lumineux au rouge et, quand il était plus étroit, il avait pu voir une lumière bleuâtre sur la partie supérieure
frontale. Il était en forme de cylindre, comme un baril, et avait un petit tuyau frontal, de couleur rougeâtre, et un tuyau
plus mince sur son flanc, 45 degrés d'écartement, d'où venait la lumière bleuâtre. Il avait environ 1,20 à 1,40 mètres, a
semblé transparent sur la partie bleuâtre et avait une séparation entre les pilotes.
Voyez au passage ce site exceptionnel exposant
de multiples témoignages de rencontres avec des Extraterrestres:
http://iraap.org/rosales
| OVNI à Colares, vu de près. |

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Source de la photo:
C.
-1986 : le 19 mai
86 est resté gravé dans de nombreuses mémoires, et l’on en parle encore comme de ‘la nuit officielle des OVNI
au Brésil’ ! Une vingtaine d’objets mesurant plus de 100 mètres d’envergure ont saturé les radars et provoqué
cette nuit-là la paralysie du trafic aérien au-dessus de Rio de Janeiro, de Sao José dos Campos et de Sao Paulo. Plusieurs
avions de chasse ont décollé pour intercepter les intrus, sans succès... Les responsables militaires de l’époque avaient
alors confirmé qu’ils ne pouvaient pas expliquer le phénomène par un problème technique, et que les radars avaient bel
et bien détectés des « objets metalliques se déplaçant à des vitesses variables, de 250 à 1500 km/h ».
Sources divers:
LE LIVRE NOIR DES SOUCOUPES VOLANTES de Henry
Durrant

Dans une interview accordée à un magazine Brésilien d'ufologie
en 1997, presque vingt ans après le cas, le Colonel Uyrangê Hollanda Lima a
commencé à faire des déclarations étonnantes. Il était maintenant un Colonel en retraite, et a affirmé que son équipe OVNIS
n'avait rien pu révéler en raison du risque de sanctions personnelles par les autorités de l'Armée de l'Air.

"Maintenant," déclara-t-il "Je me sens dans l'obligation de dire ce
qui s'est produit en Amazonie." Il a déclaré à l'éditeur de Revista UFO J. Gevaerd que "l'opération a eu l'objectif initial
de démystifier ces phénomènes. J'étais sceptique moi-même au sujet de la nature extraterrestre de ces faits. Mais après quelques
semaines, quand les disques de vol avaient commencé à apparaître dans tous les sens, je n'ai plus eu aucun doute."
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De gauche à droite: A. J. Gevaerd, Marco Petit, un porte-parole
de la Comdabra, Rafaël Cury, Roberto Beck, Fernando Ramalho et Claudeir Covo, à un lieu de réunion du Commandement de la Défense
Aérienne Brésilienne (Comando de Defesa Aerea Brasileiro, Comdabra).

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