Mission sts48 montrant sans aucun doute des OVNI Extraterrestres.
Avec des preuves,
le physicien scientifique Monsieur Jack Kasher affirme que cette vidéo montre bien des engins extraterrestres et que cela
ne peut être autre chose avec des arguments et des preuves, cela ne montre pas des particules de glace, cela ne montre pas
des poussières, cela ne montre pas des météorites !
CONTEXTE
15 septembre 1991. Trois jours après son lancement pour la mission STS 48,
la navette américaine Discovery filme une étrange scène grâce aux caméras embarquées à son bord. Sur l’enregistrement
capté par de nombreux radioamateurs, on peut observer de mystérieux objets se déplacer étrangement, ce qui soulève vite une
vague de polémiques dans les milieux ufologiques. Il s’agit de déterminer leur véritable nature parmi les différentes
hypothèses proposées, d’une part par la NASA, de l’autre par les scientifiques intéressés par l’affaire.
Ces deux points de vue sont exposés et expliqués par Jack Kasher, physicien et professeur d'astronomie à l'Université du Nebraska,
interviewé dans le cadre de son analyse personnelle.
INTERVIEW DE JACK KASHER (RESUME)
N.B. Les propos de Jack Kasher sont retranscrits uniquement sous forme résumée et reformulée selon ses paroles
affirmatives sans aucun commentaire personnel.
1) SITUATION
Cette entrevue avec Jack Kasher, intégrée dans un reportage intitulé "Dossiers
OVNI 10 : Ovni et Nasa", se situe après une courte succession de films originaires principalement de la navette, montrant
les objets en question sous différents angles de vue. Ces derniers étant en sa possession, ils constituent la base de toute
son analyse. Il réactualise en effet le thème très ancien du " litige" entre les ovnis et la NASA, qui refuse de les prendre
en considération voire même d’en accepter l’éventuelle existence. Il essaie donc de nous faire partager son point
de vue à l’aide d’un résumé de la situation appuyé par cinq preuves " irréfutables" comme décrit ci-après.
2) PROPOSITIONS ET ANALYSES
Tout d’abord, comme dans toute affaire concernant de près ou de loin
les ovnis, des explications scientifiques et rationnelles ont été émises pour décrire précisément le phénomène observé :
- la première évoquée fut celle de minuscules poussières sur l’objectif
de la caméra. Néanmoins, deux arguments permettent de la réfuter : d’une part, la mise au point pour observer l’espace
était réglée sur l’infiniment grand, donc de telles poussières même si elles y étaient seraient invisibles, le premier
plan n’étant pas considéré. D’autre part, la même scène, donc le même mouvement, fut enregistrée par de multiples
caméras, ce qui rend cette explication inconcevable, la probabilité pour que les mêmes poussières se soient situées au même
niveau étant réellement infime.
- la seconde, beaucoup plus soutenue, développa le thème de particules de glace
autour de la navette. Néanmoins, toutes les règles de la physique interdisent à un corps placé dans l’espace de changer
brutalement de direction sans intervention extérieure. Ceci est valable aussi bien pour les particules de glace que pour les
météores ou les satellites. De là, quatre scientifiques de la NASA chargés de trouver une explication plausible, émirent l’hypothèse
que ces particules avaient été mises en mouvement par des gaz d’échappement provenant des propulseurs. Cette proposition
n’est néanmoins valable que si les objets en question étaient à proximité de la navette, sans quoi ils auraient été
impossibles à manoeuvrer. C’est cette explication qui sera étudiée en détail par Jack Kasher.
Afin de vérifier la validité de cette hypothèse, il fut mis en relation avec
un groupe de microbiologistes dans le but d’analyser la séquence vidéo avec du matériel spécialisé pour les petites
particules. Il fut ainsi possible de visualiser précisément la trajectoire des objets pour aboutir à la réalisation d’un
graphique en fonction de la vitesse et du temps ainsi qu’à un calcul de leur vitesse en trois dimensions grâce aux mouvements
relatifs de la caméra. Il en fut donc déduit que si les propulseurs furent à l’origine du mouvement, les particules
de glace devaient se trouver à environ 20 mètres au-dessus de la navette pour pouvoir être influencées ainsi.
Il fallait encore déterminer quelle(s) fusée(s) aurai(en)t pu permettre ce
déplacement, la navette Discovery en possédant 45 différentes réparties sur l’appareil : 38 normales d’une
poussée de 870 livres et 6 verniers d’une poussée de 24 livres. D’après les calculs, si une fusée principale avait
été allumée durant le film, la navette aurait effectué une rotation de six degrés, influant sur la place de la limite de la
zone d’ionisation visible sur la vidéo, qui aurait changé considérablement de niveau. Il reste donc les six fusées verniers.
3) LES PREUVES
En partant de l’hypothèse que les objets sont bien des particules de
glace mises en mouvement par des gaz d’échappement issus des propulseurs, Jack Kasher donne cinq preuves montrant l’impossibilité
pratique de cette théorie grâce aux calculs effectués à partir de la vidéo :
- premièrement, l’étude de la vidéo montre l’existence d’un
flash qui semble tout déclencher. Si, comme supposé, les propulseurs ont permis ce mouvement, ce flash correspondrait à l’allumage
d’une fusée. Néanmoins, une mesure de luminosité indique qu’il existe un délai d’une demi-seconde entre
le flash et le début de l’accélération pendant lequel l’objet est totalement immobile. Un " pré-flash" a pu aussi
être détecté quelques dixièmes de secondes avant le suivant qui aurait pu le " stopper" . Si tel est le cas, il ne peut pas
provenir de la navette car de sens contraire, ni être d’origine naturelle.
- deuxièmement, le tracé des trajectoires des objets permet de déterminer les
directions des supposées particules. Si elles étaient dues à une fusée vernier de la navette, leurs directions devraient se
croiser un point qui est la fusée en question ; or ces directions au lieu d’être sécantes sont fortement divergentes.
De plus, les impulsions des fusées verniers sont d’une durée de 80ms donc très loin des 400ms du flash ou des 150ms
du " pré-flash" . Ces fusées auraient également pu rester allumées plus longtemps, mais la durée minimale de leur fonctionnement
continu est de une seconde, ce qui ne coïncide pas non plus avec les précédentes valeurs.
- troisièmement, un calcul mettant en relation le temps mis par les gaz d’échappement
pour dépasser un objet quelconque avec la vitesse de ces gaz pour mettre en mouvement un corps immobile a été effectué. L’accélération
de l’objet étant de 1,7 secondes et la durée d’un échappement de 0,4 seconde, l’objet devrait atteindre
une vitesse égale à 98% de celle des gaz d’échappement soit 2750m/s. En parallèle, la vitesse réelle de l’objet
a été calculée en définissant l’intersection entre la ligne issue de la caméra et celle de la fusée vernier ; il
a été ainsi possible de transformer les pixels par seconde en mètres par seconde pour parvenir à une vitesse réelle de 1,5m/s.
donc très loin de la précédente.
- quatrièmement, si l’objet, comme démontré précédemment, se situait
à environ 20 mètres de la navette lorsque la fusée vernier se serait déclenchée, il aurait fallu une demi-seconde à ce dernier
pour se mettre en mouvement, conformément au délai observé antérieurement. Donc si le flash provient bien de la fusée, il
a fallu une demi-seconde aux gaz d’échappement pour arriver, soit une vitesse de 40m/s au lieu de 2800m/s. Or l’objet
devrait aussi se déplacer par la suite à 98% de cette vitesse soit très loin des 1,5m/s calculés auparavant.
- cinquièmement, grâce à la même méthode d’intersection, il en a été
déduit que si la particule était placée là où elle devrait être pour avoir une vitesse de 2750m/s, elle serait à plus de 35
kilomètres de la navette donc impossible à voir de celle-ci ainsi que d’en être originaire. De plus, de la même manière,
la direction de l’objet étant vers le haut, la fusée de correction en question devrait être à 24 kilomètres en dessous
de la navette pour pousser la particule dans la bonne direction.

Ce document est originaire d'une des caméras automatiques située à l'arrière de la soute
de la navette Discovery lors de son 13e vol pour la 43e mission Space Transport System (STS 48) dirigée
par le commandant John O.Creighton. Cette séquence est un extrait d'une durée de 14 secondes de la prise de vue effectuée
en plan rapproché le 15 septembre 1991 entre 20:30 et 20:45 GMT au dessus de la côte ouest de l'Australie. Sur ce film, il
est possible de distinguer différents objets blancs de forme plus ou moins circulaires, aux mouvements très divers (voir extrait
et schéma). Néanmoins, deux d'entre eux attirent particulièrement l'attention quant à leur comportement étrange ; c'est pourquoi
ils seront qualifiés de principaux par la suite.

Le début de l’enregistrement nous montre la Terre à la limite de sa phase d’obscurité
(voir schéma) et par conséquent laisse apparaître les deux objets principaux en surbrillance, au moment du lever du soleil
ou de la sortie du cône d'ombre produit par la navette. Le premier d’entre eux se situe environ au centre de la vidéo,
semble-t-il au niveau de la ligne d’horizon physique, au dessous de la zone d’ionisation. Il effectue un mouvement
à une vitesse constante le long de cette ligne jusqu'à la partie supérieure gauche où il se produit une sorte de flash (pour
reprendre le terme de Jack Kasher) provenant de la gauche de l’image. De là, une modification importante de la trajectoire
se produit, et l’objet part à une vitesse nettement supérieure selon un angle d’environ 45°, vers le coin supérieur
droit de l’image. A ce même moment, le deuxième objet situé jusque là immobile dans le coin inférieur gauche, part à
une vitesse équivalente et selon le même angle vers le centre de la vidéo. Le détail de l’enregistrement image par image
montre comme expliqué par Jack Kasher, l’existence de deux flashs d’intensité et de durée différente soit environ
deux fois moindre pour le premier en considérant ces facteurs, accompagnés pour ce premier d’un arrêt temporaire de
l’objet n°1 (0,5 s) jusqu’au deuxième flash, " signal" de départ.
Extrait de l'a rticle de Régis Philippe sur
http://ufoweb.free.fr/sts48.htm, nous ne publierons pas ses observations, voulant juste rester sur l'analyse de Monsieur Jack Kasher,
physicien.
Sources:
DOSSIERS OVNI - EPISODE n°10 - OVNIS ET NASA
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