Nibiru: 12ème Planète Sumérienne
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Dimension:
Au moins 60 fois la taille de la Terre !
Nous vous promettons d'autres révélations
dès que possible.
Grâce à la constante
de Ninive, la réalité de la 12ème planète est prouvée.
Cette
constante prouve que la 12ème planète Nibiru ou Marduk existe.
Cette
planète existe, et l’on ne peut en douter, puisqu'elle est indispensable pour arriver à certains calculs.
Voyez tous les calculs et explications de la
constante de Ninive un peu plus loin sur cette page !
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ICI LE SITE SANS DOUTE ANALYSANT LE MIEUX LA PLANETE NIBIRU - A VOIR ABSOLUMENT !
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Ci-dessous:
Modèle Orbital.
Temps et Distance Ephemerides

Après la découverte
de la planète Pluton en 1930, des astronomes s'aperçoivent rapidement que les première théories concernant les influences
hypothétiques d'une telle planète sur les orbites Uranus et Neptune ne sont pas validées par la seule existence de Pluton.
Par la suite dans les années 1970s, les ordinateurs devenant plus communs, un modèle informatisé de cette "Planète X " comme
il fut appelé, fut créé. On détermine que la Planète X devrait être entre 4 et 5 fois plus grande que la Terre. Ils calculent
également la longueur et la forme de son orbite autour du Soleil ainsi que le nombre d'années nécessaire pour compléter une
telle orbite.
En Janvier 1981 plusieurs
quotidiens relatent que l'orbite de Pluton indique que la planète X existe. La rapport indique qu'un astronome de l'Observatoire
Naval des USA a indiqué lors d'une conférence de l'AAS que des irrégularités dans l'orbite de Pluton indiquent que le système
solaire contient une 10ème planète.
En 1982 la NASA elle-même reconnaît officiellement la possibilité de l'existence
de la Planète X, en annonçant qu'un objet est bien là - bien au-delà des planètes les plus éloignées.
En 1983 avec la coopération
de la NASA un groupe d'astronomes commence une étude détaillée du ciel à l'aide du Infrared Astronomical Satellite (IRAS).
A l'automne de cette année, l'IRAS découvre divers objets se déplaçant au voisinage du système solaire, dont 5 comètes inconnues,
quelques comètes "perdues", 4 nouveaux astéroïdes et un objet énigmatique semblable à une comète. Les titres
sont Un objet géant mystifie les astronomes et Un corps mystérieux trouvé dans l'espace. Le Washington
Post publie l'article suivant :
Un Objet
Géant au Bord du Système Solaire est un Mystère
Un corps céleste peut-être aussi grand que la planète géante Jupiter et a priori assez proche de la Terre pour faire
partie de ce système solaire a été découvert dans la direction de la Constellation d'Orion par un télescope en orbite nommé
IRAS. Cet objet est si mystérieux que les astronomes ne savent pas s'il s'agit d'une planète, d'une comète géante, d'un "proto-étoile"
qui n'a jamais été assez chaude pour devenir une étoile, une galaxie éloignée si jeune qu'elle est encore dans le processus
de formation de ses premières étoiles, ou une galaxie si enveloppée de poussière qu'aucune lumière émise par ses étoiles ne
filtre jamais. "Tout ce que je peux vous dire c'est que nous ne savons pas ce que c'est," dit Gerry Neugebauer, directeur
scientifique de l'IRAS."
On trouve dans l'histoire diverses mentions d'une telle planète
:
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Les sumériens
l'appellent la 12ème planète ou Nibiru ("planète de passage"), et ont un nom pour qualifier son orbite d'approximativement
3600 ans : un "Shar". |
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Les babyloniens
et mésopotamiens l'appellent Marduk, Le Roi des Cieux et le Grand Corps Céleste. |
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Les anciens
hébreux la réfèrent comme le Globe Ailé en raison de sa longue orbite parmi les étoiles |
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Les grecs
la nomment Némésis (un de ses noms les plus courants) |
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Des prophètes
l'on nommé l'Etoile Bleue, l'Etoile Rouge, le Messager Enflammé, et la Comète de la Fatalité parmi d'autres |
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Les anciens
astronomes indous nomment son orbite de 3600 ans "Treta Yuga" et la destruction qu'elle cause "Kali Yuga". |
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Source:
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Traduction d'extraits de Kingship of Heaven, pages
246-248.
L'apparition périodique de la (12ème) Planète, et sa disparition
à la visibilité de la Terre, confirme l'hypothèse de sa permanence sur une orbite solaire. Elle se comporte en cela comme
de nombreuses comètes. S'il en est ainsi, pourquoi nos astronomes ne sont-ils pas au fait de l'existence de cette planète?
Le fait est que même une orbite deux fois plus petite que la plus petite révolution de (la comète) Kohoutek ( 7500 ans) placerait
la 12ème Planète environ six fois plus loin que Pluton - distance à laquelle on ne pourrait pas voir une telle planète. De
fait, les planètes que l'on connaît au-delà de Saturne ne furent pas découvertes en premier lieu de façon visuelle, mais mathématiquement.
Les sources Mésopotamiennes et bibliques apportent des preuves
solides pour que la période orbitale de la 12ème Planète soit 3600 ans. Le nombre 3600 s'écrivait en Sumérien à l'aide d'un
grand cercle. L'épithète employé pour la planète, "shar", signifiait aussi "un cercle parfait", ou "un cercle achevé". Il
signifiait aussi 3600. L'identité des trois termes - planète/orbite/3600 - ne pouvait pas être pure coïncidence. Les périodes
du règne que donne (un texte Sumérien) sont aussi des multiples parfaits du "shar" 3600 ans. Une conclusion qui s'impose d'elle-même
est que ces règles du "shar" étaient associées au "shar", période orbitale de 3600 ans.
Traduction d'extraits de Kingship of Heaven, pages
242-245.
Tous les peuples anciens considéraient l'approche périodique
de la 12ème Planète comme le signe de grands bouleversements, de grands changements, de nouvelles ères. Les textes Mésopotamiens
parlaient de l'apparition périodique de la planète comme d'un événement anticipé, prévisible, et observable. "La grande planète,
rouge sombre à son apparition."
Le jour lui-même a été décrit par l'Ancien Testament comme une
période de pluies, d'inondations, et de tremblements de terre. Si l'on pense aux passages de la Bible comme se référant, comme
leurs contreparties Mésopotamiennes, au passage dans le voisinage de la Terre d'une grosse planète avec une force de gravitation
importante, les paroles d'Isaïe prennent tout leur sens: "Ils viennent d'un pays lointain, des extrémités du ciel, Yahvé et
les instruments de sa colère, pour ravager tout le pays. "(Isaïe, 13-5) "C'est pourquoi je ferai frémir les cieux, et la Terre
tremblera sur ses bases, sous l'emportement de Yahvé Sabaot, le jour où s'allumera sa colère." (Isaïe 13-13)
Le prophète Amos a prédit de façon explicite: "Il adviendra
en ce jour-là - oracle du Seigneur Yahvé - que je ferai coucher le Soleil en plein midi et que j'obscurcirai la Terre en un
jour de lumière." (Amos 8-9) Le prophète Zaccharie a informé les peuples que ce phénomène de l'arrêt de la rotation terrestre
autour de son axe ne durerait qu'un jour: "Il arrivera, en ce jour-là, qu'il n'y aura plus de lumière mais du froid et du
gel. Et il y aura un jour unique -Yahvé le connaît - plus de jour ni de nuit..." (Zaccharie 14-6,7)
Le prophète Joël dit: "Le Soleil se changera en ténèbres, la
Lune en sang." (Joël 3-4)
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Il y a 6000 ans, la première grande civilisation sumer, fut fondée entre l'Euphrate
et le Tigre, par les Sumeriens. Zecharia Sitchin (sitchin.com), historien d'origine Russe s'intéressant aux langues, à l'histoire et à l'archéologie
de l'Orient ancien, conclut en 1976 une genèse de l'homo sapiens en accord avec celle des Tibétains ( si on en croit le lama
Lobsang Rampa ), des Hawaiiens, des aborigènes d'Australie, des Indiens d'Amérique du Nord (Apaches, Hopis et Sioux), des
Mayas (d'après le prêtre de la confrérie blanche des Mayas, Miquel Angel). Les Annunakiens des mythes Sumériens,
"ceux qui descendaient du ciel sur la Terre", étaient des extra-terrestres venant d'une planète encore inconnue de notre système
solaire qui fait le tour du soleil en 3600 ans, la planète Nibiru.
Il est curieux de noter que les phases évolutives
de l'humanité se font au rythme de 3600 ans c'est-à-dire qu'à chaque retour de la planète Nibiru, une nouvelle phase civilisatrice
commence. 11 000 ans Av. J.C. : l'agriculture ; 75 000 av. J.C. la culture néolithique puis 3800 ans av. J.C. la civilisation
sumérienne.
La dernière fois que Nibiru serait passé, était à l'époque de Moïse. 1300 - 1250 ans av J.C. Deux faits
furent marquant: d'abord la manne céleste. Son explication tient au fait que Nibiru, planète-comète, aurait une queue. Celle-ci,
outre des particules allant du gravier aux pierres plus grosses, contiendrait des substances pétrolifères qui au contact de
notre atmosphère se précipitent telle une rosée sucrée très riche en protéines et comestible. L'autre point serait l'ouverture
de la Mer Rouge devant les Hébreux. Il s'est agi sous l'effet de l'attraction de Nibiru de remontées de plaques tectoniques
qui ont momentanément scindé la mer en deux avant de s'effondrer engloutissant ainsi les Egyptiens. Dans ce ca, la Planète,
sera au plus près de nous dans 250 à 300 ans par rapport à la date estimée de la vie de Moïse. Certains de ses passages
ont été catastrophiques d'autres non. En tout cas, cela valide les écrits sumériens. |

Sur le cylindre (sceau) ci-dessus, les tailles des planètes montrées peuvent être considérées comme des approximations.
Néanmoins, il est évident que Nibiru ait été considéré non seulement beaucoup plus grande que Pluton, mais également
que la terre. Ce n'était donc pas "une roche glaciale" dans la ceinture de Kuiper. Nibiru, pour les Babyloniens, était le
corps céleste lié au dieu Marduk. En Akkadien cela signifie "l' endroit de croisement " ou "l'endroit de la transition".
Mais dans la plupart des textes babyloniens Marduk est identifié avec la planète Jupiter.
Selon des chercheurs
et ufologues, les habitants de cette planète, les Nibiriens, (ou les Anunnaki, Nephilim, Elohim, Mardukiens, etc.),
atterrirent sur notre Terre pour la première fois il y a environ 450.000 ans pour sauver leur planète. Ils se mirent à extraire
l'or et d'autres matières premières dont ils avaient besoin et créèrent l'homo sapiens il y a 300.000 ans environ par manipulations
génétiques sur des femelles d' hominiens. Ils avaient besoin d'aide, car ils ne voulaient plus extraire eux-mêmes ces matières
premières. La Mésopotamie fut leur première colonie.
Selon le mythe, les dirigeants des civilisations extra-terrestres
devaient faire face à des rivalités dues à la conduite à mené face à leur création. Les hommes qui n'étaient rien d'autre
que des esclaves, furent soumis à la famine, aux maladies et à des guerres biologiques. Les textes de Mésopotamie montrent
que tous ces moyens s'étant révélé inefficaces pour faire régresser la population humaine, les extra-terrestres décidèrent
d'exterminer les hommes en provoquant un grand déluge. Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que " EA ", Prince
extra-terrestre de la terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient
aux hommes, et fonda cette "Confrérie du Serpent". Mais la confrérie fut vaincue par d'autres groupes des extra-terrestres
régnants, EA fut banni sur Terre. De " Prince de la Terre ", il passa " Prince des ténèbres ". On enseigna aux hommes que
tout le mal de la Terre était de sa faute et qu'il voulait que les hommes deviennent des esclaves. On exhorta les hommes à
le démasquer chaque fois qu'il se réincarnerait et à l'anéantir avec ses créatures s'ils les rencontraient.
Source:
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Histoire des Annunaki
Il y a fort longtemps, mais pas dans une lointaine
galaxie, dans notre bon vieux système solaire (probablement peu après sa formation voici 4.6 milliards d'années), la terre,
alors deux fois plus grosse qu'aujourd'hui et recouverte d'eau, s'appelait Tiamat et orbitait entre Mars et Jupiter. Tiamat
possédait alors une grosse lune (du nom de Kingu qui n'est évidemment pas celle d'aujourd'hui) qui sera plus tard destiné
à devenir une planète, dont nous n'avons malheureusement pas d'autre précision (cette mystérieuse planète, autrefois Kingu,
serait probablement Mercure dont les anomalies pourraient ainsi être justifiées). Une dixième planète (ou douzième corps céleste
pour les anciens qui incluaient la Lune et le Soleil) plus grosse que Tiamat, nommée Nibiru (ou Nibirou) par les sumériens
et plus tard Marduk (ou Mardouk) par les babyloniens (du nom de leur dieu principal depuis Hammourabi), décrivait également
une très large orbite elliptique (d'une période de révolution égale à 3600 ans) entre Mars et Jupiter.
Nibiru (Marduk)
tournait dans le sens inverse des autres planètes et son orbite n'était pas forcément dans le plan de l'écliptique (le plan
orbital des autres planètes), ce qui signifierait qu'elle n'appartenait pas au système solaire à son origine. L'Enuma Elish
(texte sacré babylonien) précise que Nibiru (Marduk) était une planète "nomade" propulsée dans le système solaire (et capturée)
suite à un événement cosmique de nature inconnue. Sa trajectoire, via Neptune et Uranus, aurait suivi un mouvement effectué
dans le sens des aiguilles d'une montre à l'inverse du sens de rotation des autres planètes tournant autour du soleil. Les
effets gravitationnels combinés de ces autres planètes auraient alors déviés Marduk vers le centre du système solaire, en
pleine formation (Les tablettes sumériennes n'y font pas allusion mais toutes n'ont sûrement pas été découvertes et un grand
nombre et surtout de meilleure qualité).
La vie semble s'être épanouie sur Marduk, probablement après sa capture par
le système solaire, aboutissant à une civilisation extraterrestre (les Annunaki pour les Sumériens et les Néfilims pour les
Babyloniens et plus tard les Hébreux) ayant acquis une certaine maîtrise du voyage interplanétaire avant la catastrophe. En
effet, Nibiru/Marduk s'approcha si près de ce qui était alors notre orbite, qu'une de ses lunes entra en collision avec Tiamat
(les textes sumériens moins précis laissent plutôt supposer que le choc concerne les deux planètes elles-mêmes) la coupant
en deux. La partie supérieure intacte de Tiamat (ainsi que sa lune principale) fut (furent) déplacée(s) sur une nouvelle orbite
entre Mars et Vénus pour devenir après un nouvel équilibre (et reconstruction géologique) notre Terre telle qu'elle est aujourd'hui.
L'autre partie de Tiamat (celle ayant subit le choc) aurait été réduite en mille morceaux pour devenir, selon les Sumériens,
le "bracelet martelé" que nous appelons la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter. A ce propos, on a repéré des trouées
importantes à l'intérieur de la ceinture d'astéroïdes (diamètre de l'ordre du million de km) qu'on explique par des phénomènes
de résonance avec Jupiter (cf. les divisions de Kirkwood). Mais que l'on pourrait également justifier par l'orbite d'un important
corps planétaire qui l'aurait traversée.
Les archives sumériennes précisent que les Annunaki étaient très grands : les femmes avaient une taille de 3 à
3.50 m et les hommes de 4 à 5m. Leur durée de vie était d'environ 360 000 années terrestres (soit environ cent années de Nibiru/Marduk,
ce qui est cohérent avec notre longévité), puis ils mourraient comme tout le monde. Toujours selon ces archives, il y a environ
450 000 ans, les Annunaki / Néfilims durent impérativement solutionner un problème atmosphérique en liaison avec leur hiver
(aphélie : point de l'orbite d'un corps tournant autour du Soleil où la distance de ce corps au Soleil est maximale) très
long. Leurs scientifiques ont alors imaginé de répandre de la poussière d'or dans la partie supérieure de leur atmosphère
afin de profiter de son fort pouvoir émissif permettant ainsi de maintenir une température suffisante à leurs besoins. Il
est intéressant de noter que nos spécialistes préconisent une solution analogue pour lutter contre les trous de la couche
d'ozone en y répandant des particules de poussière destinées à filtrer les rayons nocifs du Soleil.
Les gisements d'or
sur Nibiru (Marduk) étant insuffisants, la Terre fut exploitée à son tour (il est possible que Mars ait été antérieurement
exploité car plus proche). Les tablettes décrivent les Annunaki voyageant dans des vaisseaux spatiaux laissant sortir des
flammes à l'arrière des fusées de type rocket. Cette technologie nécessitait que Nibiru soit suffisamment proche de la Terre
pour faire le voyage entre les 2 planètes. Ils atterrirent et s'établirent dans une région correspondant à l'Iraq actuel en
constituant ainsi les premières colonies (constructions des premières villes extraterrestres). Pour trouver de l'or, ils se
rendirent dans une vallée située au Sud-Est de l'Afrique (en face de l'île de Madagascar). ,Des ouvriers Annunaki (les dieux
inférieurs comme les désignaient les Sumériens ) creusèrent et exploitèrent les premières mines d'or. Des navettes furent
mises en œuvre pour transférer l'or depuis l'Afrique du Sud vers Nibiru. 100 000 à 150 000 ans plus tard (ici les textes
sont imprécis), ces ouvriers Annunaki ne tolérant plus leurs conditions de travail se rebellèrent contre leur hiérarchie militaire.
La solution adoptée fut la fabrication d'ouvriers hybrides par ingénierie génétique à partir du sang Annunaki (ADN) et celui
de primates locaux (trop malhabiles à l'état naturel) et qu'ils se substituent aux dieux inférieurs dans te travail minier.
Les premières expériences génétiques se firent dans des récipients en argile.Cette nouvelle espèce de primates devint l'Homo
sapiens-sapiens : nous aurions ainsi été conçus (créés) par des dieux dans le seul but de servir d'esclaves destinés à creuser
la terre et extraire son or. Notre fonction de mineur s'étendit plus tard à d'autre tâches domestiques.
Source:
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LES GRANDES PREDICTIONS ET LA PLANETE X
Une possibilité de cataclisme sur Terre
à cause de la 12ème planète.
Il ne nous est pas possible pour le moment
de vérifier ces avances...
D'àprès la prohétie de Zetatalk, cela devait arriver en
2003, et la date est à revoir...
Mais ce n'est malheureusement peut-être que partie remise...pour
le 21 décembre 2012 si l'on se réfaire à d'autres prophéties ?
Le groupe OVNI007
Prophéties de Zetatalk

Le jour d’un basculement des pôles important, tel qu’il en adviendra lors du prochain passage
de la 12ème Planète, ne pourra être ignoré par aucun être humain de la Terre. Pour la plupart, ce sera le jour le plus terrible.
- Ceux qui n’en auront pas été avertis ne seront pas plus mal lotis que ceux qui auront entendu
des rumeurs à ce sujet mais n’auront pas pu effectuer les changements nécessaires dans leur vie pour s’y préparer.
En fait, ne pas avoir été prévenu sera plutôt une bénédiction pour ceux qui ne peuvent s’y préparer, car de cette façon
ils ne se tourmenteront pas à propos des choix qu’ils auront faits. Ceux qui se seront préparés seront dans un état
de grande anxiété, imaginant le pire. Qu’il s’agisse d’un humain qui réalise ce qui va se produire mais
n’a pu se rendre, lui et les siens, en lieu sûr, ou d’un autre qui ne réalise rien du tout, l’effet est
le même. Ils attendent ce qui va arriver ensuite. Comme nous l’avons décrit, cette attente peut prendre la forme de
distractions telles que des soirées, ou la forme du déni dans la continuation du train-train comme si tout était normal, mais
pour la plupart, cette attente relève plus de l’action de retenir son souffle. Ils sont sous le choc, dès qu’ils
réalisent que la Terre s’est arrêtée de tourner pour bientôt basculer, ils sont essentiellement en état de choc, et
cela pendant des jours.
- Pour ceux qui vivent le long des côtes, l’heure à laquelle la croûte terrestre se déplacera
avec le noyau vers une nouvelle position ne fera pas de désastre jusqu'à ce que le noyau de la Terre et la croûte avec lui
arrêtent leur mouvement. Alors seulement d’énormes raz-de-marée viendront se dérouler lentement sur les régions côtières,
d’abord d’un côté des océans puis, plus tard après que les eaux aient rebroussé chemin, de l’autre côté.
Les deux raz-de-marée auront les mêmes effets dévastateurs. Se trouver sur un sol surélevé le long d’une côte ne sera
d’aucun secours si l’eau ne peut aller ailleurs, car la pression de l’eau sous la crête de la vague forcera
celle-ci à monter à l’assaut des obstacles, aussi sera-t-on noyé de toute façon. Voguer sur les flots conduira à se
faire jeter violemment contre des obstacles, et se laisser sombrer dans les vagues sera comme une noyade, mais heureusement
une mort sans souffrance. Donc, ceux qui vivent le long des côtes meurent à cause des raz-de-marée, pratiquement tous, à moins
de n’être déjà morts.
- Pour ceux qui vivent à l’intérieur des terres loin de la menace des raz-de-marée, les séismes
sont dévastateurs. Excepté les habitats les plus légers, tout s’effondre sous la violente secousse, écrasant et piégeant
toutes choses à l’intérieur. Ceux qui seront dans des tentes ou des huttes de pailles se retrouveront ballottés dans
tous les sens, comme leur logement, mais sans grandes blessures à part les égratignures et les bleus. Se coucher par terre
à ce moment là sera bien faire et en soi une protection car les frottements au sol empêchent de se faire projeter. Dans les
villes, les structures s’effondrent, reproduisant le scénario observé après les tremblements de terre majeurs, un peu
partout. Les blessés meurent faute de soins et les vivants tombent bientôt malades après avoir bu des eaux usées contaminées,
et comme les transports sont bloqués de partout, la famine aussi fait rapidement beaucoup de victimes.
- Ceux qui vivent sur les plaques subductrices qui bordent les océans se retrouveront sous une profondeur
d’eaux océaniques auxquelles ils ne pourront pas résister. Ils seront sûrement noyés. Ceux qui se trouvent là où se
produisent de rapides subductions, dans des zones au-dessus du niveau de la mer, se pourront être sur un sol qui chauffe par
la suite du basculement des pôles quand s’arrête la croûte en mouvement et que les plaques, essentiellement, se flanquent
les unes contre les autres comme les wagons d’un train dont le moteur s’arrête soudain. Là il est bon de se trouver
en hauteur, car plus on est loin des endroits où le frottement sur la croûte crée de la chaleur, mieux c’est. La chaleur
peut être assez forte pour faire fondre la roche, comme l’attestent les témoins qui ont survécus à ces terribles spectacles.
Les volcans, actifs et inactifs, exploseront violemment, et couvriront les zones alentour de pluies de roches et de poussière,
en amenant l’air à des températures telles que toute vie sur place s’éteint en un clin d’œil.
- Les éclairs et les tempêtes de feu, issues des composés pétrochimiques enflammés qui tombent sur Terre
en rideaux de feu, composés formés lors de l’interaction des gaz avec la chaleur des volcans et les éclairs continuels,
ne peuvent être prédits. Ils peuvent se produire partout dans le monde, car les vents forts comme des ouragans sont un facteur
atmosphérique, ce que ne sont pas les terres. Si elles peuvent être rares, ces tempêtes de feu sont dévastatrices, et brûlent
tout sous le mur de flamme en un holocauste. Les victimes horrifiées ont peu de chance de réaliser seulement ce qui se passe
avant d’être englouties et de perdre conscience par manque d’oxygène. Comme lors de la combustion humaine spontanée,
la victime est inconsciente pendant qu’elle est brûlée. On trouvera la meilleure protection contre cette forme assez
rare de catastrophe en s’abritant sous un toit métallique, qui ne brûlera pas.
- Dans les zones rurales, les survivants auront moins à faire de l’effondrement de la civilisation
que des changements climatiques. Dans un premiers temps, les réserves seront consommées jusqu'à épuisement, puis s’installe
un réel souci de n’être pas capable de faire pousser des cultures. Le Soleil ne brillera-t-il jamais à travers les nuages
? Plus que toute autre raison, c’est ce qui poussera les survivants du basculement des pôles à l’errance - ils
recherchent une terre où brille le Soleil comme avant, sûrs qu’ils sont d’être du mauvais côté de la Terre pour
une raison ou une autre. La famine porte bientôt les survivants à manger tout ce qui leur tombe sous la main, à mastiquer
des vieux bouts de cuir, à manger les branches d’arbres morts, mais la faim tenaillante persiste. Mourir de faim est
aussi quelque peu douloureux, car une sorte de stupeur s’installe. L’esprit est engourdi, et une langueur enveloppe
l’humain, qui est essentiellement endormi quand la mort arrive.
La 12ème Planète, en baroudant à travers le Système Solaire, n'appose
pas son influence qu'à la Terre, comme on l'imagine aisément. Comment n'affecterait elle pas les autres planètes, surtout
celles qui sont proches du Soleil? Si la Terre subit à chaque fois un basculement des pôles, pour être constituée de matériaux
qui cherchent à s'aligner au champ magnétique de la comète géante, les autres planètes réagissent totalement différemment.
Vénus, par exemple, est relativement peu touchée, à part un léger changement d'orbite au passage de la comète. Mars subit
lui aussi un basculement des pôles, mais léger, car cette planète est refroidie et son noyau est moins fluide que celui de
la Terre. Les planètes extérieures, selon leur masse, sont légèrement attirée vers l'intérieur au cours du passage de la comète,
mais retrouvent leur cheminement normal par la suite, l'influx des paramètres qui déterminent leur orbite naturelle reprenant
le dessus. Et comment le Soleil réagit il, pour sa part? De façon imperturbable, même pas la moindre éruption, parce que l'activité
solaire provient de l'intérieur du Soleil, et non de l'extérieur.
Prophéties des Hopies Chez
les indiens Hopis d'Amérique du Nord, l'une d'elles dit ceci : "Un jour certaines étoiles viendront ensemble en une seule
rangée, comme cela s'est déjà produit il y a des milliers d'années. C'est le temps de purification pour la Terre. Des changements
de climat et de nombreuses catastrophes peuvent se produire quand nous parviendrons à ce stade. Ce qui peut se produire alors
personne ne peut le savoir réellement". Des " étoiles en une seule rangée " ? Voilà un élément qui évoque l'alignement de
toutes les planètes prévu le 21 décembre 2012. D'après cette prophétie, outre d'immenses dégâts et pertes en vies humaines,
ce serait le début d'une nouvelle ère glaciaire. Les prophéties des Hopis auraient été communiquées à leurs prophètes par
le Créateur lui-même. Elles peuvent ou ne peuvent pas se concrétiser. Il s'agit donc davantage de probabilités modifiables
selon la volonté du Créateur ou des hommes, d'après ce que prétendent les Hopis qui les ont faites. Celles qui se sont réalisées
sont tellement impressionnantes que le livre des prophéties des Hopis (Hotevilla) a été traduit en Français par l'Unesco (T.
E. Mails, op. cit., p. 186).
Prophéties des Mayas Les prophéties des Mayas sont en gros identiques à celles des Hopis. Elles indiquent que nous sommes
parvenus à la fin d'un dernier cycle d'existence pour nos civilisations. Les dates données de ce cycle correspondent pour
le début au 12 août 3114 avant J. C. et au 21 décembre 2012 pour la fin. A ce moment-là notre planète est censée enregistrer
de très violents séismes terriblement dévastateurs.
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Nostradamus L’effrayante
perturbation dans l’orbite et dans le mouvement de la planète Terre est expliquée scientifiquement par le voyant Nostradamus
lui-même, par l’approche d’un autre astre qui, durant sept jours, apparaîtra comme un autre soleil.
II-41 La grand estoille par sept jours bruslera, Nuee fera deux soleils apparoir, Le
gros mastin toute nuict hurlera, Quand grand pontife changera de terroir.
"A une éclipse de soleil, dit Nostradamus,
succédera l’été le plus obscur et le plus ténébreux qui ait jamais été vu depuis la création jusqu’à la passion
et la mort de Jésus-Christ, et depuis ce moment jusqu’à ce jour, et c’est au mois d’octobre que se produira
une grande translation, de telle sorte qu’on croira que la Terre sera sortie de son orbite et se sera abîmée dans les
ténèbres éternelles".
L’Apocalypse L’Apocalypse de Saint-Jean mentionne cet astre, le baptisant du nom d’Absinthe, amertume,
(Apoc. VIII, 11). Cette planète gigantesque, habituellement désignée sous le nom d’Hercolobus, est appelée par certains
la "Planète Froide" et d’autres la nomment la "Planète Rouge" ; elle est incontestablement beaucoup plus grande que
Jupiter, le géant colossal de notre système solaire.
Astrologie l’Inde ancienne Les astrologues de l’Inde ancienne nommaient Yuga le cycle de 3600 années correspondant au Shar.
Selon les Puranas en effet, une Ère complète dure 14400 ans (soit 4 x 3600 ans) et se divise en quatre Âges principaux articulés
à partir de ce cycle : le Satya Yuga ou Âge d’Or qui dure 7200 ans (soit 2 Shars), le Treta Yuga ou Âge d’Argent
qui dure 3600 ans (soit 1 Shar), le Dwapara Yuga ou Âge de Cuivre qui dure 2400 ans (soit 2 tiers de Shar), et le Kali Yuga
ou Âge de Fer qui dure 1200 ans (soit le tiers restant du quatrième Shar). Ces Âges se divisent eux-mêmes en sous-âges qui
ont les mêmes noms et s’échelonnent selon le même rapport-temps (2 + 1 + 2/3 + 1/3 = 4). Ainsi, le Kali Yuga comporte
son âge d’or qui dure 600 ans, son âge d’argent qui dure 300 ans, son âge de cuivre qui dure 200 ans et son âge
de fer qui dure 100 ans. La période que nous finissons actuellement de traverser correspond à l’âge de fer du Kali Yuga
et s’étend du début de notre XXe siècle au retour de Nibiru et au démarrage d’un nouveau grand cycle de 14400
années (= 4 Shars).
Prophétie de V.M RABOLU
HERCOLOBUS-PLANETE ROUGE
Voici des extraits de ce livre si mystérieux et inquiétant. |

"Hercólubus ou Planète Rouge est 5 ou 6 fois plus grand
que Jupiter, c’est un énorme géant que rien ne peut arrêter ou dévier.
Ce livre, je l'ai écrit avec beaucoup de
sacrifice, étendu sur un lit, sans pouvoir me lever, ni m'asseoir, mais considérant le besoin qu'il y a d'avertir l'Humanité
du cataclisme qui vient, j'ai fait réellemnt un grand effort.
Ce message, je le dédie à l’Humanité comme dernier recours,
parce qu’il n’y a rien d’autre à faire.
Lorsque Hercólubus sera plus près de la Terre, qu’il sera
à la hauteur du soleil, alors les épidémies mortelles commenceront à se répandre sur toute la planète et les médécins et la
science officielle ne sauront pas de quelles maladies il s’agit et comment les soigner, ils resteront désorientés et
désarmés.
L’axe de la Terre n’est plus à sa place et avec
les tremblements de terre, les raz-de-marée, il finira par lacher.
Il y a de grandes fissures tout au fond des mers, très profondes,
où le feu de la Terre est déjà entré en contact avec l’eau et les cyclones commencent à se déchaîner, ce que les nord-américains
appellent “Le Phénomène de El Niño”; ce n’est pas “El Niño”, c’est le contact du feu de
la Terre avec l’eau, qui s’étend à travers l’océan.
Ce que j’affirme dans ce livre est une prophétie très
court terme, parce que je connais la fin de la planète. Je ne veux pas faire peur, je veux prévenir, parce que je suis inquiet
pour cette pauvre Humanité. Les faits ne se feront pas attendre et il n’y a pas de temps à perdre avec des choses illusoires.
Je fais savoir qu'Hercolubus est une crétion, un monde comme le nôtre. Une Humanité l'habite,
aussi perverse que celle d'ici. Chaque planète, chaque monde a son Humanité. Que ces messieurs les scientifiques n'aillent
pas croire qu'ils vont pouvoir attaquer cette planète et la désintégrer, parce que là-bas, ils possèdent aussi leurs armes,
et ils peuvent répondre et nous faire disparaître d'un moment à l'autre. Si jamais ils les attaquent, ils vont se défendre
et alors, la fin n'en sera que beaucoup plus rapide."
LES SOLUTIONS POUR SE PROTEGER:
"Il faut commencer à nous auto-observer pour voir les milliers de détails négatifs que nous
avons.-Voilà le travail que doit faire quiconque veut sauver du désastre qui arrive. Des détails négatifs comme les mauvaises
pensées, la haine, l'envie qu'on ressent envers d'autres personnes, l'ambition, dérober des pièces de monnaie ou des choses
insignifiantes, dire des mensonges, prononcer des paroles pleine d'orgueil, la convoitise, bref toutes ces chosesqui, qui
au fond, sont négatives, on doit commencer à les désintégrer sérieusement.
Il y a une autre étincelle divine en nous qui s'appelle la Mère Divine, qui a pour mission de
désintégrer les défauts avec une lance qu'elle possède. Aussi infime soit le détail, on doit demander à la MERE DIVINE interne:
"Ma Mère, enlève-moi ce défaut et désintègre-le avec ta lance". Et elle le fait alors parce que c'est sa mission: nous aider
de cette façon à nous libérer, petit à petit,
Ce que j'enseigne ici doit être mis en pratique dans les faits: où qu'on aille, qu'on soit entrain
de travailler, ou en train de faire quoi que ce soit, on doit faire attention au mental, au coeur et au sexe. Ce sont les
trois centres par lesquels tout défaut se manifeste, et quand un élément est en train de se manifester, par n'importe lequel
de ces trois centres, tout de suite on fait la demande à la Mère Divine, pour qu'elle procède à sa désintégration.
Avec ce travail de la mort de l'ego que je suis en train d'indiquer, on acquiert la Chasteté
Scientifique et on apprend à aimer l'Humanité. celui qui ne travaille pas avec la désintégration des défauts ne pourra jamais
parvenir à la Chasteté, ni arriver non plus à sentir de l'amour pour les autres, parce qu'il ne s'aime pas lui-même.
La désintégration des défauts et le dédoublement astral sont les SEULES ET UNIQUES FORMULES
existantes pour être sauvé."
V.M. Rabolú |
Le livre «Hercólubus ou
Planète rouge» est une aide proposée à l’humanité afin d’éviter sa destruction due à l’arrivée de
la planète Hercólubus. Pour autant, sa vente ne peut pas avoir de but lucratif et ne peut pas servir à enrichir autrui.
Son auteur, V.M. Rabolù
a écrit ce livre en renonçant à tout gain personnel et pour cela, Les Editions Humanidad (honduras) diffuse cette oeuvre à
prix coûtant, sans aucun bénéfice extra.
De même, Les Editions Humanidad
n’éditent aucun autre livre que celui-ci ou d’autres auteurs et ne font pas de réimpressions d’autres œuvres.
Ils distribuent exclusivement «Hercólubus ou planète rouge» de V.M. Rabolù.
Sincèrement. Editions
Humanity (Honduras, Central America)
Site du
livre: http://www.hercolubus.net |
Les œuvres audiovisuelles inspirées de cette dernière et sous format vidéo qui circulent sous
les titres de «HERCÓLUBUS: LA FIN DES TEMPS» et «HERCÓLUBUS II»
ne sont pas AUTORISEES par révocation expresse expédiée par l’auteur le 24 août 1999.
Ceci en raison de l’usage frauduleuse et illégale que l’on fit dans ces œuvres audiovisuelles
en utilisant l’œuvre originelle du V.M. Rabolù « Hercólubus ou Planète Rouge », en attribuant des
dates et des passages qui n’apparaissent pas dans l’œuvre originelle.
Quelques précisions externes sur Hercolubus
L’Apocalypse
de Saint-Jean mentionne cet astre, le baptisant du nom "d’Absinthe, amertume", [Apoc. VIII, 11]. Cette planète gigantesque,
habituellement désignée sous le nom d’Hercolobus, est appelée par certains la "Planète Froide" et d’autres la
nomment la "Planète Rouge" ; elle est incontestablement beaucoup plus grande que Jupiter, le géant colossal de notre système
solaire.
V. M. Rabolù, Indien d'Amérique du Sud, confirme dans "Hercolobus,
planète rouge" édité en 2002, l'approche de Nibiru, qu'il a rebaptisée Hercolubus. Il décrit l'objet comme une énorme planète
et confirme qu'elle influence et perturbe d'ores et déjà la Terre.
Voici ce que dit Rabolù à propos de la planète rouge
: “Nous allons parler d’Hercolubus ou Planète Rouge, qui se dirige vers la Terre. Les scientifiques, selon leurs
dires, l’ont même déjà pesé, il pèse tant de tonnes et mesure tel diamètre, comme s’il s’agissait d’un
jouet pour enfants; mais ce ne pas ainsi. Hercolubus ou Planète Rouge est 5 ou 6 fois plus grand que Jupiter, c’est
un énorme géant que rien ne peut arrêter ou dévier .../... L’axe de la Terre n’est déjà plus à sa place,
et avec les secousses, les tremblements de terre, les raz-de-marée, il finira par lâcher et l’enfoncement commencera.
Ne croyez pas cher lecteur, que la planète va s'enfoncer d'un seul coup. C’est un processus long, lent, angoissant”.
Source:
=====
D'AUTRES SOLUTIONS PROPOSEES POUR SE PROTEGER D'UN EVENTUEL CATACLISME
Il y a de nombreux endroits sur Terre qui seront plus sûrs que d’autres.
Le bon sens doit vous guider. Si l’on s’enquiert de la littérature sur les changements géologiques passés, et
les enregistrements écrits et parlés des cataclysmes du passé, on peut tracer leur chemin. Les lignes de côte sont dangereuses,
car les raz-de-marée y seront énormes. Les plaques subductrices ou les zones proches de montagnes jeunes seront risquées.
Les bâtiments susceptibles d’être endommagés par les séismes seront à éviter et le mieux sera d’être sous une
structure la plus légère possible comme une tente ou une hutte. Des abris naturels contre le vent existent, tels que les vallées
entre les montagnes.
- On peut prévoir que les zones de montagnes jeunes seront sujettes à de nouveaux soulèvements lors
du basculement des pôles qui s’annonce. Cela inclut les Rocheuses à l’ouest du Fossé Continental, car lorsque
le Pacifique se resserrera, la plaque subductrice qui va plier sous la côte ouest créera non seulement des soulèvements et
des déplacements des zones de surface au-dessus de cette plaque, mais encore un réchauffement de la Terre dû au frottement.
Ce sera la même chose dans l’Himalaya, mais en revanche les montagnes d’Europe ne seront ni plus ni moins sûres
que les autres régions de ce continent, car l’Atlantique fera pivoter l’Europe et en abaissera le niveau. Donc,
les montagnes d’Europe seront plus sûres que les plaines qui sont sujettes aux raz-de-marée. La chaîne montagneuse qui
court le long de l’Amérique du Sud est aussi grandement sujette à traumatismes lors du basculement, de la même façon
que les Rocheuses. Ici encore, la terre à l’est du Fossé Continental est le point le plus touché.
- Dans les deux Amériques, les terres situées à l’est du Fossé Continental ont tendance à aller
vers un petit tour dans les plaines de l’est. La chaleur due au frottement joue ici, mais il n’y a pas de chaleur
par compression. La chaleur due au frottement est aussi plus proche de la surface et se dissipe plus vite que la chaleur générée
par le frottement des plaques plus profondes où la température monte jusqu'à véritablement faire fondre la surface rocheuse.
- Inutile de dire que les cavernes ou les tunnels construits par l’homme dans les zones de montagne
soumises à traumatismes ne seront pas des lieux sûrs. Visitez seulement Yosemite Park pour observer les forces qui seront
en jeu. La vallée à 2000 pieds au-dessous des montagnes environnantes, pour preuve des forces de cisaillement qui eurent lieu
dans la roche solide par le passé. Est-ce que les cavernes et les tunnels construits par l’homme dans les montagnes
plus anciennes seront plus sûrs? Oui et non, car dans chaque cas la structure de la zone montagneuse et en particulier la
stabilité de la caverne ou du plafond du tunnel doivent être analysés. Chaque cas est un cas particulier. Comme les humains
prennent le risque d’être piégés ou ensevelis et ne doivent pas espérer du secours par la suite, cette solution est
de loin la moins sûre de toutes les autres solutions.
- L’eau adoucit le souffle dû à la fois aux secousses des séismes et aux projections de débris,
si l’on est sous l’eau. Cependant, l’eau vous emporte dans ses flots, et le nageur ou le plongeur peut se
retrouver à des centaines de miles à l’intérieur des terres quand le raz-de-marée se retire, ou loin de toute côte.
Source:
=====
La mystérieuse planète X
(Article à voir)
En 1978, 2 astronomes de l'observatoire
de la Marine US à Washington, R. Harrington et T. Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi
des perturbations venant de l'attraction gravitationnelle d'un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la
planète X.. Cette mystérieuse planète avait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (comme satellites
de Neptune). Selon ces deux astronomes, la planète X. était une intruse que le soleil aurait piégé dans une orbite
très excentrique, très inclinée sur l'écliptique. Cette planète aurait 3 aux 4 fois la masse de la terre.
En fait, les astronomes sont pour la plupart convaincus
qu'il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la 10e
planète ou planète X.. Même la NASA en 1982 va reconnaître l'existence possible de la planète X.. Puis, en 1983, le satellite
Iras repère dans l'espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir
interviewé le responsable de l'Iras qui déclare "un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être
orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d'Orion
par un télescope en orbite... nous ne savons pas ce que c'est".
Dans les années qui suivirent, on fut plus discret, mais les recherches continuèrent
indiquant que X. devait avoir une orbite inclinée de 30 degrés sur l'écliptique, qu'elle devait se trouver trois fois plus
loin du soleil que Pluton et avoir 3 à 4 fois la masse de la terre. En 1987, la NASA reconnaît officiellement l'existence
de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/7/87 "... La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange
: une 10e planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du soleil...".
Le 7 avril 2001, le rapport de Science News titre "l'orbite singulière d'une comète
suggère une planète cachée " écrit " bien au-delà des neuf planètes connues un objet aussi massif que Mors pourrait avoir
fait partie de notre système solaire et pourrait bien s'y trouver encore". Cet article rapporte la découverte par une
équipe d'astronomes, l'année précédente, d'une comète désignée cette fois-ci sous le nom de 2000-CR/105, sur une orbite solaire
elliptique qui la situe à 4,5 milliards de kilomètres du soleil et (ajoute Sky And Télescope du 05/04/2020) cette orbite à
une périodicité de 3300 ans. Une autre étude de l'équipe de L'observatoire de Nice Côte d'Azur, parue dans Icare suppose que
l'orbite de la comète pourrait être l'ouvre d'une planète encore invisible aussi grosse que Mars.... Bref, la mystérieuse
planète alimente les conversations des astronomes ; De toute évidence la planète est bien là, toujours aussi mystérieuse.
Mais elle n'intrigue pas que les astronomes si l'on en croit Zacharia Sitchin (www.surfingtheapocalypse.com/sitchin.html) " je prophétise le retour, dans les temps présents, de cette planète, qui se nomme Nibiru... " (Ce serait la Nibiru des Sumériens).
Est-ce un hasard si plusieurs
médiums prévoient l'arrivée d'une planète ou d'une grosse comète dans notre système solaire, les uns au cours de l'année 2003
voire à la fin, d'autres en 2011-2012 ? Selon les prophéties Incas relatées par A. Villoldo, à l'approche de la fin des
temps (notre époque) nous vivrons la grande période de purification appelée Paccachuti, dans l'année 2003 ; Ceci rejoint les
prédictions de nombreux médiums et prophètes : 2003 devrait être une année importante dans le parcours chaotique de l'humanité.
Certains comme R. Ghotswolf prévoient un déplacement des pôles en 2003. Certains initiés pensent que le monde actuel est
tellement "pourri" que des millions de gens par le monde souhaitent et prient pour que ce monde corrompu soit pulvérisé ;
la force de leurs prières est telle qu'elle permet d'émettre des ondes suffisamment puissantes pour créer une catastrophe.
R. Hoagland qui prétend avoir des informations d'initiés situent cette date en 2003. D'autres, très nombreux aussi, prévoient
en 2003 un premier passage dévastateur de la comète et un dernier en 2012. Cette date de 2012 marque aussi la fin du calendrier
Maya.
Source:
http://www.aci-multimedia.net/feminin/astrologie/planete_x.htm
=====
La constante de Ninive
Cette constante prouve que la 12ème planète Nibiru
ou Marduk existe.
Cette planète existe, et l’on ne peut en
douter, puisqu'elle est indispensable pour arriver à certains calculs.
C'est grâce à l'obligeante coopération de notre Ami, Jean-Charles, membre actif
de l'IRC, ayant écrit ces pages il y a un peu plus d'une vingtaine d'années, que j'ai le plaisir de porter à la connaissance
des visiteurs de ce site une découverte n'ayant pas fait grand bruit à l'époque.. et qui pourtant remet en cause ce que nous
savons des Civilisations Anciennes.. et bien oubliées, dont la connaissance des Sciences remet parfois en question ce que
nous possédons.. redécouvert souvent à grand peine..
Jean A n n e
"Pour comprendre un peu le monde,
Il suffit de retrouver le sens vrai
des choses."
Vers le milieu du 19° siècle à Mossoul, à côté de Bagdad, il y avait un consul
de France nommé Paul-Emile BOTTA qui s'ennuyait à mourir car il n'avait pratiquement rien à faire.
Pour passer le temps,
il faisait de longues marches ou des promenades à cheval, le soir à la tombée de la nuit, dans le désert et sur les collines
qui entouraient la ville.
A force de se promener ainsi, il finit par remarquer que, certaines de ces collines avaient
une forme beaucoup trop régulière pour avoir été mises là par la nature. D'autre part, il savait qu'il n'était pas rare de
ramasser des débris de poteries très anciennes sur ces sites.
Un jour de 1840, BOTTA eut l'idée de commencer à creuser
dans l'une d'elles, la colline de KUYUNDJIK, qui se trouvait sur la rive du Tigre, juste en face de Mossoul, pour essayer
de découvrir ce, qu'il pouvait y avoir dedans.
En plus des débris de poterie habituels, il trouva presque immédiatement
des tablettes d’argile dont la plupart mesuraient 17 cm sur 22. Ces tablettes étaient couvertes de signes cunéiformes
dont on parlait beaucoup à if époque, mais que personne n'avait encore réussi à déchiffrer.
Botta se lassa rapidement
de collectionner des débris de poterie ou des tablettes d'argile et il commençait à se désintéresser de la question lorsqu!il
rencontra à Mossoul, en 1842, un jeune anglais nommé LAYARD qui venait d'arriver.
Ils se lièrent d’amitié, fumèrent
l’opium ensemble, -pratique du dernier chic dans les salons à cette époque- mais heureusement pour lui, Layard dut abandonner
car cela le rendait très malade.
Botta raconta à Layard ses tentatives archéologiques qui intéressèrent beaucoup ce
dernier.
Ensemble, pour tuer le temps, ils décidèrent de se rendre à Kuyundjik. Lorsqu!ils se trouvèrent sur la colline,
Layard convint que c'était un site très intéressant, qui vaudrait certainement la peine d'être exploré.
Mais, comme
ni l'un ni l'autre, après avoir abusé de l'opium, se sentait en forme pour manier la pelle, l'affaire en resta là. D'ailleurs,
quelques jours plus tard, Layard repartit pour Istanbul, cette fois-ci en mission diplomatique officielle.
Botta qui
avait maintenant complètement abandonné l’usage de l'opium et retrouvé presque intégralement sa raison, ne se laissa
pas décourager par l'expérience de Kuyundjik et, en 1843, il obtint des crédits pour s'attaquer à une autre colline voisine,
celle de KHORSABAD.
Sans trop se fatiguer, puisqu'il dirigeait les fouilles sous une tente bien climatisée et une outre
à la main, il mit au jour le premier palais assyrien jamais découvert, celui du Roi SARGON, qui l'avait construit comme résidence
d'été, dans les environs de NINIVE en 709 avant notre ère, après la conquête de Babylone.
Ce palais fournit des quantités
énormes de bas-reliefs, de statues de lions et de taureaux ailés, dont la plupart sont aujourd'hui au musée du Louvre, sauf
évidemment ceux qui se trouvaient sur un chaland qui fut emporté par le courant et sombra au milieu du Tigre.
Botta
restera à jamais connu dans l'histoire de l'archéologie comme celui qui découvrit la civilisation assyrienne, que l’on
ne connaissait jusque là que par la Bible. Lorsqu'il quitta Mossoul en 1846, Botta chargea le nouveau consul de France, un
architecte nommé Victor PLACE, de continuer les fouilles et d'envoyer le tout au Louvre, ce que ce dernier fit bien honnêtement.
Mais
Layard, le jeune anglais revint à Mossoul en 1847. Pour ne pas être en reste par rapport aux français, il commença par creuser
la colline NEMROD, d'où il tira une quantité considérable de statues et de bas-reliefs, qu'il expédia à Londres au British
Muséum, avec les mêmes ennuis qu'avaient connu Botta, c' est à dire qu'un certain nombre des envois allèrent instruire les
poissons du Tigre.
A cette époque cela ne constituait pas une perte bien considérable tant les fouilles laissaient
apparaître de trouvailles !
Malgré ses succès sur la colline Nemrod, Layard n'avait pas oublié deux choses: Premièrement,
son ami Botta et leurs promenades sur le site de Kuyundjik en guise de traitement anti-drogue. Deuxièmement, ses lectures
de la Bible, et en particulier les passages dans lesquels il était question de la ville de NINIVE.
Plus il regardait
la colline Kuyundjik, plus il pensait que la ville de Ninive ne pouvait être que là. Aussi décida-t-il de s'attaquer à nouveau
à cette colline. Il commença par creuser un puits vertical de six mètres de profondeur dans la colline, jusqu' à ce qu'il
découvre une épaisse couche de briques. De là, il creusa des tunnels horizontaux dans plusieurs directions.
Toujours
est-il qu'au bout de quelques dizaines d'outres d'hydromel utilisées par Layard pour observer confortablement les travaux
sans trop se déshydrater, on finit par découvrir un grand hall et un portail massif encadré de deux taureau ailés.
Quatre
semaines de terrassement plus tard, il avait mis au jour neuf grandes pièces du palais de Sennachérib, qui règna de 704 à
681 avant notre ère et fut l'un des rois les plus cruels et les plus puissants que les assyriens aient jamais connus.
Jour
après jour apparaissaient des statues, des bas-reliefs, des murs magnifiques couverts de briques vernissées, des mosaïques
de caractères cunéiformes blancs sur un fond bleu turquoise.
C'est là que fut découvert le célèbre bas-relief en albâtre
de la lionne blessée, qui se trouve aujourd'hui au British Muséum.
Cependant, malgré tous ces trésors archéologiques,
ce n'est pas pour la découverte de ce palais que Layard sera connu dans l'histoire de l'archéologie, mais pour une autre découverte
qu'il fit plus tard au même endroit, avec l'aide de son assistant Rassam.
Dès le début, pour éviter les histoires entre
les français et les anglais, qui n'étaient pas en très bons termes, comme souvent dans leur histoire, ils s'étaient partagés
les chantiers de fouilles avec de vagues lignes de démarcation. Mais, un jour où son collègue français n'était pas là,
Rassam, l'assistant de Layard eut l'idée de creuser un tunnel qui partait de la zone anglaise et arrivait en dessous de la
zone française.
Et, par le plus grand des hasards, c'est là qu'il découvrit la bibliothèque du roi ASSURBANIPAL.
Il
y avait, pêle-méle quelques trente mille tablettes cunéiformes qui contenaient toute la science des différentes civilisations
de cette époque, ainsi que toutes les légendes qui racontaient la vie d'Assurbanipal, ce roi qui vécu de 669 a 626 avant notre
ère.
L'année précédente, c'est à dire en 1849, un jeune anglais nommé RAWLINSON avait enfin déchiffré l'écriture cunéiforme.
Pour
parvenir à ses fins, il s'était servi d'un texte en trois langues gravé dans la pierre d'un défilé montagneux par un certain
DARIUS, 2500 ans plus tôt.
Ce fait était connu de Layard, mais comme personne à Mossoul était capable de traduire les
tablettes trouvées dans la bibliothèque d'Assurbanipal, celles-ci furent expédiées à Londres, sans qu' aucune d'elles ne tombe
dans le Tigre cette fois-ci.
Malgré le pli qui les accompagnaient et dans lequel Layard demandait une traduction rapide,
toutes les tablettes furent entreposées dans les sous-sols du British Muséum par un magasinier un peu trop zélé.
Une
vingtaine d'années plus tard, un autre jeune anglais nommé SMITH, retrouva ces tablettes par milliers entassées dans la cave.
La
chance voulut que ce jeune homme se passionnait justement pour l'écriture cunéiforme, aussi se mît il en devoir de les traduire.
Nous
étions alors en 1872, et, depuis 22 ans Layard attendait une réponse.
Par une chance extraordinaire, Smith eut la bonne
idée de commencer sa traduction par les tablettes qui rapportaient l'histoire fantastique de GILGAMESH.
Cela lui rappela
vaguement quelque chose de déjà lu, puisque Gilgamesh, son ami ERIDU et l'ami des Dieux UTNAPISHTIM, prévenu de l'imminence
d'un déluge s'étaient mis en devoir de construire une arche qui, échappant à la destruction générale, s'échoua sur la montagne
NIZIR.
Fait tout à fait troublant, ces tablettes écrites quelques 700 ans avant notre ère, racontaient des événements
qui s'étaient produits plus de 3 000 ans auparavant, c'est à dire bien avant l'époque de la Bible.
Layard eut l'idée
de creuser un tunnel qui partait de la zone anglaise et arrivait en dessous de la zone française. Et, par le plus grand
des hasards c'est là qu'il découvrit la bibliothèque, du roi ASSURBANIPAL.
Il y avait, pêle-mêle quelques trente mille
tablettes cunéiformes qui contenaient toute la science des différentes civilisations de cette époque, ainsi que toutes les
légendes qui racontaient la vie d'Assurbanipal, ce roi qui vécu de 669 a 626 avant notre ère.
L'année précédente,
c'est à dire en 1849, un jeune anglais nommé RAWLINSON avait enfin déchiffré l'écriture cunéiforme. Pour parvenir à ses
fins, il s'était servi d'un texte en trois langues gravé dans la pierre d'un défilé montagneux par un certain DARIUS, 2500
ans plus tôt.
Ce fait était connu de Layard, mais comme personne à Mossoul était capable de traduire les tablettes
trouvées dans la bibliothèque d'Assurbanipal, celles-ci furent expédiées à Londres, sans qu' aucune d'elles ne tombe dans
le Tigre cette fois-ci.
Malgré le pli qui les accompagnaient et dans lequel Layard demandait une traduction rapide,
toutes les tablettes furent entreposées dans les sous-sols du British Muséum par un magasinier un peu trop zélé.
Une
vingtaine d'années plus tard, un autre jeune anglais nommé SMITH, retrouva ces tablettes par milliers entassées dans la cave.
La
chance voulut que ce jeune homme se passionnait justement pour l'écriture cunéiforme, aussi se mît il en devoir de les traduire.
Nous
étions alors en 1872, et, depuis 22 ans Layard attendait une réponse.
Par une chance extraordinaire, Smith eut la bonne
idée de commencer sa traduction par les tablettes qui rapportaient l'histoire fantastique de GILGAMESH.
Cela lui rappela
vaguement quelque chose de déjà lu, puisque Gilgamesh, son ami ERIDU et l'ami des Dieux UTNAPISHTIM, prévenu de l'imminence
d'un déluge s 'étaient mis en devoir de construire une arche qui, échappant à la destruction générale, s'échoua sur la montagne
NIZIR.
Fait tout à fait troublant, ces tablettes écrites quelques 700 ans avant notre ère, racontaient des événements
qui s'étaient produits plus de 3 000 ans auparavant, c'est à dire bien avant l'époque de la Bible.
Visiblement les
Hébreux qui avaient écrit la Bible s'étaient inspirés de l'épopée de Gilgamesh, c'est à dire d'une légende sumérienne pour
raconter l'histoire du déluge et de l'arche de Noè, en y ajoutant quelques menus détails.
Malheureusement, il y avait
un trou dans l'histoire de Gilgamesh, pour la bonne raison qu'il manquait une tablette, sans doute réduite en poussière depuis
longtemps.
Mais Smith qui avait sans doute envie de voir du pays aux frais de la Couronne, arriva à persuader un conservateur
du musée royal que la tablette avait due être oubliée dans les débris de la bibliothèque d'Assurbanipal, là-bas sur les rives
du Tigre et de l'Euphrate.
Pour fléchir un peu ce supérieur, il avait argué du fait qu'il se ferait une joie d'aller
chercher cette tablette lui-même, quand bien même serait-il obligé de manier la pelle et la pioche.
Comme le brave
conservateur auquel il s'adressait avait adoré voyager dans sa jeunesse et qu'il avait gardé de celle-ci l'amour des belles
histoires qu' offre parfois l'archéologie, il rédigea immédiatement un billet à ordre à l'attention de Smith pour que celui-ci
lui rapporte la fin de l'histoire de Gilgamesh qui hantait désormais ses nuits.
De peur que ce brave conservateur qui
lui avait signé le billet à la sortie de son club retrouve un peu ses esprits et revienne sur sa décision, Smith s'embarqua
immédiatement pour Mossoul où il arriva en 1873.
C'est là que se fit sentir l'intervention bienveillante des Dieux
!
En effet, à peine arrivé dans l'excavation, Smith retrouva la tablette manquante. Puisqu'il était là et que le prochain
bateau en partance pour l'Angleterre ne levait l'ancre que le mois suivant, il en profita pour chercher si d'autres tablettes
n' avaient pas été oubliées elles-aussi.
Il en trouva ainsi plus de 3 000 qui avaient échappées à Layard car elles
se trouvaient à un niveau plus bas dans les ruines.
Par la même occasion Smith comprit alors pourquoi toutes ces fragiles
tablettes étaient si merveilleusement conservées.
Elles avaient tout simplement été cuites lors de l'incendie du palais
d'Assurbanipal qui possédait plusieurs étages de planchers en bois de cèdre, en s'effondrant en flammes.
Mais en 1875,
comme maintenant d'ailleurs, les archéologues n' étaient pas très portés sur les chiffres.
Les tablettes chiffrées
furent donc soigneusement classées et bien vite oubliées.
Ce n'est que dans le courant des années 1950 que ces tablettes
furent étudiées et que leur traduction fut publiée dans un livre intitulé Gods, Graves and Scholars publié à New-York en 1951.
Dans
les traductions figurait un nombre énorme de 15 chiffres de notre système décimal actuel:
195 955 200 000 000
soit près de 200 millions de millions plus que la valeur de la distance de la Terre
au Soleil si l'on avait l'idée bizarre de l'exprimer en millimètres ! ...
Malgré l'énormité de ce chiffre, personne
n'essaya de découvrir ce qu'un nombre aussi fantastique pouvait bien avoir signifié pour les assyriens qui vivaient a Ninive
il y a plus de 3 000 ans maintenant.
La première personne qui ait essayé de découvrir la signification de ce nombre
est un français naturalisé américain, Maurice CHATELAIN.
Pour la première fois, en 1963, il entend parler de ce nombre
lors d'une conférence internationale d'astronautique qui se tenait à Paris.
Ce brillant mathématicien, alors Directeur
technique des Systèmes de Communications et d'Informatique de la f usée Apollo, pense immédiatement que ce nombre énorme pourrait
bien représenter la grande année ou grande constante que les astronomes et astrologues ont vainement essayé de découvrir depuis
longtemps.
En effet, depuis des siècles, les astronomes et mathématiciens impressionnés par la régularité du mouvement
des astres avaient essayé de percer le secret de cette merveilleuse horloge.
Ils avaient compris qu'il devait exister
une très longue période de temps qui représenterait un nombre exact de révolutions de chacun des astres connus et, à la fin
de laquelle, ces astres se retrouveraient tous ensemble à leur point de départ commun sur la bande zodiacale.
Cette
période imaginaire, ils l'avaient appelé la grande année ou la grande constante.
Sitôt de retour aux Etats-Unis, Maurice
Chatelain s’employa, avec son équipe, en plus de leur travail habituel, à percer le mystère de ce nombre qui les fascinaient
de plus en plus.
Bien vite, ils avaient trouvé que ce nombre de 195 955 200 millions pouvait être exprimé par 70 multiplié
7 fois par 60.
Se souvenant que les Sumériens, ancêtres des Babyloniens, qui avaient été
envahis par les Assyriens, employaient déjà, il y a 3 000 ans, un système de calcul sexagésimal basé sur des multiples
de 60 et qu'ils étaient les inventeurs de la division du jour en 24 heures de 60 minutes de 60 secondes, donc en 86 400 secondes,
ils comprirent immédiatement que ce nombre mystérieux de Ninive devait être une très longue période de temps exprimée en secondes.
Il
leur fallut peu de temps pour découvrir que ce nombre représentait 2268 millions de jours.de 86 400 secondes,
mais cela ne leur disait cependant pas quel pouvait être le sens d'une telle longueur
de temps: Plus de 6 millions d'années de 365 jours !
Pour essayer de mieux percer les secrets de cette constante, Chatelain
et son équipe s'étaient intéressés également aux Sumériens. Ce peuple, dont l'origine est encore complètement inconnue, ils
ètaient des astronomes et des mathématiciens fantastiques:
Les Summériens connaissaient les périodes de révolution et de conjonction
de toutes les planètes, y compris Uranus et Neptune découvertes par nos civiiisations en 1781 pour la première et en 1846
pour la seconde !
Entre autres choses, ils connaissaient également le phénomène astronomique connu maintenant sous
le nom de précession des équinoxes, qui fait tourner l'axe de rotation de la Terre autour du pôle de l'écliptique en
9 450 000 jours, soit environ 26 000 ans!
L’équipe de la NASA eut alors un grand choc.
En effet, 2268 millions
de jours, soit la constante de Ninive exprimée en jours, représentait exactement 240 précessions des équinoxes !!
En
d'autres termes, le nombre sacré de Ninive représentait pour les sumériens 240 cycles de rotation des saisons autour de
la bande zodiacale, mais exprimée en secondes de temps, au lieu de l'être en jours ou en années comme le font maintenant les
astronomes modernes !
Tous les membres de l'équipe étaient maintenant persuadés qu ils venaient de redécouvrir
la grande constante du système solaire.
Il ne restait donc plus qu'à démontrer que cette constante était un multiple
exact de n'importe quelle période de révolution ou de conjonctions de n'importe quelle planète, comète ou satellite du système
solaire.
Cela fut rapidement fait.
Aucune révolution ou conjonction de planète, comète ou satellite ne fut trouvée
qui ne fut pas une fraction exacte, avec au moins quatre décimales, de la grande constante de Ninive.
Bien entendu,
tout cela fut publié dans des revues internes à la NASA.
La communauté astronomique fut troublée par ces résultats
fantastiques, mais elle refusa cependant d'avaliser cette découverte car le travail était jugé incomplet sur un point de
vue purement scientifique !!.
En effet, en partant de la constante et d'un élément astronomique d'une planète,
comète ou satellite du système solaire il était alors impossible de calculer d'autres éléments astronomiques propres à ces
planètes, comètes ou satellite du système solaire.
En particulier, en partant des périodes de révolutions synodique
de la constante, il était impossible de calculer les périodes de révolutions sidérales, et inversement, ainsi que d'obtenir
des éléments caractéristiques de l'orbite.
Les choses en étaient là quand j'eus de fréquents contacts avec Maurice
Châtelain.
Celui-ci me permit de découvrir que nos ancêtres possédaient des connaissances fantastiques notamment en
astronomie et en mathématiques et que l'histoire des civilisations ne s'est probablement pas déroulée de la façon dont la
science officielle nous le raconte encore aujourd'hui!
Aussi, depuis cette rencontre avec Maurice Châtelain, j'ai recueilli
le maximum de données concernant tous les aspects insolites des sciences,en particulier dans le domaine de l'archéologie.
C'est
en compilant ainsi certains documents que j'en suis venu à entendre parler d'autres tablettes sumériennes, celles de NIPPUR.
Au
nombre de 30 000, comme celles de Ninive, ces tablettes, dont l'âge est estimé à plus de 6 000 ans avant notre ère racontent
avec force détails l'histoire de la Création.
D'après ces tablettes, il existait il y a très longtemps dans notre système
solaire une énorme planète nommée MARDUK (1).
Celle-ci faisait le tour du Soleil en 3 600 ans de 360 jours chacun,
sur une orbite très allongée qui lui permettait de passer très près du Soleil et de s'en éloigner à des distances fantastiques.
C'est
sur cette planète que vivait AXU-1, le Dieu suprême créateur de toute choses, ainsi que les membres de sa famille qui exécutaient
ses volontés.
Anu, ce Dieu suprême restait en permanence sur la planète MARDUK où il prenait toutes les décisions importantes,
tandis que ses enfants vivaient la plupart du temps sur Terre.
Anu avait deux fils, ENLIL qui était roi de Summer et
vivait à NIPPUR, et ENKI qui était le Roi de la mer et de l'Afrique et qui vivait à ERIDU.
ANU avait également une
fille nommée NINURSAG qui régnait sur le royaume de DILMUN, sur la côte Ouest du golfe persique, en face de l'ile de BARHEIN
qui en faisait d'ailleurs partie.
D’après ces tablettes, les relations sexuelles entre Ninursag et ses deux frères
était incestueuses. ENLIL était l'époux de la déesse ;NINLIL qui lui donna un fils nommé NANAR, tandis que ENKI était marié
à la déesse NINKI qui lui avait donné un fils nommé MARDUK, comme la planète où vivait le Dieu suprême ANU.
Il y avait
beaucoup d'autres Dieux sur la Terre à cette époque là, mais pas encore d'hommes.
Il n'y avait que des humanoïdes stupides
dont les Dieux ne pouvaient rien tirer, de sorte qu'ils étaient obligés de travailler eux-mêmes, ce qui est un comble pour
un Dieu!
Le travail le plus pénible était celui des mines d’où étaient extraient les métaux lourds tels que le
platine, l'or, le mercure, le plomb, l'argent, le cuivre, dont les Dieux faisaient une grande consommation et qui n'existaient
pas sur la planète MARDUK.
Mais, comme dans toute société de consommation qui se respecte les Dieux mineurs firent
un jour la grève. Leurs revendications étaient d'ailleurs beaucoup plus simples à comprendre que celles des grévistes actuels:
ils ne voulaient plus travailler , ce qui semble assez logique pour des Dieux !
Ils exigèrent qu'on leur fabrique des
robots pour faire le travail à leur place. ENKI, qui était Président de la compagnie des mines fut très ennuyé par cette grève
car il avait d'importantes commandes à livrer.
Après avoir consulté ENLIL et NINURSAG, il porta l'affaire devant ANU.
Ce
dernier, bien que Dieu suprême, reconnu que les Dieux mineurs n' avaient pas tout à fait tort et décida qu'il fallait faire
quelque chose. Les Dieux pensèrent d'abord à améliorer les humanoides, mais cela leur fit peur car il était à craindre que
ceux-ci deviennent un jour aussi intelligents que les Dieux et qu'ils se révoltent à leur tour. ANU décida donc qu'on essaierait
d'inséminer des animaux avec de la semence divine, mais le résultat fut désastreux.
(1) Voir les ouvrages
« La 12° Planète » et « L’Escalier Céleste » (2001) de Zacharia Sitchin
C'est de cette époque que datent tous
les monstres dont on parle dans la plupart des légendes anciennes, tels que les centaures, les minotaures, les faunes etc
...
On peut d'ailleurs voir ces monstres sur des quantités de sceaux sumériens cylindriques.
D'autre part certains
Dieux pervers avaient pris goût à ces copulations bizarres et délaissaient leurs femmes lesquelles, pour se satisfaire, étaient
elles aussi, obligées de faire la même chose de leur côté.
ANU, décida alors qu'il fallait arrêter cela tout de suite
et qu'il fallait se débarrasser des monstres le plus vite possible.
Les Dieux durent finalement avoir recours aux humanoides,
malgré tous les risques que cela comportait! Pour les premières expériences on préleva un ovule de femelle humanoide, on le
fit fertiliser par ENKI, puis on le déposa dans la matrice de Ninursag qui le féconderait.
Si l'on en croit les tablettes,
le résultat ne fut pas très brillant non plus, car les premiers hybrides étaient stériles et ne pouvaient même pas retenir
leur urine.
D'autres avaient les deux sexes à la fois où pas de sexe du tout, ou encore ils avaient le coeur ou le
foie défectueux.
NINURSAG eÛt ainsi six enfants anormaux avec ENKI, et il fallut aller chercher un autre couple divin
pour se prêter à ses expériences car, de désespoir Ninursag s'était mise à boire et ne voulait plus rien savoir.
On
essaya alors de faire fertiliser l'ovule d'humanoide femelle par NINURTA, et de le placer pour être fécondé dans la matrice
de NINKI.
Cette fois, ce fut un succès et neuf mois plus tard elle mit au monde ADAPA qui fut le premier homme.
Elle
en était très fier et le montra à tout le monde.
Il existe un sceau sumérien qui la montre tenant le nouveau né sur
ses genoux. D'après les tablettes cette naissance eut lieu il y a environ 300 000 ans.
Le prototype d'ADAPA était tellement
bien réussi qu'ANU décida de le faire fabriquer en grande série sous la direction de NINURSAG.
On commença avec 14
déesses sélectionnées dont la profession devint de fabriquer des ADAMU, nom donné aux ADAPA fabriqués en série.
Le
seul inconvénients de ces ADAMUS qui étaient des hybrides, c'est qu'ils ne pouvaient toujours pas se reproduire .entre eux,
un peu comme nos mules et mulets d'aujourd'hui !
Récemment, on a retrouvé une gravure sur une pierre qui montre cette
fabrication en série, avec les déesses faisant la queue d'un côté pour être inséminées, le Dieu inséminateur au milieu, et
les ADAMUS sortant en rang serrés de l'autre côté, tous exactement pareils comme avec le procédé moderne du Cloning que nos
biologistes viennent de découvrir.
Peu à peu, sans doute à la suite de mélanges avec les Dieux et les Déesses qui ne
demandaient que cela, les ADMVIUS mâles et femelles purent enfin se reproduire entre eux et les Dieux prendre un repos bien
mérité!
Ils avaient enfin une race d'esclaves pour effectuer leurs travaux.
Au début, sur les conseils éclairés
d'ANU, on ne donna à ces êtres ADAMUS que l'intelligence nécessaire pour effectuer leur travail d'esclaves.
Cependant,
en raison de la beauté grandissante des filles des ADALIUS et de l'activité sexuelle incessante des fils des Dieux, il arriva
un moment où une certaine élite se forma,, chez les ADAMUS qui devinrent alors aussi beaux et intelligents que les Dieux.
Voilà
l'histoire de la création telle qu'on la trouve dans les tablettes de NIPPUR et je n'ai pas résisté à la raconter tant elle
semble d'actualité à l'heure où nos biologistes possèdent les capacités de pouvoir la reproduire !
Mais dans ces tablettes
on trouve aussi une autre histoire intéressante, celle de la destruction de la planète TIAMAT. Histoire qui va nous ramener
directement à la fameuse constante de NINIVE.
Pour les Sumériens, notre Système solaire était composé de douze astres
principaux, le Soleil, la Lune, et les neuf planètes que nous connaissons, plus une planète nommée TIAMAT qui était située
entre Mars et Jupiter, planète qui fut nommée PHAETON par les Grecs et LUCIFER par les Romains. Cette planète avait à peu
près la même orbite que l'astéroïde CERES aujourd'hui, c'est à dire qu'elle faisait le tour du Soleil en 1 682 jours.
D'après
les tablettes la Terre était déjà habitée à cette époque par les derniers animaux géants et par les premiers humanoïdes.
En
commençant par le Soleil qui s'appelait APSU et la Lune qui s'appelait KINGU, les noms des dix planètes étaient MUMU pour
Mercure, LAHAMU pour Vénus, KI pour la Terre, LAMU pour Mars, TIAMAT pour Phaéton, KISHAR pour Jupiter, ANSHAR pour Saturne,
ANU pour Uranus, EA pour Neptune et GAGA pour Pluton.
Evidemment, ces douze astres étaient également des Dieux, et
leurs mouvements relatifs nous sont contés sur les tablettes comme étant les aventures guerrières ou amoureuses de ces Dieux.
Tout
se passa très bien pendant longtemps, jusqu'au jour ou une énorme planète nommée MARDUK arriva du fin fond de l'Univers dans
notre propre système solaire.
Elle frôla successivement les 5 planètes extérieures qui se trouvaient à peu près alignées
à ce moment là et vint s'écraser sur TIAXAT qui arrivait alors en sens inverse. La petite planète TIAIUT explosa sous le choc
et des morceaux furent projetés dans toutes les directions, sans toutefois pouvoir échapper complètement à l'attraction du
Soleil.
Quant à MARDUK qui était beaucoup plus grosse, elle s'en tira sans beaucoup de mal et, considérablement ralentie
par le choc, elle rasa successivement Mars, la Terre, la Lune, Vénus et Mercure en causant de grands ravages sur ces planètes
compte-tenu de sa grande force d'attraction. Mais, ayant perdu dans la collision beaucoup de vitesse, elle ne put
complètement échapper à l'attraction du Soleil qui la captura et alla se placer sur une orbite épileptique très allongée,
avec une période de révolution énorme que les Sumériens avaient estimée à 3 6015 ans de 360 jours, soit 1 296 000 jours.
A
première vue, on peut penser que cette histoire de la planète MARDUK et de sa collision avec TIAMAT appartient pleinement
au panthéon sumérien.
Le problème n'est pas aussi simple !
Maurice Chatelain et son équipe avait démontré que
toutes les périodes de révolutions des planètes du système solaire représentaient un sous-multiple exact de la constante de
Ninive.
En admettant que MARDUK existe effectivement et qu'elle appartienne à notre système solaire, sa période de
révolution devait être, elle aussi un sous-multiple exact de la constante de Ninive en jours.
Ce qui est le cas.
Evidemment,
ces douze astres étaient également des Dieux, et leurs mouvements relatifs nous sont contés sur les tablettes comme étant
les aventures guerrières ou amoureuses de ces Dieux.
Tout se passa très bien pendant longtemps, jusqu'au jour ou une
énorme planète nommée MARDUK arriva du fin fond de l'Univers dans notre propre système solaire. Elle rasa successivement les
5 planètes extérieures qui se trouvaient à peu près alignées à ce moment là et vint stécraser sur TIAMAT qui arrivait alors
en sens inverse. La petite planète TIAMAT explosa sous le choc et des morceaux furent projetés dans toutes les directions,
sans toutefois pouvoir échapper complètement à l'attraction du Soleil.
Quant à MARDUK qui était beaucoup plu& grosse,
elle s'en tira sans beaucoup de mal et, considérablement ralentie par le choc, elle rasa successivement Mars, la Terre, la
Lune, Vénus et Mercure en causant de grands ravages sur ces planètes compte-tenu de sa grande force d'attraction. Mais, ayant
perdu dans la collision beaucoup de vitesse, elle ne put complètement échapper à l'attraction du Soleil qui la captura et
alla se placer sur une orbite elliptique très allongée, avec une période de révolution énorme que les Sumériens avaient estimée
à 3 600 ans de 360 jours, soit 1 296 000 jours.
A première vue, on peut penser que cette histoire de la planète MARDUK
et de sa collision avec TIAMAT appartient pleinement au panthéon sumérien. Comme nous allons le voir maintenant, le problème
n'est pas aussi simple !
Maurice Chatelain et son équipe avait démontré que toutes les périodes de révolutions des
planètes du système solaire représentaient un sous-multiple exact de la constante de Ninive.
En admettant que MARDUK
existe effectivement et qu'elle appartienne à notre système solaire, sa période de révolution devait être, elle aussi, un
sous-multiple exact de la constante de Ninive en jours, soit 2 268 millions.
Ce qui est le cas: 2 268 000 000 / 296 000 = 1750
Ce fait vérifié, je décidais alors de reprendre les travaux de Maurice Chatelain.
en incluant les données de MARDUK.
Les planètes sont des corps qui gravitent autour du Soleil suivant des ellipses
généralement peu excentriques. La période de révolution sidérale est le temps nécessaire pour que la longitude moyenne du
Soleil, comptée à partir d'un équinoxe fixe, augmente de 3600. Comme nous l'avons vu, les Sumériens étaient des mathématiciens
et des astronomes remarquables qui connaissaient les périodes de révolution et de conjonction de toutes les planètes, y compris
URANUS et NEPTUNE.
PLANETES |
REVOLUTIONS SIDERALES TIREES DE L'ANNUAIRE DU BUREAU DES LONGITUDES (Edition 1971). |
NOMBRE DE REVOLUTIONS NOMBRE DE REVOLUTIONS LA CONSTANTE DE NINIVE DE 2 268 000
000 DE JOURS |
|
|
|
MERCURE |
87,969256 |
25 781 734 |
VENUS |
22497008 |
10 093 422 |
TERRE |
365,2564 |
6 209 337 |
MARS |
686997982 |
3 301 407 |
JUPITER |
4332,589 |
523 475 |
SATURNE |
10 759,23 |
210 796 |
URANUS |
30 688e45 |
73 904 |
NEPTUNE |
60 18193 |
37 686 |
PLUTON |
90 465975 |
25 070 |
MARDUK |
1 296 000 |
1 750 |
CALCUL DU MOYEN MOUVEMENT DIURNE SIDERAL :
Le mouvement diurne ou mouvement
apparent de rotation des étoiles ou planètes est di! au fait que la Terre, gravitant autour du Soleil dans l'espace intersidéral,
est un corps animé d'un mouvement de rotation quasi-uniforme autour d'un axe passant par son centre des masses.
En
employant la constante de NINIVE, je découvris que ce moyen mouvement diurne sidéral pouvait être obtenu en employant la formule
suivante:
Nombre de révolutions sidérales de la planète
contenues dans la constante
de NINIVE
1750 = (Nombre de révolutions sidérales de MARDUK
contenues dans la constante de NINIVE)
PLANETES |
MOYEN MOUVEMENT DIURNE SIDERAL |
|
|
MERCURE |
25 781 734 / 1750 = 14 732,419 |
VENUS |
10 093 422 / 1750 = 5 767,6698 |
TERRE |
6 209 377 / 1750 = 3 548,1926 |
MARS |
3 301 407 / 1750 = 1 886,5183 |
JUPITER |
523 475 / 1750 = 299,1286 |
SATURNE |
210 796 / 1750 = 120,4549 |
URANUS |
73 904 / 1750 = 42,2309 |
NEPTUNE |
37 686 / 1750 = 21,5349 |
PLUTON |
25 070 / 1750 = 14,326 |
MARDUK |
1750 / 1750 = 1 |
Il est intéressant de noter que le moyen mouvement diurne sidéral de la Terre (3548,1926)
est rigoureusement égal à la période de révolution sidérale de MARDUK calculée en années sidérales de 365,2564 jours




C 0 N C L U S I 0 N S
Les calculs, effectués et dûment vérifiés démontrent que ce nombre, trouvé dans
les ruines de la bibliothèque du Roi ASSURBANIPAL, à NINIVE, est bien la Grande Constante du système solaire ou Grande Année
que les astrologues et astronomes du monde entier recherchent depuis des siècles.
Cela suffit à démontrer que nos plus
lointains ancêtres possédaient des connaissances scientifiques absolument inexplicables.
La pensée de PLATON, exaltant
les mathématiques comme un rite auguste et mystérieux et affirmant que les jugements mathématiques représentent les vérités
éternelles, n'avait pas pris ses racines dans de sombres superstitions, comme on a trop longtemps voulu nous le faire croire.
Dès lors, on comprendra un peu mieux les paroles de SOCRATE, le maître de PLATON, lorsqu'il affirmait: « Les Cieux
étoilés que nous apercevons sont établis sur un sol visible, mais ceux ci doivent être appréhendés par la raison et l'intelligence
et non par la vue ».
On comprendra aussi pleinement le sens de l'avertissement de PYTHAGORE:
« Tout est arrangé
d'après le Nombre »
Notons qu'il a, curieusement, dit le Nombre et non les nombres !
L'histoire
des mathématiques, dit-on, est le miroir de la civilisation.
Ne nous estimons donc pas trop supérieurs à nos anciens
!
Nos ancêtres ont caché, soit sous le symbole, soit sous le voile de l'allégorie,
les clefs de connaissances que nous cherchons si péniblement, parce que la science moderne est aveugle et a, de ce fait, perdu
le sens vrai des choses !!
Les résultats obtenus avec la Constante de NINIVE donnent des chiffres dont l'approximation
est aussi rigoureuse que celle obtenue aujourd'hui avec nos moyens modernes.
Un aspect, et non le moindre, caractérisait
les astronomes sumériens, ils obtenaient leurs résultats en utilisant des calculs d'une extrême simplicité.
Or, en
sciences comme dans tous systèmes, cette dernière qualité tend à démontrer une perfection certaine.
Les tablettes
cunéiformes "étranges" que les archéologues ne cessent de dégager des sables de Mésopotamie risquent encore de nous réserver
bien des surprises et de ramener notre civilisation à sa juste place ! ...
Croire que les connaissances des anciennes
civilisations découlaient uniquement de l'observation est encore un mythe de notre science moderne, en cela aussi orgueilleuse
qu'aveugle et imbécile.
En astronomie, comment expliquer que les sumériens connaissaient le cycle de précession des
équinoxes retrouvé dans des tablettes et dont le déplacement est absolument invisible à l'oeil nu ?
Comment pouvaient-ils
connaÎtre également les périodes de révolution et de conjonction des planètes URANUS, NEPTUNE et PLUTON puisque ces planètes
sont à la limite de visibilité pour 1'oeil nu dans nos meilleurs instruments ?
NEPTUNE, découverte par le calcul, ne
put être confirmée en 1930 par Clyde TOMBAUGH que grâce à un sondage photographique commencé en 1906 et conduit par plusieurs
observatoires.
L'existence passée de la planète TIAMAT,située entre MARS et JUPITER, rapportée dans les tablettes de
NIPPUR, n'est pas une légende elle non plus. En cela c'est notre science astronomique qui nous l'apprend.
En effet,
la suite des demi grands axes forme une progression que l'on peut retrouver à l'aide d'une règle mnèmotique appelée à tort
loi de BODE, à la condition de compter pour une planète hypothétique l'ensemble des astéroïdes entre MARS et JUPITER avec
un demi grand axe très approché.
En ce qui concerne l'existence de la planète MARDUK rapportée dans les tablettes de
NIPPUR, elle semble bien appartenir à la réalité elle aussi.
En effet, certains peuvent penser que si cette planète
existait réellement, nos astronomes modernes l'auraient découverte depuis longtemps.
A ceux-là il convient de répondre
que l'orbite d'une telle planète aurait un demi grand axe de 232 fois la distance TERRE-SOLEIL, soit six fois plus éloigné
du Soleil que PLUTON, qui n'a été découverte qu'en 1930, et encore par hasard, parce qu'elle traversait l'écliptique à ce
moment-là
Donc, si MARDUK est en ce moment à son aphèlion, point de son orbite le plus éloigné du SOLEIL, elle est
absolument impossible à détecter, même à l'aide de photos successives prises avec les télescopes les plus puissants que nous
possédons.
Les satellites envoyés pour parcourir le système solaire, nous réserverons probablement des surprises à
ce sujet.
Si cette planète existe, et l’on ne peut en douter, puisqu'elle est indispensable pour arriver à certains
calculs que nous venons de voir,
Sa période de révolution sidérale serait de 1 296 000 / 365,25636 jours, soit
3.548,1931 années sidérales terrestres et son cycle de Collision avec une des planètes du système solaire de 17.741 ans lors
de son passage au périhélion.
Non seulement cela expliquerait la vénération craintive que les sumériens et babyloniens
avaient pour le Dieu MLARDUK, mais aussi le chiffre de 17 000 que nous retrouvons dans la formule qui permet de calculer le
demi grand axe de l'orbite des planètes en partant de la constante de NINIVE !.
17 000 ans qui serait peut-être un cycle important pour le système solaire.
Nos ancêtres sumériens et babyloniens avaient en leur possession des connaissances
absolument fabuleuses que nous ne faisons que commencer à redécouvrir.
Certaines initiations de sociétés secrètes,
se faisant avec une étonnante affinité avec celles de certaines civilisations anciennes, aussi celle de l’Egypte des
Pharaons, dont les Prêtres ne voulant pas exposer leurs mystères et leurs connaissances aux sens du vulgaire dissimulèrent
leurs systèmes d’éducation et de gouvernement sous des signes et certains symboles hiéroglyphiques dont seuls les Grands-Prêtres
en avaient communication.
Actuellement encore, l’enseignement au sein de certaines sociétés secrètes se fait
sous le voile de l'allégorie au moyen de symboles et possèdent de nombreuses analogies avec celui des sumériens, certains
rituels peuvent aussi être considérés comme sortis des textes de ces tablettes de NINIVE et de, NIPPUR, transmetteurs de Connaissances.
Gardons-nous
de traiter tout ceci avec mépris et condescendance.. faire preuve d’humilité dans nos recherches est la règle première…
Jean-Charles Fumoux
[Pour en savoir plus sur la constante de Ninive]
Source:
Voir aussi:


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